Monchy-le-Preux
Monchy-le-Preux est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Monchyssois. La commune est membre de la communauté urbaine d'Arras.
Monchy-le-Preux | |||||
Le caribou, emblème du régiment royal de Terre-Neuve qui a combattu lors de la Première Guerre mondiale sur la commune. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté urbaine d'Arras | ||||
Maire Mandat |
Olivier Degauquier 2020-2026 |
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Code postal | 62118 | ||||
Code commune | 62582 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Monchyssois | ||||
Population municipale |
658 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 71 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 16′ 14″ nord, 2° 53′ 39″ est | ||||
Altitude | Min. 52 m Max. 113 m |
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Superficie | 9,26 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Arras (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Arras-2 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine, qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).
Géographie
modifierLocalisation
modifierLocalisée dans le sud-est du département du Pas-de-Calais, Monchy-le-Preux est une commune rurale située à 11 km à l'est-sud-est de la commune d’Arras, chef-lieu du département.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 9,26 km2 ; son altitude varie de 52 à 113 m comme le montre la photo de la borne de nivellement ci-contre sur le mur de l'église[1].
Hydrographie
modifierLe territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].
La commune est traversée par le Cojeul, cours d'eau de 25 km, qui prend sa source dans la commune de Douchy-lès-Ayette et se jette dans la Sensée au niveau de la commune d'Éterpigny[3].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 735 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 3 km à vol d'oiseau[6], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,3 | 1,4 | 3,4 | 5,1 | 8,4 | 11,2 | 13,1 | 13,1 | 10,7 | 7,9 | 4,4 | 1,9 | 6,8 |
Température moyenne (°C) | 3,8 | 4,3 | 7,2 | 10 | 13,3 | 16,2 | 18,4 | 18,4 | 15,4 | 11,5 | 7,2 | 4,3 | 10,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,2 | 7,2 | 11 | 14,9 | 18,1 | 21,2 | 23,6 | 23,7 | 20,1 | 15,2 | 9,9 | 6,7 | 14,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−14,1 12.01.1987 |
−13,3 07.02.1991 |
−9,4 13.03.13 |
−4,4 20.04.17 |
−1,3 07.05.1997 |
2,3 05.06.1991 |
5,1 31.07.15 |
4,4 02.08.15 |
0,5 30.09.18 |
−4 24.10.03 |
−8,6 24.11.1998 |
−12,8 29.12.1996 |
−14,1 1987 |
Record de chaleur (°C) date du record |
14,9 09.01.15 |
18,2 26.02.19 |
24,3 31.03.21 |
26,8 20.04.18 |
30,5 12.05.1998 |
34,4 18.06.22 |
41,7 25.07.19 |
37,6 06.08.03 |
34,6 15.09.20 |
29,3 01.10.11 |
19,9 07.11.15 |
16,1 07.12.00 |
41,7 2019 |
Précipitations (mm) | 56,7 | 48,7 | 50,2 | 42,7 | 61 | 60,9 | 64,9 | 62,9 | 57,6 | 65,4 | 64 | 76,4 | 711,4 |
Milieux naturels et biodiversité
modifierZones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : le marais de Wancourt-Guemappe, d’une superficie de 76 ha et d'une altitude variant de 51 à 70 mètres. Ce site constitue un vaste espace humide entouré par de l’agriculture intensive, il est composé d’un complexe de prairies alluviales anciennement exploitées, à courtes périodes d’inondations et est souvent asséché l'été[10].
et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : le complexe écologique de la vallée de la Sensée, d’une superficie de 50,53 km2 et d'une altitude variant de 30 à 45 mètres. Cette ZNIEFF de la vallée de la Sensée s’étend sur plus de 20 kilomètres depuis les communes de Remy et Haucourt jusqu’à la confluence de la rivière canalisée avec l’Escaut. Elle forme une longue dépression à fond tourbeux, creusée entre des plateaux aux larges ondulations ; Ostrevent au Nord, bas-Artois au Sud et Cambrésis à l’Est[11].
-
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Espèces faunistiques et floristiques
modifierL’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[12].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Monchy-le-Preux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[14]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,8 %), zones urbanisées (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Monchiacum en 1235 ; Monchi le Perreus en 1261 ; Monchiacum Petrosum en 1270 ; Monci-le-Perreus en 1308 ; Monchy-le-Preus en 1322 ; Monchy-le-Preulx au XVe siècle ; Monchy-Perreus en 1330 ; Moncy-le-Perreur en 1419 ; Monchy-lez-Perreux en 1515 ; Monchy-Proeux en 1613 ; Monchy-lez-Preux en 1785[18] ; Monchy Preux en 1793 ; Monchy-le-Preux depuis 1801[1].
Histoire
modifier{{|Monchy-le Preux-constituait une position stratégique importante près d'Arras lors de la Première Guerre mondiale. Des corefnecmbats sanglants s'y déroulèrent. C'est à partir du village que les Allemands bombardèrent Arras et détruisirent le beffroi. Cependant c'est sur le territoire de Monchy que l'on peut voir le long de la RD 939 une borne marquant la limite de l'avancée de l'armée allemande pendant la Première Guerre mondiale. À la suite des bombardements le village a dû être reconstruit et en 1921 le village fut entièrement reconstruit grâce à Fréderic Mhinnai.|septembre 2024}}
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais[19].
Commune et intercommunalités
modifierLa commune est membre de la communauté urbaine d'Arras qui regroupe 46 communes et compte 109 776 habitants en 2021[19].
Circonscriptions administratives
modifierLa commune est rattachée au canton d'Arras-2[19].
Circonscriptions électorales
modifierPour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais[20].
Élections municipales et communautaires
modifierListe des maires
modifierJumelages
modifierLa commune est jumelée avec Monchy-sur-Eu (France, Seine-Maritime), depuis 1990.[réf. nécessaire]
Population et société
modifierDémographie
modifierLes habitants sont appelés les Monchyssois[32].
Évolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].
En 2021, la commune comptait 658 habitants[Note 7], en évolution de −4,36 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Pyramide des âges
modifierEn 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 319 hommes pour 330 femmes, soit un taux de 50,85 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifier- Importante boulangerie industrielle du groupe belge Vandemoortele, 150 p.[38] (auparavant connue sous le nom de Croustifrance).
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'église Saint-Martin.
- Le monument aux morts[39].
- Le monument commémoratif représentant un caribou en bronze, du sculpteur britannique Basil Gotto (d), érigé pour commémorer le sacrifice des soldats du régiment royal de Terre-Neuve qui ont tenu leur position le . Le caribou, emblème de ce régiment, se dresse sur les ruines d'une cave fortifiée par les Allemands, en direction de la Colline de l'Infanterie, cairn granitique d'où l'armée allemande organisait sa défense. Des monuments commémoratifs présentant un caribou de bronze, en hommage régiment royal de Terre-Neuve, se trouvent à Masnières, Beaumont-Hamel, Gueudecourt, Courtrai en Belgique et Gallipoli en Turquie[40],[41],[39].
- La plaque commémorative en hommage aux soldats du régiment royal de Terre-Neuve apposée sur le monument représentant un caribou, emblème du régiment royal de Terre-Neuve.
- La plaque commémorative en hommage aux régiments britanniques, apposée sur le monument aux morts[39].
- Les trois cimetières militaires britanniques de la Première Guerre mondiale sont implantés sur le terroir de la commune :
-
L'église Saint-Martin. . -
Le monument aux morts. . -
Le caribou, emblème du régiment royal de Terre-Neuve.
-
La plaque commémorative en hommage aux soldats du régiment royal de Terre-Neuve.
-
La plaque commémorative en hommage hommage aux soldats du Régiment d'Essex.
Personnalités liées à la commune
modifierL'architecte et théoricien Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879), à qui l'on doit la restauration et la sauvegarde de très nombreux édifices en France (Vézelay, Notre-Dame de Paris et Notre-Dame d'Amiens, Carcassonne, Saint-Sernin de Toulouse, etc.) avait conçu les plans d'une petite chapelle de style gothique pour monsieur Louis Florent, élu député du Pas-de-Calais à plusieurs reprises.
Il fit venir les sculpteurs amiénois Aimé et Louis Duthoit, forts réputés en leur temps et dans cette région, pour sculpter un petit autel de pierre et y placer une belle statue de Vierge à l'Enfant (vers 1863), attribuée à Jean-Baptiste Carpeaux (exposée dans un musée d'Arras).
Cette chapelle fut rasée pendant la Première Guerre mondiale. Elle dépendait d'un château occupé par les Allemands, d'où le Kromprinz (Frédéric-Guillaume, fils de l'empereur Guillaume II) vint suivre les épisodes du siège d'Arras. Le château (et sa chapelle) de la famille Florent fut reconstruit après la Grande Guerre, ainsi que la totalité du village. Pour l'édifice initial, le château de Pau avait servi de modèle d'inspiration à l'architecte[42].
L'entraineur de football, Guy Roux a habité le village lorsqu'il entrainait le Racing Club de Lens au début de la saison 2007/2008.
Héraldique
modifierBlason | De sable à l'écusson d'argent à l'arbre arraché de sinople en abîme, accompagné de quatre clefs versées d'argent[43].
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Détails | Adopté par la municipalité le . |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierOuvrages consultables aux archives départementales du Pas-de-Calais[44] :
- A. Jacques, J.-M. Girardet et J.-L. Letho-Duclos, Sur l'axe stratégique Arras-Cambrai, Tilloy-les-Mofflaines, Monchy-le-Preux (1914-1918), Arras, Cercle archéologique arrageois, 1999.
- D. Vermeersch, Monchy-le-Preux. Terrier de l'abbaye d'Hasnon milieu XVIIIe siècle, Arpège, 1998.
Articles connexes
modifier- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France
Liens externes
modifier- Dossier de la commune sur le site de l'Insee[Note 8], [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur "Remonter le temps", sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 9]
- « La commune » sur Géoportail.
Bases de données, dictionnaires et encyclopédies
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Mars 2021 : Démission du 1er Adjoint Frédéric Legland.
- Juin 2021 : Démission du 3ème Adjoint Eric Dewever.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Cojeul (E1560650) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Monchy-le-Preux et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « ZNIEFF 310030032 - Marais de Wancourt-Guemappe », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007249 - Le complexe écologique de la Vallée de la Sensée », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Monchy-le-Preux ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
- « Rattachements administratifs de la commune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) (consulté le ).
- « Circonscriptions législatives : Table de correspondance des communes et des cantons pour les élections législatives de 2012 et sa mise à jour pour les élections législatives 2017 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- « À la mémoire de Monsieur Serge Lemette », sur memoire.lavoixdunord.fr, (consulté le ).
- « À Monchy-le-Preux, de nombreuses réalisations pour le dernier mandat du maire : https://www.lavoixdunord.fr/620178/article/2019-08-01/monchy-le-preux-de-nombreuses-realisations-pour-le-dernier-mandat-du-maire », La Voix du Nord, (Michel Zéchel a œuvré avec sa municipalité à équiper et à dynamiser le village. Alors qu’il s’apprête à passer la main, le maire dresse le bilan de ce deuxième mandat, consulté le ) « Michel Zéchel ne se représentera pas en mars pour un nouveau mandat de maire. « J’arrête, ma décision était déjà prise dès l’entame de ce mandat en 2014. Être maire, ça use et ça prend beaucoup de temps. » Pour les municipales de 2020, le maire apporte son soutien à son premier adjoint, Jean-Claude Warembourg, qui sera accompagné de membres du conseil sortant ».
- Nicolas André, « Bilan des maires - Monchy-Le-Preux - Michel Zéchel: « Assurez le développement tout en veillant à conserver l’identité rurale » : Michel Zéchel, élu en mars 2008 avait succédé à Serge Lemette. Cet ancien directeur divisionnaire des impôts s’est tout naturellement familiarisé avec la paperasserie et les finesses de la gestion communale », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Monchy-le-Preux : Michel Zechel, réélu pour un second mandat », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Sarah Bardis, « Les projets du maire de Monchy-le-Preux: un béguinage et la mairie rénovée : Son projet phare ? Un béguinage. Pour son second mandat à la tête de Monchy-le-Preux, Michel Zechel ne se laisse pas abattre par la morosité. Il continue sur sa lancée pour améliorer la qualité du patrimoine foncier », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Coup de théâtre à Monchy-le-Preux : aussitôt élu le maire démissionne et est remplacé ! : À peine élu maire, Jean-Claude Warambourg a démissionné, celle qu'il voyait première adjointe ayant été battue par Olivier Degauquier qui est finalement devenu… maire ! », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Nathalie Labreigne, « À Monchy-le-Preux, Jean-Claude Warambourg renonce au fauteuil de maire : Il avait sollicité la préfecture pour faire invalider l’élection d’Olivier Degauquier. Mais devant la lourdeur de la procédure, Jean-Claude Warambourg préfère jeter l’éponge », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Laurent Boucher, « Monchy-le-Preux : déception et tensions en marge du conseil municipal : L’élection d’Olivier Dugauquier après la démission de Jean-Claude Warambourg, alors que ce dernier venait tout juste d’être élu maire, complique la conduite des affaires municipales. En atteste l’ambiance mardi soir à la salle polyvalente », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Laurent Boucher, « Monchy-le-Preux : Olivier Degauquier, un maire « surprise » qui a vite pris ses marques : Élu dans la foulée de la démission surprise de Jean-Claude Warambourg lors d’un conseil municipal rocambolesque, le 25 mai, Olivier Degauquier n’a pas tardé à entrer dans le vif du sujet à la tête de la mairie. Il ne manque pas de projets pour dynamiser le village », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Monchy-le-Preux : la démission du premier adjoint, signe de tensions municipales persistantes », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- « Monchy-le-Preux : le maire veut voter le retrait de sa délégation, l’adjoint lui coupe l’herbe sous le pied », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Monchy-le-Preux (62582) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Le belge Vandemoortele poursuit son expansion à Arras - Quotidien des Usines », sur usinenouvelle.com/ (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- « Conception et construction », sur veterans.gc.ca (consulté le ).
- « Le sentier du caribou », sur veterans.gc.ca (consulté le ).
- R. Delas, auteur d'une thèse de doctorat sur l'œuvre d'Aimé (1803-1869) et de Louis Duthoit (1807-1874) à l'Université de Picardie Jules-Verne (Amiens).
- Armorial de France, p. 15203
- « La commune de Lievin », sur archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).