Lesdins
Lesdins est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Lesdins | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Saint-Quentin | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Saint-Quentinois | ||||
Maire Mandat |
Fabien Blondel 2020-2026 |
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Code postal | 02100 | ||||
Code commune | 02420 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lesdinois(es) | ||||
Population municipale |
827 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 78 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 53′ 47″ nord, 3° 19′ 38″ est | ||||
Altitude | Min. 76 m Max. 139 m |
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Superficie | 10,63 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Saint-Quentin (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Quentin-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
modifierCommunes limitrophes
modifierHydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Somme la rivière, le canal de St-Quentin bief de partage de l'écluse 18 Lesdins à l'écluse 17 Bosquet, le canal de St-Quentin vers la Somme le canalisée, le fossé des fontaine ferree, la rigole du Noirieux[1] et divers autres petits cours d'eau[Carte 1].
La Somme est un fleuve du nord de la France, en région Hauts-de-France, qui traverse les deux départements de l'Aisne et de la Somme. Il prend sa source dans la commune de Fonsomme et se jette dans la Manche par la baie de Somme entre Le Crotoy et Saint-Valery-sur-Somme[2].
Le canal de Saint-Quentin, long de 92,5 km, assure la jonction entre l'Oise, la Somme et l'Escaut et met en relation le Bassin parisien, le Nord de la France et la Belgique. La commune est traversée par le bief de partage[3].
Le canal de Saint-Quentin, long de 92,5 km, assure la jonction entre l'Oise, la Somme et l'Escaut et met en relation le Bassin parisien, le Nord de la France et la Belgique[4].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Haute Somme ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 798 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Haute Somme est constitué d'un réseau hydrographique complexe de cours d'eau, de marais, d'étangs et de canaux. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[5].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 714 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Clercs à 13 km à vol d'oiseau[8], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 683,4 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Lesdins est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[13]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (88,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (87 %), forêts (6,5 %), zones urbanisées (5,7 %), eaux continentales[Note 3] (0,8 %)[16].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
modifierLe village apparaît pour la première fois en 1146 sous son appellation actuelle Lesdin dans un cartulaire de l'Abbaye de Longpont. In territorio de Lesdino[Quand ?], Lesding[Quand ?], Lesdaing[Quand ?], Laisdin[Quand ?], Lesdain[Quand ?], Lédin[Quand ?], Lesdains[Quand ?], Lesdin sur la Carte de Cassini vers 1750 et enfin l'orthographe actuelle Lesdins au XIXe siècle[17].
Histoire
modifier Carte de Cassini
La carte de Cassini ci-contre montre qu'au milieu du XVIIIè siècle, Lesdins est une paroisse qui possède un château. Le village est situé au nord du cours de la Somme qui formait, comme aujourd'hui de nombreux étangs et des zones marécageuses. Un moulin à eau est installé sur le cours de la Somme.
Au nord, le hameau du Tronquoy qui appartenait alors à l'Abbaye de Longpont est mentionné Troncoi, Troncoit, Molendinum de Tronkoy « moulin de Tronquoy »[18].
Canal de Saint-Quentin
Inauguré en 1810 par Napoléon, le Canal de Saint-Quentin apporta un important essor économique au village avec l'implantation d'un quai de chargement et l'établissement de nombreux commerces jusque dans les années 1980. Situé à l'entrée du tunnel du Tronquoy, les nombreuses péniches attendaient le toueur pour traverser en convoi ce tunnel et celui de Riqueval. avec l'implantation d'un quai de chargement et l'établissement de nombreux commerces jusque dans les années 1980.
La sucrerie
Une sucrerie fut créée en 1870 par Charles Lemaire au bord du canal. Détruite en octobre 1918 lors des combats pour la libération du secteur, elle fut remplacée par une simple râperie en 1919. Celle-ci cessa son activité à la fin des années 60[19].
L'ancienne ligne de chemin de fer du Cambrésis
La ligne de chemin de fer du Cambrésis a fonctionné de 1892 à 1954. Chaque jour, 6 trains partis de la gare du Cambrésis à Saint-Quentin, s'arrêtaient à Lesdins et partaient en direction de Cambrai[20] et 6 autres venaient de Cambrai pour se diriger vers Saint-Quentin. La gare, située près du canal, est transformée aujourd'hui en habitation (voir les horaires[21]).
Première guerre mondiale
Après la bataille des frontières du 7 au , devant les pertes subies, l'état-major français décide de battre en retraite depuis la Belgique. Le [22], les Allemands s'emparent du village et poursuivent leur route vers l'ouest[23]. Dès lors commença l'occupation qui dura jusqu'au début de 1917. Pendant toute cette période, Lesdins restera loin des combats, le front se situant à une quarantaine de kilomètres à l'ouest vers Péronne. Le village servira de base arrière pour l'armée allemande.
En , le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front ; cette ligne Hindenburg de fortifications s'appuie sur le canal de Saint-Quentin. Lesdins et la butte du Tronquoy sont donc stratégiques. Les habitants du village sont évacués par les Allemands à l'arrière.
En , devant l'offensive des Alliés sur le front les Allemands cèdent du terrain peu à peu. Le , les troupes anglaises et australiennes se heurtent, à l'armée allemande. Pendant plusieurs jours, le village sera l'objet de nombreux combats[24].
Le tunnel de Lesdins traverse une colline que couronnent le château et le haneau du Tronquoy. Le Tronquoy! Combien de mères anglaises ont maudit ce lieu. On s'y esty battu avec fureur et l'aspect seul de l'endroit indique pourquoi. C'est un observatoire unique où l'on domine à 20 km à la ronde. Hindenburg y tenait. Et sa ligne fameuse avait là un de ses points d'appui principaux. ( André Morizet dans le journal L'Humanité du [25]).
Au cours de ces combats, les bombardements ont provoqué de nombreuses destructions[26].
Après l'Armistice, peu à peu, les habitants évacués sont revenus, mais la population de 710 habitants en 1911 ne sera plus que de 428 en 1921 .
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le [27].
Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 28 soldats de la commune Morts pour la France ainsi que de 2 victimes civiles.
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Aisne.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Saint-Quentin. Celui-ci a été scindé par décret du et la commune rattachée au canton de Saint-Quentin-Nord[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais intégrée au canton de Saint-Quentin-2.
Intercommunalité
modifierLa commune faisait partie de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, créée fin 1999 et qui succédait au district de Saint-Quentin, créé le , rassemblant à l'origine 11 communes afin notamment de créer et développer des zones industrielles[29].
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (sous réserve de certaines dérogations bénéficiant aux territoires de très faible densité), le préfet de l'Aisne a adopté un nouveau schéma départemental de coopération intercommunale par arrêté du [30] qui prévoit notamment la fusion de la communauté de communes du canton de Saint-Simon et de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, aboutissant au regroupement de 39 communes comptant 83 287 habitants[31].
Cette fusion est intervenue le , et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération du Saint-Quentinois[32].
Liste des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2021, la commune comptait 827 habitants[Note 4], en évolution de −0,48 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Enseignement
modifierSports
modifierLe village est représenté par un club de football amateur, le FCL, qui compte deux équipes de seniors (l'une en 2e division de district, l'autre fraîchement constituée démarre en 4e division), ainsi que plusieurs équipes de jeunes. Il compte aussi l'un des plus grands centres équestres de la région[réf. nécessaire].
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Quentin.
- Monument aux morts.
- Le château de Lesdins, construit vers 1875, propriété privée de la famille de Chauvenet[39].
-
Le monument aux morts.
-
L'église vue du cimetière.
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La rue de Picardie.
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La rue de Normandie.
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Le clocher de l'église dans la verdure.
-
Carte postale de l'écluse de Lesdins en 1913. -
L'écluse no 18. -
Le canal et le vieux pont. -
La rigole du Noirieux qui alimente le canal. -
L'entrée du souterrain du Tronquoy. -
Le souterrain du Troquoy ; on aperçoit son extrémité à 1 086 m du côté de Lehaucourt.
Personnalités liées à la commune
modifier- Jack Baillet (1921-2007) : médecin né à Lesdins.
Héraldique
modifierBlason | Écartelé : au 1er d'azur à quatre fleurs de lys d'or, au 2e de gueules à deux gerbes de blé d'or, liées de sinople et rangées en bande, au 3e de sinople au lion contourné d'or, au 4e d'argent à trois merlettes de sable, le tout sommé d'un comble d'argent chargé de l'inscription « LESDINS » en lettres capitales de sable[40]. |
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Détails | Adopté par la municipalité. |
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Lesdins » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Sandre, « la rigole du Noirieux »
- Sandre, « la Somme rivière »
- Sandre, « le canal de Saint-Quentin bief de partage de l'écluse 18 Lesdins à l'écluse 17 Bosquet »
- Sandre, « le canal de Saint--Quentin vers la Somme canalisée »
- « SAGE Haute Somme », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lesdins et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques » , sur Gallica, (consulté le ).
- « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques » , sur Gallica, (consulté le ).
- « Charles Lemaire 1840 - 1906 », sur blogspot.com (consulté le ).
- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Horaire_St-Quentin,_Le_Catelet,_Caudry_en_1898.jpg
- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Horaire_de_la_ligne_du_Cambrésiis_1.jpg
- « Aisne (02) : documents sur l'occupation allemande … (B.622, ... », sur Mnesys (consulté le ).
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- http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Loïc Rossignol, « Mise en place d'un service de transport à la demande : position de l'exploitant » [PDF], sur dumas.ccsd.cnrs.fr, (consulté le ), p. 25.
- « Arrêté préfectoral du 30 mars 2016 portant Schéma départemental de coopération intercommunale de l'Aisne » [PDF], Approbation du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, Préfecture de l'Aisne (consulté le ).
- « Schéma départemental de coopération intercommunale » [PDF], Intercommunalité dans l'Aisne, Préfecture de l'Aisne, (consulté le ), p. 34 et 41-44.
- Préfecture de l'Aisne, « Arrêté n°2016-1077 en date du 15 décembre 2016 portant fusion de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin et de la communauté de communes du canton de Saint-Simon - Recueil des actes administratifs de la préfecture de l'Aisne du mois de décembre 2016 - Partie 2 » [PDF], sur aisne.gouv.fr, (consulté le ), p. 55-59.
- « Lesdins : Fabien Blondel et son équipe sont en place », Le Courrier picard, (lire en ligne) « Fabien Blondel a été le premier adjoint de Gérard Defrance, le maire sortant ».
- Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
- « Lesdins : Fabien Blondel dévoile sa liste : Suite au renoncement de Gérard Defrance à conduire une nouvelle liste, son premier adjoint prend sa succession avec une équipe renouvelée », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Éric Jonneau, « Les châteaux de l'Aisne (1/4) : Lesdins la belliqueuse », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne).
- « 02420 Lesdins (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).