Pelves
Pelves est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Pelvois. La commune est membre de la communauté de communes Osartis Marquion.
Pelves | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Osartis Marquion | ||||
Maire Mandat |
André Bordas 2021-2026 |
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Code postal | 62118 | ||||
Code commune | 62650 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pelvois | ||||
Population municipale |
773 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 117 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 17′ 29″ nord, 2° 54′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 42 m Max. 99 m |
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Superficie | 6,6 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Rœux (banlieue) |
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Aire d'attraction | Arras (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Brebières | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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La commune fait partie de la région naturelle, la Pévèle.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLocalisée dans le sud-est du département du Pas-de-Calais, Pelves est une commune, bordée par la Scarpe canalisée, située à 7 km au sud-ouest de la commune de Vitry-en-Artois et à 12 km à l'est de la commune d'Arras (chef-lieu d'arrondissement). La commune fait partie de la région naturelle, la Pévèle[1].
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes. Les communes limitrophes sont Plouvain, Biache-Saint-Vaast, Boiry-Notre-Dame, Fampoux, Hamblain-les-Prés, Monchy-le-Preux et Rœux.
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 6,6 km2 ; son altitude varie de 42 à 99 m[2].
Hydrographie
modifierLe territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[3].
La commune est traversée par la Scarpe canalisée, cours d'eau d'une longueur de 67 km, qui prend sa source dans la commune d'Arras et se jette dans L'Escaut canalisée au niveau de la commune de Mortagne-du-Nord dans le département du Nord[4], et par le Trinquis, cours d’eau non navigable de 9,76 km, qui prend sa source dans la commune de Rœux et se jette dans la Sensée au niveau de la commune d’Étaing[5].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 726 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 6 km à vol d'oiseau[8], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Milieux naturels et biodiversité
modifierZones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : les marais de Biache-St-Vaast à Saint-Laurent-Blangy, d’une superficie de 601 ha. Cet ensemble de marais s’inscrit dans le système alluvial de la moyenne vallée de la Scarpe, base fondatrice de la trame verte et bleue. Aménagé pour diverses activités humaines (accueil du public, pêche, loisirs…), il constitue néanmoins un cœur de nature sur le plan de la biodiversité[12].
et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la vallée de la Scarpe entre Arras et Vitry-en-Artois, d’une superficie de 1 632 ha et d'une altitude variant de 43 à 62 mètres. Sur ce site alluvial inondable plus ou moins tourbeux on y trouve des sites remarquables : le marais de Vitry en Artois, le marais du pont à Rœux et le secteur des anciennes tourbières de Plouvain et Biache-Saint-Vaast[13].
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Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
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Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Espèces faunistiques et floristiques
modifierL’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[14].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Pelves est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[Insee 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rœux[Note 5], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 6],[Insee 2],[Insee 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[Insee 3]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[Insee 4].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,4 %), prairies (12 %), zones urbanisées (5,3 %), mines, décharges et chantiers (3,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %), zones humides intérieures (1,2 %), forêts (0,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Pabila en 847 ; Peula en 1022 ; Pabula en 1098 ; Peule au XIIe siècle ; Pevle en 1296 ; Pevele en 1520 ; Peulles en 1525[17] ; Pelve en 1793 et Pelves depuis 1801[2].
Histoire
modifierPremière Guerre mondiale
modifierPolitique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais[Insee 5].
Commune et intercommunalités
modifierLa commune est membre de la communauté de communes Osartis Marquion qui regroupe 49 communes et totalise 42 651 habitants en 2021[Insee 5].
Circonscriptions administratives
modifierLa commune est rattachée au canton de Brebières[Insee 5].
Circonscriptions électorales
modifierPour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais[19].
Élections municipales et communautaires
modifierListe des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierLes habitants sont appelés les Pelvois[26].
Évolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].
En 2021, la commune comptait 773 habitants[Note 8], en évolution de 6,92 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Pyramide des âges
modifierEn 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 365 hommes pour 386 femmes, soit un taux de 51,40 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'église Saint-Vaast.
- Le monument aux morts[31].
Zone d'activités tout terrain
modifier- Ce même terrain accueille les 6 Heures de Pelves, une course d'endurance.
Personnalités liées à la commune
modifier- René Vazé. Il est mort pour la France à l'âge de 24 ans, à Munich. Arrêté à son domicile à Pelves le , il est prisonnier à Cuincy, à Bruxelles-Saint-Gilles, à Essen, à Esterwegen, à Gross-Strehlitz en Pologne, à Kaisheim, à Straubing et à Munich-Stadelheim. Condamné à mort à Munich, le , il y est guillotiné le . Ses cendres reposent à la crypte de Vitry-en-Artois avec d'autres résistants[32]. Sont également morts pour la France en tant que résistant pendant la Seconde Guerre mondiale :
Ludovic Payen, Jeanne Bacquet, Louis Doisy, Maurice Blanpain, François Mercier-Père, Avila Boulanger, Arthur Letombe, Louis Pannequin, Ali Landrea. Sources : Promenades pelvoises de l'association culturelle pelvoise.
Héraldique
modifierBlason | De gueules à la bande d'or chargée de quatre lionceaux de sable, armés et lampassés de gueules, posés à plomb[33].
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifier- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
modifier- Dossier de la commune sur la base nationale sur l'intercommunalité (BANATIC) du Ministère de l'intérieur (DGCL), [lire en ligne]
- Dossier complet de la commune sur le site de l'Insee[Note 9], [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur "Remonter le temps", sur le site de l’IGN[Note 10], [lire en ligne]
- « La commune » sur Géoportail.
- Le réseau France services pour la région Hauts-de-France, [lire en ligne]
Bases de données, dictionnaires et encyclopédies
modifier
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes
modifier- Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Rœux comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Insee
modifier- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Rœux », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Pelves ».
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pelves (62650) », (consulté le ).
Références
modifier- « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Scarpe canalisée (E2--0110) (E2--0110) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Trinquis (E1560700) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Pelves et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « ZNIEFF 310030060 - Les marais de Biache-St-Vaast à Saint-Laurent-Blangy », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013375 - La vallée de la Scarpe entre Arras et Vitry-en-Artois », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Genève, Droz, , p. 347.
- « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- Géraldine Csizmadia, « Le Bilan des maires - Pelves: Une école au centre des attentions, un village entretenu et attrayant : Renée Comelli, maire depuis 1995 et élue depuis 1989, est portée par son équipe, pour se représenter aux prochaines élections. « Nous repartirons », dit-elle avant de dresser un bilan collectif, bien fourni », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Pelves: Renée Comelli, seule candidate, est réélue maire : http://www.lavoixdunord.fr/region/pelves-renee-comelli-seule-candidate-est-reelue-maire-ia29b6468n2040913 », La Voix du Nord, .
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- A. D. ( CLP), « Pelves : la place de la mairie et plusieurs rues vont faire peau neuve : Renée Comelli, secrétaire à la retraite est née à Guémappe, mais habite son bourg depuis toujours. Pour son quatrième mandat, elle s’occupera notamment de la gestion des nouveaux TAP et de la place de la mairie », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- « Vazé René », sur le site Le Maitron (consulté le ).
- Armorial de France, p. 15932