La Grimaudière

commune française du département de la Vienne

La Grimaudière est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

La Grimaudière
La Grimaudière
L'église Saint-Cybard.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté de communes du Pays loudunais
Maire
Mandat
Claude Sergent
2020-2026
Code postal 86110, 86330
Code commune 86108
Démographie
Population
municipale
401 hab. (2021 en évolution de  6,37 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 48′ 29″ nord, 0° 01′ 07″ est
Altitude Min. 76 m
Max. 121 m
Superficie 19,09 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Loudun
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Géographie

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En Haut-Poitou, dans le nord-ouest du département de la Vienne, La Grimaudière est une commune arrosée par la Dive. Deux autres communes lui sont associées : Notre-Dame-d'Or et Verger-sur-Dive.

Le climat est océanique avec des étés tempérés.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de La Grimaudière
Moncontour
(par l'enclave de Saint-Chartres)
Marnes
(Deux-Sèvres)
Saint-Jean-de-Sauves
Assais-les-Jumeaux
(Deux-Sèvres)
  Mazeuil
Craon

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 675 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Martaizé à 12,6 km à vol d'oiseau[4], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , La Grimaudière est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,5 %), zones agricoles hétérogènes (11,3 %), zones urbanisées (2,1 %), forêts (2,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de La Grimaudière est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dive. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[15],[13].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Grimaudière.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[16]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[17]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 94,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 1],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[13].

Toponymie

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Le nom de la commune dériverait du nom de la famille Grimaud, par lequel le lieu a été désigné sous la forme de Paganus Grimaudi en 1219, puis Grimauderia à partir de 1282[20].

Histoire

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À la suite d'un arrêté préfectoral du , La Grimaudière entre en fusion-association le avec celles de Notre-Dame-d'Or et Verger-sur-Dive qui deviennent associées à La Grimaudière[9].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 septembre 2013 André Gonnord[21],[22]    

Instances judiciaires et administratives

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La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics

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Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 401 habitants[Note 2], en évolution de 6,37 % par rapport à 2015 (Vienne : 1,03 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
250277260270275274267280267
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
283280307335351361373350349
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
350336330321299312337315339
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
290284480467459402393392377
2017 2021 - - - - - - -
397401-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008,selon l'Insee, la densité de population de la commune était de 20 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Économie

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Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[27], il n'y a plus que 23 exploitations agricoles en 2010 contre 31 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 1 946 hectares en 2000 à 1 826 hectares en 2010. 64 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 21 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 1 % pour les protéagineux (pois), 3 % pour le fourrage et moins de 1 % en herbes. En 2010, un hectare (3 en 2000) est consacré à la vigne[27].

Quatre exploitations en 2010 (contre sept en 2000) abritent un élevage de chèvres (1 422 têtes en 2010 contre 2 113 têtes)[27]. C’est encore un des troupeaux importants de caprins du département de la Vienne (74 500 têtes en 2011) qui est le deuxième département pour l’élevage des chèvres derrière le département des Deux-Sèvres[28].

Les élevages de bovins et d'ovins ont disparu en 2010 (respectivement 69 têtes sur trois fermes et 16 têtes sur quatre exploitations en 2000)[27].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Cybard se dresse au cœur du village, non loin de la source et de l'ancien château. Une tourelle extérieure abrite l'escalier du clocher. Le clocher-mur soutient deux cloches. La plus ancienne date de 1780 et a été baptisée Saint Cybard. Elle pèse 88 kg et sonne mi. La deuxième pèse 125 kg et date de 1967. Elle sonne . Le mur latéral nord possède deux contreforts. Le mur sud est orné d'une corniche romane à modillons présentant les sept péchés capitaux. L'unique nef est entièrement voutée en ogive. Elle comporte trois travées. Elle se termine par un chœur et une abside romane. Treize vitraux éclairent l'édifice. Le plus ancien date du XIXe siècle. Sept d'entre eux ont été inaugurés en 1992. Ils sont du maître verrier Rouillard. Depuis le jubé, des peintures du XIXe siècle couvrent les trois voûtes. L'église est inscrite comme Monument Historique depuis 1926.
  • L'église de Notre-Dame-de-Notre-Dame-d'Or est d'origine romane. Elle a été fortement remaniée à la suite d'un incendie. Le clocher-mur abrite deux cloches, l'une date de 1858 et l'autre de 1989. La statue de la Vierge située au-dessus du portail date de l'an 2000. Elle remplace une statue polychrome qui est, maintenant, installée dans l'église. Les deux travées du chœur sont classées Monument Historique depuis 1942. Deux colonnes romanes sont surmontées de chapiteaux. L'un d'eux est orné de feuilles d'acanthe et l'autre de deux sirènes hybrides à tête barbue et corps d'oiseaux. Ce dernier est classé comme Monument Historique depuis 1942. L'église abrite trois retables du XVIIe siècle en calcaire. Le retable du maître-autel est dédié à l'Assomption de la Vierge. Les deux autres représentent la Pentecôte et l'Ascension.
  • L'église de la Grimaudière est inscrite comme Monument Historique depuis 1926.
  • Les plaines du Mirebalais et du Neuvillois sont classées comme zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[29]

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Articles de Wikipédia

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Liens externes

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Sources

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre La Grimaudière et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Martaizé) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Deauville » (commune de Martaizé) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de La Grimaudière ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de La Grimaudière », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de La Grimaudière », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
  21. Décédé en fonctions.
  22. Le maire de La Grimaudière s'éteint à l'âge de 76 ans sur le site de la Nouvelle République, consulté le 12 septembre 2013.
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. a b c et d Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  28. Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
  29. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes, 2011