Montréal-les-Sources
Montréal-les-Sources est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Montréal-les-Sources | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | CC des Baronnies en Drôme Provençale | ||||
Maire Mandat |
Didier Laffitte 2022-2026 |
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Code postal | 26510 | ||||
Code commune | 26209 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montréalais, Montréalaises | ||||
Population municipale |
24 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 2,3 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 24′ 08″ nord, 5° 18′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 427 m Max. 1 301 m |
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Superficie | 10,26 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Nyons (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Nyons et Baronnies | ||||
Législatives | 3e circonscription de la Drôme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | https://montreal-les-sources.fr/ | ||||
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Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune est située à 20 km à l'est de Nyons, 17 km (par la route, 6 km à vol d'oiseau) de Rémuzat.
Elle fait partie du parc naturel régional des Baronnies provençales.
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Arpavon, Le Poët-Sigillat, Sahune et Saint-May.
Relief et géologie
modifier- Col d'Aubonne[1].
Hydrographie
modifier- Le ruisseau Montréal est un affluent de l'Eygue. Il parcourt 5,5 km à travers les communes de Sahune et de Montréal. En 1891, sa largeur moyenne était de 11,40 m, sa pente de 109 m, son débit ordinaire de 0,50 m3, extraordinaire de 15 m3[2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 978 mm, avec 7,6 jours de précipitations en janvier et 4,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Remuzat »sur la commune de Rémuzat à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 889,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Montréal-les-Sources est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nyons, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (83 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (39 %), zones agricoles hétérogènes (12,8 %), cultures permanentes (5,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
modifierVillage perché[1].
Habitat et logement
modifierEn 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 45, alors qu'il était de 48 en 2013 et de 51 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 25,2 % étaient des résidences principales, 66 % des résidences secondaires et 8,8 % des logements vacants. Ces logements étaient en totalité des maisons individuelles[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Montréal-les-Sources en 2018 en comparaison avec celle du Drôme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (66 %) très supérieure à celle du département (8 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 100 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (92,9 % en 2013), contre 61,9 % pour le Drôme et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Montréal-les-Sources[I 2] | Drôme[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 25,2 | 83,3 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 66 | 8 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 8,8 | 8,6 | 8,2 |
Toponymie
modifierSelon le dictionnaire topographique du département de la Drôme[13], la localité est attestée sous les noms de :
- 1231 : Castrum de Mons Réal (Inventaire des dauphins, 240).
- 1284 : Castrum de Monte Regali (Valbonnais, II, 118).
- 1293 : Castrum Montis Regalis (Valbonnais, I, 35).
- 1891 : Montréal, commune du canton de Rémuzat.
Le conseil municipal demande en 1918 que le nom de la commune, jusqu'alors Montréal', soit complété par -les-Sources afin d'éviter les errements du courrier à travers les différents Montréal de France[14], ce qui est obtenu en 1920[15].
La première partie du toponyme provient du latin mons « montagne, mont, élévation ».
Deux hypothèses pour la deuxième partie :
- de l'ancien français réal « royal » issu du latin regalis[réf. nécessaire].
- d'un russeal « ruisseau » (1120). Une copie fautive aurait transformé réal puis réalis en régalis souvent traduit par « royal » mais le ru en provençal désigne le ruisseau et la prononciation en langue vernaculaire du village est Monriaou[réf. nécessaire].
Histoire
modifierAntiquité
modifierDans les années 1947-1948, a été trouvée une épitaphe datée du Ier siècle (conservée actuellement dans le château de Sahune) qui était dédiée à un Lucius Valerius Cometius, vétéran de la Legio VIII Augusta.
Ce dernier serait venu se retirer vraisemblablement dans son domaine familial après son service. Malgré son nom latin, conforme aux normes de l'époque, il s'agissait probablement d'un Voconce qui jouissait de la citoyenneté romaine. Il avait servi sous les militavit armis antesignanis (« armes précédant les enseignes »), c'est-à-dire dans un peloton d'élite[16],[14].
Du Moyen Âge à la Révolution
modifierLa seigneurie[13] :
- Au point de vue féodal, Montréal était une terre des barons de Sahune ou d'Ancezune.
- 1201 : les princes d'Orange de la maison de Baux y acquièrent quelques droits.
- 1282 : la terre est hommagée aux barons de Mévouillon.
- 1336 : elle passe aux dauphins, héritiers des barons de Mévouillon.
- 1341 : les dauphins vendent leurs droits aux princes d'Orange.
- Passe (par mariage) aux Saluces.
- Recouvrée par les princes d'Orange. Ces derniers la donnent en apanage à un bâtard.
- Vers 1501 : passe (par héritage) aux Poitiers d'Allan.
- Vers 1551 : passe (par mariage) aux Pape-Saint-Auban.
- 1602 : passe (par mariage) aux Caritat.
- Vendue presque aussitôt aux Fortia.
- Vers 1730 ; passe (par mariage) aux Galéan de Gadagne, derniers seigneurs.
Avant 1790, Montréal était une communauté de l'élection de Montélimar et de la subdélégation et du bailliage du Buis, formant une paroisse du diocèse de Sisteron[13].
Saint-Julien
modifierAncienne chapelle et quartier de la commune de Montréal. La chapelle existait encore en 1792. En 1891, elle est en ruine[17]
Révolution française et Empire
modifierEn 1790, la commune est comprise dans le canton de Sainte-Jalle. La réorganisation de l'an VIII en fait une commune du canton de Rémuzat[13].
Époque contemporaine
modifierPolitique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Nyons du département de la Drôme.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rémuzat[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Nyons et Baronnies
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Drôme.
Intercommunalité
modifierPenvénan était membre de la très petite communauté de communes du Pays de Rémuzat, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes des Baronnies en Drôme provençale, dont est désormais membre la commune.
Liste des Maires
modifierDistinctions et labels
modifierEn 2014, la commune obtient du label « ville fleurie » avec « une fleur » attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[26]. La deuxième fleur est obtenue en novembre 2019. Le village est alors la plus petite commune de France à recevoir ce label[27].
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2021, la commune comptait 24 habitants[Note 2], en évolution de −7,69 % par rapport à 2015 (Drôme : 2,94 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
modifier- Fête : premier dimanche de septembre[1].
Sports et loisirs
modifier- Randonnées : sentiers pédestres vers le Poët-Sigillat et Rémuzat[1].
Économie
modifierEn 1992 : bois, pâturages (ovins), abricotiers[1].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Fontaine des Nayses[1].
- La chapelle Saint-Julien, chapelle rurale de style roman[1].
Au XIe siècle, cette chapelle payait une redevance à l'évêque de Sisteron. Par charte du pape Innocent II, la chapelle devient une possession bénédictine[réf. nécessaire].
Cette chapelle surplombe le torrent dit de Saint-Julien à un kilomètre environ au sud-est du village. De ce monument il ne reste plus que l'abside ronde et voûtée, la nef a été détruite. Les offices réguliers étant tenus dans l'église du village, elle a été délaissée. Les travaux d'aménagement du nouveau cimetière ont permis de découvrir des vestiges funéraires confirmant que ce lieu avait déjà servi de sépulture[réf. nécessaire].
En 1850, le chanoine Isnard, ancien curé de Lemps, fait de la chapelle une description romantique : « combe » "Ce petit sanctuaire est aujourd'hui totalement abandonné. Sa porte vermoulue est arrachée de ses gonds, et gît sur la pelouse. L'extrados de sa voûte se montre dépouillée d'une partie de sa couverture en tuiles creuses. Tandis que la pluie du ciel dégrade le faîte du monument, les eaux furieuses qui descendent de la montagne viennent battre et ruiner ses fondations ; déjà les premières assises sont entamées. Ruinées par la base, elles perdent chaque jour de leur cohésion, elles se désagrègent une à une, et glissent dans le ravin à six mètres de profondeur.
Si l'édilité de Montréal, si peu soucieuse de son histoire, ne porte pas un prompt remède à cet état de choses, bientôt la masse de l'édifice aura perdu son équilibre, il s'écroulera en quartiers de murs et descendra comme une avalanche dans l’abîme sur lequel il est suspendu, pour ensevelir l'histoire de son passé dans un éternel oubli. »[réf. nécessaire].
Depuis des travaux de restauration ont permis à l'édifice de retrouver son aspect d'antan[réf. nécessaire].
- Grottes et Bois du Seigneur[1].
- Col d’Ambonne
-
La chapelle Saint-Julien
-
Côté de la chapelle.
-
Lavoir et fontaine.
-
Une rue.
-
Monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
modifierPour approfondir
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site de mémoire de la Drôme, archivant plus de 133 000 photographies classées, et son outil de recherche.
- « Dossier complet : Commune de Montréal-les-Sources (26209) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
- « Montréal-les-Sources » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Montréal-les-Sources - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Montréal-les-Sources - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Drôme - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Montréal-les-Sources.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 234 (ruisseau).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Montréal-les-Sources et Rémuzat », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Remuzat », sur la commune de Rémuzat - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Remuzat », sur la commune de Rémuzat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nyons », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 234 (commune).
- « Histoire », sur montreal-les-sources.fr (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- M. Desaye, dans la revue Terres d'Eygues, numéro 44
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 344 (Saint-Julien).
- « Les maires de Montréal-les-Sources », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Montréal les Sources / Mariage », sur memoire-drome.com, (consulté le ) « es habitants du village de Montréal les Sources invités à l'occasion du mariage d'un couple belge : [...] René Gras, maire (en haut) ».
- « Montréal les Sources / Carole Lhomme : Carole Lhomme (âgée de 25 ans), maire de Montréal les Sources (l'un des plus jeunes maires de France). », sur memoire-drome.com, (consulté le ).
- « Montréal les Sources / Fête des Montréals de France : Les élus des différentes communes des "Montréal de France" lors du rassemblement à Montréal les Sources : de gauche à droite, Christian Jevaudan, Carole Lhomme, maire de Montréal les Sources et Gérard Besseras, maire de Montréal (Gers) », sur memoire-drome.com, (consulté le ).
- Z.B., « Christian Bartheye, maire de Montréal-les-Sources, est décédé », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne, consulté le ).
- « Deuxième mandat pour Christian Bartheye », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le ministre Didier Guillaume en visite « par pure amitié » », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne, consulté le ).
- « Didier Laffitte est le nouveau maire de la commune », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne, consulté le ).
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
- « Accueil », sur montreal-les-sources.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.