Niedernai
Niedernai (Nìdernahn en alsacien, Niederehnheim en allemand) est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Niedernai | |
Mairie de Niedernai. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | Sélestat-Erstein |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Sainte-Odile |
Maire Mandat |
Valérie Ruscher 2020-2026 |
Code postal | 67210 |
Code commune | 67329 |
Démographie | |
Gentilé | Niedernois(es) |
Population municipale |
1 253 hab. (2021 ) |
Densité | 111 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 26′ 54″ nord, 7° 31′ 01″ est |
Altitude | Min. 152 m Max. 182 m |
Superficie | 11,33 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Strasbourg (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Obernai |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.niedernai.fr |
modifier |
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Géographie
modifierNiedernai se trouve dans le canton d'Obernai et l'arrondissement de Sélestat-Erstein. Les habitants sont appelés les Niedernois.
Cours d'eau
modifierToponymie
modifier- Niderrehnheim, 1050 ;
- Praedium Ahenaim, XIe siècle.
Voir Obernai.
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par l'Andlau, le ruisseau l'Ehn, le ruisseau le Darsbach et le ruisseau l'Apfelbach[1],[Carte 1].
L'Andlau, d'une longueur de 42 km, prend sa source dans la commune de Le Hohwald et se jette dans l'Ill à Illkirch-Graffenstaden, après avoir traversé 21 communes[2].
L'Ehn, d'une longueur de 36 km, prend sa source dans la commune de Ottrott et se jette dans l'Ill à Geispolsheim, après avoir traversé dix communes[3]. Les caractéristiques hydrologiques de l'Ehn sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 0,481 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 12,9 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 16,6 m3/s, atteint le même jour[4].
Le Darsbach, d'une longueur de 14 km, prend sa source dans la commune de Saint-Nabor et se jette dans l'Andlau à Meistratzheim, après avoir traversé six communes[5].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Ill Nappe Rhin ». Ce document de planification concerne la nappe phréatique rhénane, les cours d'eau de la plaine d'Alsace et du piémont oriental du Sundgau, les canaux situés entre l'Ill et le Rhin et les zones humides de la plaine d'Alsace. Le périmètre s’étend sur 3 596 km2. Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[6].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Vosges » et « Alsace »[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 610 mm, avec 7,7 jours de précipitations en janvier et 9,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim à 13 km à vol d'oiseau[9], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −23,6 °C, atteinte le [Note 3],[10],[11].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Niedernai est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[15]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (89,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,2 %), prairies (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,7 %), forêts (6,2 %), zones urbanisées (4,7 %), cultures permanentes (4,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Histoire
modifierLa préhistoire
modifierLa première occupation du site remonte à 5000 ans avant Jésus Christ : des objets lithiques, des ossements d'animaux, des tessons de poterie, un fond de cabane et des tumuli ont été mis au jour en 1860 lors de fouilles. Des peuples celtes, romains, puis mérovingiens se succèdent sur le territoire de la commune. Ancienne voie militaire, les Romains avaient fait de ce lieu l'un de leurs établissements. Des monnaies romaines et une brique portant le chiffre de la 8e légion y ont été déterrées. Les Romains ont dû trouver en ces lieux un centre de population qu'ils relièrent par la route militaire qui, partant d'Argentorat (Strasbourg), rejoignait le penchant des montagnes et servait pour le transport de leurs troupes. En parcourant la forêt qui s'étend au sud-est du village, on rencontre trois tumuli. Du côté de l'Ettenhoelzel, il en existe trois autres d'une élévation plus grande encore.
Le couvent bénédictin de Feldkirch
modifierLe domaine de Niedernai appartient dès 706 aux bénédictins de Moyenmoutier (Vosges). La cour de Feldkirch fait partie des propriétés que l'abbaye de Moyenmoutier possède en Alsace, qu'une femme noble, Theudelinde[19], a cédé après avoir renoncé à la vie conjugale. Vers environ 707-757, l'abbé Regimbert fait construire une église sur le domaine de Niedernai. À cette époque, les Etichonides sont à leur apogée. Après le Xe siècle, un couvent de bénédictins s'installe au lieu-dit de Feldkirch (Velkiercheim, 1114). L'église est dédiée à saint Maximin. Plus tard, vers le XIIIe siècle, les Landsberg deviennent protecteurs du couvent de Niedernai. Pendant la guerre des Paysans, le couvent de Feldkirch est ravagé par les paysans avec à sa tête la « bande de Truttenhausen ». Le couvent est finalement démoli en 1842. Lors de la construction de la voie rapide A35, une partie de l'ancien prieuré bénédictin a été mis au jour. Des sarcophages ont été découverts qui ont été regroupés dans un jardin lapidaire.
Un fief de la famille des Landsberg
modifierAu milieu du XIIe siècle, les Landsberg, vassaux des Hohenstaufen, s'installent dans le village et construisent un fort vers 1203. En 1230, ils deviennent les avoués de Feldkirch et se mettent en 1284 au service de l'évêque de Strasbourg qui leur cède Niedernai et Meistratzheim. En 1434, Niedernai accède au statut de ville, ce qui lui permet de se fortifier et d'avoir un marché hebdomadaire. En 1572, les Landsberg se convertissent au protestantisme et le resteront jusqu'en 1741.
Le château
modifierLes Landsberg font construire un château pour fortifier la ville et le faubourg. Le cours d'eau de l'Ehn va servir à remplir les fossés qui entourent les trois tours. À partir de 1424, la ville a un marché hebdomadaire. En 1806, par le mariage de Charlotte Christine de Landsberg avec Guillaume Jacques Maximilien Frédéric de Reinach-Werth (issu des Reinach-Hirtzbach), le château passe aux mains de cette famille. Plus tard, en 1899, le château passera à une nouvelle famille par le mariage de Josèphe Maximilienne Marie (dite Maia) de Reinach-Werth et de Joseph Louis Marie Anne Le Pays du Teilleul.
Les pillages et invasions
modifierEn 1439, Niedernai est envahie par les Armagnacs. Les Strasbourgeois en signe de représailles incendient le bourg, reprochant aux habitants de ne pas avoir assez résisté aux Armagnacs et d'avoir ainsi facilité l'entrée de leurs troupes dans le village. En 1444, c'est le Dauphin (devenu depuis Louis XI) qui s'empare de Niedernai mais il est chassé par les Strasbourgeois. En 1525, le village est rançonné pendant la guerre des Paysans. Le village est à nouveau occupé en 1592 durant la guerre des Évêques.
Guerre de Trente Ans
modifierPendant la guerre de Trente Ans, Niedernai est souvent saccagée. Au cours de ce conflit, les Suédois pillent la cité en 1622 et la détruisent en 1636.
Condamnations pour sorcellerie
modifierAu XVIIe siècle, le « Tribunal des maléfices » siège au château et près d'une centaine de personnes sont condamnées pour sorcellerie à Niedernai et dans ses environs.
Louis XIV installe un directoire de la Basse Alsace
modifierEn décembre 1681, la noblesse de la Basse Alsace prête serment de fidélité à la France. Louis XIV installe au château le directoire de la noblesse de Basse Alsace : il y demeure jusqu'en 1682, date de son retour à Strasbourg. Le 28 mai 1777, les préposés et délégués des communautés juives, rabbinat de la noblesse de Basse Alsace, siègent à Niedernai pour rédiger le protocole de la Nation juive.
La période révolutionnaire
modifierLa Révolution éclate un peu partout en France. Niedernai n'échappe pas à la tourmente révolutionnaire. Les Landsberg n'ayant plus d'héritier direct, la possession du château va passer par mariage aux barons de Reinach-Werth. Cette famille va fortement s'impliquer dans la commune. Trois membres de cette famille vont devenir maires de la commune entre 1872 et 1869. Ils seront également hommes politiques (sénateurs, préfet, conseillers généraux ou militaires).
Le déclin
modifierAu début du XVIIIe siècle, les conditions de vie deviennent de plus en plus difficiles. On assiste à des famines. Plus tard, le déclin industriel provoque une baisse très sensible de la population. Le reste de la population s'installe le plus près possible des lieux de travail.
Héraldique
modifier
Les armes de Niedernai se blasonnent ainsi : |
Politique et administration
modifierListe des maires
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2021, la commune comptait 1 253 habitants[Note 5], en évolution de 2,87 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : 3,22 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Lieux et monuments
modifier- L'église Saint-Maximin (fin XIXe siècle)
- En 1785, l'église du couvent de Feldkirch est détruit par un violent orage. Les habitants utilisent alors l'ancienne chapelle castrale des Landsberg pour le service religieux. L'ancienne chapelle a depuis été reconvertie en école primaire Sainte-Barbe. En 1891 une nouvelle église est reconstruite qui sera consacrée le par monseigneur Charles Marbach, évêque auxiliaire de Strasbourg. En , les cloches seront démontées par l'armée allemande pour être fondues. En 1923, l'église retrouvera de nouvelles cloches.
- À l'intérieur : un baptistère (1884) seul objet ayant pu être sauvé lors de l'incendie de l'ancienne église de Feldkirch en 1785 ; ainsi qu'un reliquaire (XVIIIe siècle) contenant une main argentée est exposée dans l'église. Il contient des reliques de sainte Barbe et saint Maximin.
-
Église Saint-Maximin (1893). -
Vue intérieure de la nef
vers le chœur. -
Orgue Andreas Silbermann - Rinckenbach (1713-1898). -
Vierge à l'enfant (XVe siècle).
- Mairie du XVIIe siècle
- Domaine fortifié des Landsberg (1434)
- Le domaine du château comprend un donjon, une chapelle gothique, un manoir Renaissance et une maison néo-Renaissance. Les Landsberg occupent le premier fort, édifié sur une motte de 5,65 mètres d'altitude, ceint de remparts et dont les fossés sont alimentés par un canal de dérivation de l'Ehn, le Stadelbach. Le manoir est modifié et agrandi aux XVIIIe et XIXe siècles. La maison est réaménagée au XIXe siècle ; seuls en subsistent la façade du pignon à escalier et la tour du nid de cigogne datant du XVe siècle. Au XIXe siècle, des travaux sont entrepris pour modifier le couronnement du donjon. Le manoir sert de caserne et d'hôpital pendant la Deuxième Guerre mondiale.
- Tour de guet (1439)
- La tour de guet, dite aussi Glockenturm est une ancienne tour flanquante de l'enceinte urbaine. Elle présente un appareillage grossier ainsi qu'un chaînage d'angle à bossage et à large liséré. Ses meurtrières sont adaptées pour le tir au canon. Cette tour de guet se trouve actuellement à l'intérieur du cimetière.
- Ancienne chapelle Sainte-Barbe (1741)
- Ancien moulin (XVIIe siècle)
- Hangar à tabac
- Corps de garde
-
Glockenturm (XIIIe – XVIe siècle) : vestige de fortification. -
Château de Landsberg
(XIVe – XVIe siècle et XIXe siècle). -
Ancienne chapelle Sainte-Barbe-et-Saint-Laurent (XVIIIe siècle), aujourd'hui école. -
Corps de garde (XIXe siècle),
9 rue Principale. -
Maison (XVIIIe siècle),
53 rue Principale.
Personnalités liées à la commune
modifier- Harada Rihakou (1890-1954), peintre, illustrateur et poète japonais, est mort à Niedernai.
Jumelages
modifier- Nordrach en Forêt-Noire (Allemagne), en 1998.
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:05 TU à partir des 514 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/07/1981 au 01/04/2024.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Niedernai » sur Géoportail (consulté le 11 juin 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Fiche communale de Niedernai », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « l'Andlau »
- Sandre, « l'Ehn »
- « Station hydrométrique A2610200 », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
- Sandre, « le Darsbach »
- « SAGE Ill Nappe Rhin », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Niedernai et Entzheim », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Niedernai ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Theudelinde est qualifiée de dame noble (illustris madona). Avec l'autorisation de son mari Ricpert ou Rupert, elle renonce à poursuivre sa vie conjugale pour rentrer dans les ordres. En 746, la religieuse Theudelinde fait à l'abbaye de Wissembourg une donation située à Lortzheim, village aujourd'hui disparu près de Schwindratzheim.
- Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).
- Les maires de Niedernai, sur le site Geneawiki
- « REINACH-WERTH, Maximilien Benoît Félix baron de », sur Archives nationales (consulté le ).
- [PDF]« Liste des maires du Bas-Rhin au 1er avril 2008 », sur bas-rhin.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.