Passy-en-Valois
Passy-en-Valois est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Passy-en-Valois | |||||
La mairie-école. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Soissons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Retz-en-Valois | ||||
Maire Mandat |
Alexandre Quenardel 2020-2026 |
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Code postal | 02470 | ||||
Code commune | 02863 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
126 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 10′ 06″ nord, 3° 11′ 42″ est | ||||
Altitude | Min. 120 m Max. 159 m |
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Superficie | 3,41 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Villers-Cotterêts | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
modifierLocalisation
modifierMarizy-Sainte-Geneviève | ||||
La Ferté-Milon | N | Macogny | ||
O Passy-en-Valois E | ||||
S | ||||
Dammard |
La commune est située sur un plateau qui domine le bassin de l'Ourcq, rivière qui se jette dans la Marne à Lizy-sur-Ourcq. Elle est traversée partiellement par un ru qui nait d'un marais et prend le nom de rû du Gril. Il alimentait les fossés de défense du château.
À la fin du XIXe siècle, selon la monographie de M. Levêque, la commune qui fait une superficie de 131 hectares est essentiellement agricole avec une culture de céréales (blé, avoine et seigle) et un peu de betteraves. La commune est peu boisée (5 hectares). L'élevage est compose des bêtes de traites (chevaux et bœufs) et quelques vaches et surtout un troupe de moutons 1 200 têtes.
Hydrographie
modifierLa commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le fossé 01 de Saint-Quentin-sur-Allan et le ru du Gril[1],[2],[Carte 1].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 741 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Blesmes à 24 km à vol d'oiseau[5], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 713,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Passy-en-Valois est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92,9 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), forêts (0,1 %)[11].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Capella de Paciaco (1222) ; Paci, Pacy (1280) ; Passy-en-Vallois (1632) ; Passy-le-Château (1717)[12].
Le Valois[13], dit aussi Pays du Valois[14], est une région naturelle de France, située en Picardie[15], sur les départements actuels de l'Oise et de l'Aisne, dans les Hauts-de-France.
Histoire
modifierAncienne place forte des XIIe et XIIIe siècles entourée d'une enceinte fortifiée autour d'une cour carrée. Les douves furent comblées dans les années 1920. Ce château fut donné par le roi Philippe Auguste à Pierre Tristan son chambellan après la bataille de Bouvines en 1214. L'édifice était flanqué de neuf tours circulaires. C'est Alice qui, mariée à Pierre de Châtillon seigneur de Château-Porcien, y transporta sa demeure et permit à ses descendants de porter le titre de seigneurs de Passy. Le château est en grande partie ruiné lors de la Première Guerre mondiale.
La commune est la seule de tout le canton de Neuilly-Saint-Front a ne pas avoir d'école. La première école sera ouverte en 1887 avec comme première institutrice madame M. Lévêque. La classe comprend alors une vingtaine d'enfants (filles et garçons).
Passy-en-Valois fut occupée par les troupes allemandes lors de la Première Guerre mondiale. L'ancienne église avec son chevet de style gothique a été détruite lors de la guerre. L'église a été reconstruite au même emplacement dans un style 1920 après la guerre et possède de magnifiques vitraux. Un terrain d'aviation militaire aurait existé durant la guerre près de la ferme du Mosloy.
Les ruines de l'ancienne place forte sont rachetées après la Première Guerre mondiale par Jacques Ferté qui en fit une ferme de plus de 400 hectares qui reste le moteur économique de ce petit village du Valois. En 1940, elle comptait une quarantaine de salariés. Elle comprenait alors une partie d'élevage important avec notamment des bovins et des vaches laitières. C'est sous l'impulsion de Jacques Ferté et de la JAC que se développe les premières coopératives agricoles avec la coopérative de blé à la Ferté-Milon. Sous son impulsion, après la Seconde Guerre mondiale, une huilerie est créée pour valoriser les productions des agriculteurs du secteur dans le même esprit toujours à la Ferté-Milon. C'est aussi la création d'une coopérative fruitière associée avec une endiverie. C'est Pierre Ferté qui développe la production fruitière à Mosloy qui va s'étendre dans tout le Valois. C'est lui qui le premier importe des États-Unis la pomme Golden. Jacques Ferté développe à Passy-en-Valois une expérience originale. En 1947, il met à disposition d'une dizaine de personnes pour une part des employés de la ferme une dizaine d'hectares de terres qui sont divisés en lots égaux afin qu'ils puissent les exploiter eux-mêmes et ) leur bénéfice, sous forme de coopérative. L'expérience originale dura jusqu'en 1987 et ne fut pas renouvelée faute de successeurs aux premiers coopérateurs. La ferme développe aussi une « cantine », lieu de restauration et d'hébergement et aussi de rencontres et de jeux pour les travailleurs célibataires et les jeunes du village et les stagiaires de l'INRA accueillis à la ferme. Elle était tenue par Mme Fernande Dalla Mouta décédée en 2014. Une partie des employés de la ferme en 1925 formèrent une colonie polonaise importante de plus de quarante personnes sur les 122 que comptait la commune[16].
Après la Seconde Guerre mondiale, l'école fonctionne avec une classe unique et a été tenue par Mme Thérèse Pata jusqu'à son départ à la retraite.
Par arrêté préfectoral du , la commune est détachée le de l'arrondissement de Château-Thierry pour intégrer l'arrondissement de Soissons[17].
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Passy-en-Valois est membre de la communauté de communes Retz-en-Valois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Villers-Cotterêts. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[18].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Soissons, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[10]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Villers-Cotterêts pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[10], et de la cinquième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[19].
Administration municipale
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].
En 2021, la commune comptait 126 habitants[Note 3], en évolution de −19,23 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Économie
modifierCulture et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierÉglise
modifierLa première église semble avoir été celle du château. Il s'agit d'une chapelle fondée en 1222 en avant de l'entrée du château, à l'emplacement de l'église actuelle, par Pierre Tristan, seigneur de Passy. Elle est desservie par les religieux génovéfains (Congrégation des Chanoines de Sainte Geneviève) établis à Marizy-Sainte-Geneviève. En 1542, Jeanne de Villers s'installe chez son gendre, le seigneur de Passy. C'est à cette occasion que la chapelle est agrandie. Elle fait une vingtaine de mètres de long. Elle est dédiée à saint Roch. À la fin du XIXe siècle, elle est en mauvais état et nécessite des réparations. Elle sera détruite lors de la Première Guerre mondiale.
L'église de la Vierge a été reconstruite en 1925 après la Première Guerre mondiale dans un style Art déco par l'architecte diocésain Henry Faucheur, DESA (1889-1961) à l'emplacement de l'ancienne église [1]. Elle a été élevée en pierre et béton avec une toiture en ardoise. Elle possède aussi de magnifiques vitraux modern style.
Monument aux morts
modifierCalvaire
modifierLe calvaire, près de l'église encadre l'entrée de la « ferme » avec un magnifique christ en croix Art déco.
La ferme (ancienne maison forte)
modifierLa ferme, unique ferme du village, dont l'entrée se situe entre l'église et le calvaire est l'ancienne maison forte partiellement ruinée lors de la Première Guerre mondiale. Elle fut achetée par Jacques Ferté avant la Première Guerre mondiale.
Personnalités liées à la commune
modifier- Louis-François Bernier (1754 - 1823) fut député à l'Assemblée nationale de 1791 à 1792. Il est né à Passy-en-Valois, le et est mort à Marizy-le-Grand (Aisne), le . Il était simple cultivateur à Marizy, lorsqu'il fut élu député de l'Aisne à l'Assemblée législative, le , par 317 voix sur 574 votants[27].
- Jacques Ferté (1889-1967). Chevalier de Saint-Grégoire-le-Grand. Il fut maire de Passy-en-Valois depuis 1925. « Jacques Ferté fut un fondateur, un défricheur, il fut surtout - dans sa modestie et sa conviction - un témoin ». Un des fondateurs de la Jeunesse agricole chrétienne (JAC) et son premier président national, il contribua à la naissance de l'Action catholique rurale adulte. Il devient le premier président national du M.F.R. (Mouvement des familles rurales). On lui doit notamment la création des allocations familiales agricoles. En 1939, il devient le premier président de la Ligue agricole catholique. Au Centre français du patronat chrétien, il fut responsable de la branche agriculture et, à ce titre, créa des liaisons avec l'organisme international correspondant, l'UNIAPAC. L'Amérique latine a été sa passion des dernières années. Ce travail long et lourd - auquel il s'est épuisé - a eu des dimensions internationales parce qu'il avait commencé à la base, dans les dimensions familiales et régionales de sa vie d'exploitant agricole du Valois », Jacques Ferté avait composé une prière qui commençait ainsi : « Aide-nous Seigneur, à frayer des routes sociales nouvelles ». Les familles Ferté et Demory sont toutes deux de vieille souche terrienne : leurs descendants extrêmement nombreux occupent, pour la plupart, des fermes dans le Soissonnais.
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Jean Mesqui, Île-de-France Gothique 2 : Les demeures seigneuriales, Paris, Picard, , 404 p. (ISBN 2-7084-0374-5), p. 276-280
- « Passy-en-Valois, une communauté villageoise autour d'une ferme », L'Union,
- Louis Pata, Les canada gris, Belfort, À l'écoute des poètes, 2008 (ISBN 9782913851795)
- Henri Stein, « Pierre Tristan, chambellan de Philippe-Auguste, et sa famille », Bibliothèque de l'école des chartes, 1917, tome 78, p. 135-153.
- J.J. Baget et A. Lecointe, Dictionnaire des communes du département de l'Aisne, Laon, Ed. Lecointe, 1832
- sur Bernier, Notice in Biographie des hommes vivants, tome 1, Paris, Ed. Michaud, 1816
- sur Jacques Ferté, voir notamment Les catholiques dans la République (1905-2005), de Brune Duriez, Paris, Ed. de l'Atelier, 2005, (ISBN 2-7082-3820-5) et voir Chrétiens dans le monde rural, Jean-Loup Ducasse, Paris, Ed. Ouvrières, 1989, (ISBN 2-7082-2581-2) et aussi Jacques Ferté (1898-1965), la foi dans les actes, Hugues Beylard,
- Jean Mesqui, « Maison, maisons fortes et châteaux ? Les implantations nobles dans le comté de Valois aux XIIe et XIIIe siècles », La maison forte au Moyen Âge, Paris, CNRS, 1986
- M. Lévêque, Monographie de Passy-en-Valois, 1887, manuscrit, Archives départementales de l'Aisne
Articles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Passy-en-Valois » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Sandre, « le ru du Gril »
- « Fiche communale de Passy-en-Valois », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Passy-en-Valois et Blesmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Blesmes » (commune de Blesmes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Blesmes » (commune de Blesmes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l'Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 211.
- « Valois (France) » (BNF 12153192).
- « Valois, Pays du (France) » (BNF 15219482).
- Jean-Baptiste Nolin, « Carte de la Province de Picardie » , sur gallica.bnf.fr (consulté le )
- Janine Ponty, Polonais méconnus : histoire des travailleurs immigrés en France dans l'entre-deux guerre, Paris, Ed. de la Sorbonne, , 474 p. (ISBN 2-88634-155-7)
- « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de l'Aisne - Recueil n°195 des actes administratifs du 21 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur prefectures-regions.gouv.fr, (consulté le ).
- « communauté de communes Retz-en-Valois - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- « Passy-en-Valois / Démissions du maire et de ses conseillers Retour aux urnes en janvier », L'union l'Ardennais, (lire en ligne, consulté le ).
- « Passy-en-Valois Alexandre Quenardel élu maire », L'union l'Ardennais, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Fiche de Louis, François Bernier », sur de l'Assemblée nationale (consulté le ).