Lagraulet-du-Gers

commune française du département du Gers

Lagraulet-du-Gers (L'Agraulet de Gers en gascon) est une commune française située dans le nord du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Condomois, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de comté.

Lagraulet-du-Gers
Lagraulet-du-Gers
Le village de Lagraulet-du-Gers vu de Hourès.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité Communauté de communes de la Ténarèze
Maire
Mandat
Nicolas Meliet
2020-2026
Code postal 32330
Code commune 32180
Démographie
Gentilé Lagraulétois, Lagraulétoise
Population
municipale
562 hab. (2021 en évolution de  3,31 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 54′ 16″ nord, 0° 12′ 48″ est
Altitude Min. 85 m
Max. 186 m
Superficie 27,22 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Eauze
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Armagnac-Ténarèze
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Lagraulet-du-Gers
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Lagraulet-du-Gers

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Auzoue, l'Izaute et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Lagraulet-du-Gers est une commune rurale qui compte 562 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 1 255 habitants en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Eauze. Ses habitants sont appelés les Lagraulétois ou Lagraulétoises.

Géographie

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Localisation

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Lagraulet-du-Gers est une commune située dans l'ouest du Gers, à l'est d'Eauze.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Cazeneuve, Courrensan, Eauze, Gondrin, Lauraët et Montréal.

Communes limitrophes de Lagraulet-du-Gers[1]
Montréal Lauraët
Cazeneuve   Gondrin
Eauze Courrensan

Géologie et relief

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Lagraulet-du-Gers se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier de Lagraulet-du-Gers.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Auzoue, l'Izaute, un bras de l'Auzoue, le ruisseau de Barranque, le ruisseau d'Estivau, le ruisseau de Tonnetau et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 26 km de longueur totale[4],[Carte 1].

L'Auzoue, d'une longueur totale de 74,3 km, prend sa source dans la commune de Mascaras et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Gélise à Réaup-Lisse, après avoir traversé 19 communes[5].

L'Izaute, d'une longueur totale de 37,5 km, prend sa source dans la commune de Dému et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Gélise à Castelnau d'Auzan Labarrère, après avoir traversé 11 communes[6].

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 826 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Condom à 14 km à vol d'oiseau[9], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 703,8 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 1] sont recensées sur la commune[13] :

  • la « forêt de Gondrin » (315 ha), couvrant 3 communes du département[14] ;
  • la « lande du Broc Blanc » (230 ha), couvrant 3 communes du département[15] ;
  • la « mare de Bazeilles » (3 ha)[16] ;

et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[13] : « l'Izaute et milieux annexes » (2 772 ha), couvrant 13 communes dont 12 dans le Gers et une dans le Lot-et-Garonne[17].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Lagraulet-du-Gers est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Eauze, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (52,2 %), zones agricoles hétérogènes (21 %), forêts (12,8 %), terres arables (10,3 %), prairies (2,7 %), zones urbanisées (1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Lagraulet-du-Gers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lagraulet-du-Gers.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 94,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 281 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 264 sont en aléa moyen ou fort, soit 94 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2003 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 1998, 2002 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Toponymie

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Prononcé en gascon « lagra'ulas »[23].
Du languedocien agraulo (Corneille) avec le suffixe collectif –etum[23].

Ce toponyme signifie « la houssaie ». Lagraulet : Du latin classique acrifolium, littéralement « feuille pointue »,devenu aquifolium chez Pline, d’où le nom scientifique d’Ilex aquifolium, (houx). La variante bas latine *acrifulon[24] est issue d’un croisement entre acrifolium et axifulon. L’évolution phonétique ultime de cet *acrifulon passe par l’affaiblissement du f intervocalique en v. Ce f a même pu disparaitre et être à l’origine de la forme gasconne l'agreulet orthographié en français lagraulet, avec le suffixe collectif –etum et agglutination de l’article.

Histoire

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Le seigneur Bertrand, avant de partir pour Jérusalem, reçut en 1104 sur ses terres le propre évêque de Compostelle, Diego Gelmírez.

Le pèlerinage de Compostelle

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Lagraulet-du-Gers est sur le trajet de la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. On vient de Lauraët, la prochaine commune est Eauze. Le village étant traversé par les pèlerins se rendant à Saint-Jacques-de-Compostelle l’église Sainte-Madeleine, témoigne de cette fonction de voie de passage avec sa sculpture de pèlerins et les coquilles qui se déploient en son sein.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 En cours Nicolas Meliet[25] DVG Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27]. En 2021, la commune comptait 562 habitants[Note 4], en évolution de 3,31 % par rapport à 2015 (Gers : 0,79 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 1221 0951 0941 0881 2551 1361 1611 1521 060
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 0381 054914962938969863808761
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
762706683650664720654630575
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
545410427395381358358458544
2020 2021 - - - - - - -
555562-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Revenus

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En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 215 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 518 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 150 [I 5] (20 820  dans le département[I 6]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 6,6 % 8,6 % 5,4 %
Département[I 8] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 324 personnes, parmi lesquelles on compte 78,5 % d'actifs (73,1 % ayant un emploi et 5,4 % de chômeurs) et 21,5 % d'inactifs[Note 6],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Eauze, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 120 emplois en 2018, contre 123 en 2013 et 92 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 242, soit un indicateur de concentration d'emploi de 49,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,7 %[I 11].

Sur ces 242 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 70 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 86,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture

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Secteurs d'activités

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52 établissements[Note 7] sont implantés à Lagraulet-du-Gers au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 14].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 52
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
7 13,5 % (12,3 %)
Construction 7 13,5 % (14,6 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
19 36,5 % (27,7 %)
Activités immobilières 5 9,6 % (5,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
8 15,4 % (14,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
4 7,7 % (12,3 %)
Autres activités de services 2 3,8 % (8,3 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 36,5 % du nombre total d'établissements de la commune (19 sur les 52 entreprises implantées à Lagraulet-du-Gers), contre 27,7 % au niveau départemental[I 15].

Entreprises et commerces

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Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[30] :

  • Lero, activités de soutien aux cultures (159 k€)
  • SARL Alsau, hébergement touristique et autre hébergement de courte durée (38 k€)

Agriculture

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La commune est dans le Ténarèze, une petite région agricole occupant le centre du département du Gers, faisant transition entre lʼAstarac “pyrénéen”, dont elle est originaire et dont elle prolonge et atténue le modelé, et la Gascogne garonnaise dont elle annonce le paysage[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la viticulture[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 62 47 38 26
SAU[Note 10] (ha) 2 184 2 281 2 282 2 286

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 62 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 47 en 2000 puis à 38 en 2010[33] et enfin à 26 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 58 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[34],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 2 184 ha en 1988 à 2 286 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 35 à 88 ha[33].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Vestiges du château médieval : une tour carrée du XIIIe siècleavec logis, vestiges d'une seconde tour carrée du XIIe siècle, enceinte fortifiée et douves en eau.
  • Dans l'église Sainte-Madeleine de Lagraulet-du-Gers, une retombée d'ogive sculptée d'un pèlerin de Saint-Jacques de Compostelle avec bourdon, gourde, chapelet et coquilles.
  • La chapelle Saint-Lannes de Saint-Lanne de style roman ainsi que le cimetière attenant, au lieu-dit Hourès, au carrefour de la D 113 et de la D 254, a été sauvegardée au début des années 2000[35].
  • Un dolmen – un des rares qui subsiste dans le département – se trouve dans le bois proche de Hourès[36]. Toutefois des doutes subsistent quant à son authenticité : il pourrait être le fruit d'un agencement naturel ou un dolmen factice monté au XIXème siècle, ce qui était à la mode de l'époque...

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Lagraulet-du-Gers » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Lagraulet-du-Gers ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Eauze », sur insee.fr (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lagraulet-du-Gers » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lagraulet-du-Gers » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lagraulet-du-Gers » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lagraulet-du-Gers » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Lagraulet-du-Gers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, « l'Auzoue »
  6. Sandre, « l'Izaute »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Lagraulet-du-Gers et Condom », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Condom » (commune de Condom) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Condom » (commune de Condom) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Lagraulet-du-Gers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF la « forêt de Gondrin » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF la « lande du Broc Blanc » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF la « mare de Bazeilles » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF « l'Izaute et milieux annexes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Lagraulet-du-Gers », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lagraulet-du-Gers », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. a et b Nouvelle revue d'onomastique - Numéros 21 à 24 - Page 193.
  24. P. Fouché, Phonétique historique du français, Klincksieck, .
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  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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