Guimps

commune française du département de la Charente

Guimps [ɡɛ̃] est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Guimps
Guimps
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté de communes des 4B Sud-Charente
Maire
Mandat
Line Baudouin
2020-2026
Code postal 16300
Code commune 16160
Démographie
Population
municipale
491 hab. (2021 en évolution de  3,59 % par rapport à 2015)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 27′ 51″ nord, 0° 14′ 45″ ouest
Altitude Min. 49 m
Max. 109 m
Superficie 12,60 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Barbezieux-Saint-Hilaire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Charente-Sud
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Guimps
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Guimps
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Guimps
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Guimps

Géographie

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Localisation et accès

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Guimps est une commune du sud-ouest de la Charente limitrophe de la Charente-Maritime, située 7 km à l'ouest de Barbezieux et 38 km au sud-ouest d'Angoulême.

Elle est aussi à 8 km au sud d'Archiac, 9 km au nord de Baignes, 15 km à l'est de Jonzac, et 26 km au sud de Cognac[1].

La route principale est la D 3 (D 2 en Charente-Maritime), route est-ouest qui relie Barbezieux à Jonzac. Le bourg de Guimps est à 0,8 km au nord de cette route, et est desservi par la D 125, petite départementale qui va du nord au sud, et la D 430 qui va vers le nord-ouest (ancienne voie romaine)[2].

Hameaux et lieux-dits

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Comme de nombreuses communes charentaises, Guimps possède un habitat dispersé et elle compte de nombreux hameaux et fermes. Du nord au sud, il y a chez Bruneau, la Broue, chez Monnereau, les Grands Landry, les Petits Landry, la Torte, Chillaud, Charde, chez Thibaud, Bretagne, le Mancou, la Roche, etc.[2].

Communes limitrophes

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Géologie et relief

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La commune est occupée par le Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux, qui occupe une grande partie du Sud Charente et du Cognaçais et a donné son nom à la Champagne charentaise[3]. En limite sud de la commune (chez Buguet), on trouve une petite zone de sable kaolinique et galets du Tertiaire. La vallée du Trèfle est couverte d'alluvions récentes du Quaternaire[4],[5],[6].

La commune occupe un bas plateau traversé en son centre par la vallée du Trèfle. Le relief est assez faible et les hauteurs occupent surtout le nord de la commune. Le point culminant est à une altitude de 109 m, situé aux Grands Landry. Le point le plus bas est à 49 m, situé le long du Trèfle sur la limite ouest de la commune et du département. Le bourg, construit au bord du Trèfle, est à 59 m d'altitude[2].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Réseaux hydrographique et routier de Guimps.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Trèfle, le Petit Trèfle, et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le Trèfle, affluent de la Seugne et sous-affluent de la Charente, traverse la commune d'est en ouest et passe au bourg de Guimps, construit sur sa rive droite[9]..

Le Petit Trèfle, descendant de Lamérac, se jette sur sa rive gauche un peu en aval du bourg[2].

Gestion des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Guimps est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Barbezieux-Saint-Hilaire, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[13]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,3 %), cultures permanentes (32,1 %), prairies (13,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), zones urbanisées (2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Guimps est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Guimps.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 27,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 250 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 100 sont en aléa moyen ou fort, soit 40 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

Toponymie

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Les formes anciennes sont Aguitum, Aguintum avant 800[21], Wens à l'époque carolingienne[22], Guims en 1143[23], Guimsio en 1219, Guinis, Aguinis[24], Aquinis, Vimpis[25].

L'origine du nom de Guimps remonterait à un nom d'homme germanique Windo avec la préposition a agglutinée[22]. Dottin y a vu vimpi, un mot gaulois signifiant « joli »[26].

Histoire

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La voie présumée romaine Pons-Ribérac traversait la commune d'ouest en est. Elle arrivait près du bourg à l'ouest par la D 430[2].

De nombreuses traces d'habitat gallo-romain ont été trouvées sur la commune (vestiges de villae, tegulae, monnaies du Bas-Empire...) : au Château de Guimps, Chillaud, chez Chaillou, la Petite Vallée, chez Basset[27]...

Le bourg de Guimps possédait un château dont il reste une tourelle. Il appartenait à la famille Cosson dont un des membres, Louis Cosson, fut maire d'Angoulême au XVIIIe siècle.

L'église était autrefois le siège d'un prieuré-cure dépendant de l'abbaye de Baignes[28].

 
Classe de filles et ancienne école en 1914

L'ancienne école surnommée le Couvent, située au lieu-dit Chez Touru (ou l'Ermitage sur la carte IGN[2]), était un établissement des dames de Marie de Guimps qui y ont assuré à partir de 1903 l'instruction des petites filles pauvres de la paroisse[29]. Le bâtiment a été préalablement racheté en 1876 par la congrégation religieuse des dames de Sainte-Marthe située rue de Turenne à Angoulême[30].

Au début du XXe siècle, la commune comptait encore de nombreux moulins à eau mus par le Trèfle et quelques moulins à vent sur les hauteurs[28].

Administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2014 Albert Barussaud SE Retraité
2014 2020 Pierre Ravail    
2020 En cours Line Baudoin SE Retraitée
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 491 habitants[Note 2], en évolution de 3,59 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 1531 1351 1431 0991 1438971 0981 0791 060
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
6701 007963946926815768728710
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
714736693683643645603603580
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
603546478508495500504472474
2020 2021 - - - - - - -
485491-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 242 hommes pour 238 femmes, soit un taux de 50,42 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou
1,7 
7,3 
75-89 ans
9,2 
26,9 
60-74 ans
22,9 
20,8 
45-59 ans
24,2 
17,6 
30-44 ans
18,3 
11,4 
15-29 ans
8,7 
15,5 
0-14 ans
15,0 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Économie

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Agriculture

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Coopérative agricole de Guimps en 2008.

La viticulture est une activité importante de Guimps, qui est située en Petite Champagne, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[37].

Certains producteurs vendent cognac, pineau des Charentes et vin de pays à la propriété.

La Coopérative agricole de Guimps est une minoterie et usine de boulangerie coopérative créée en 1887, par dix familles de Guimps. La minoterie a été construite en 1928[38]. Elle est fermée et en 2008, l'usine est en train d'être démontée.

Équipements, services et vie locale

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La salle des fêtes jouxtant la mairie.

Enseignement

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L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Guimps et Montchaude. Montchaude accueille l'école élémentaire et Guimps l'école primaire. L'école à Guimps comporte trois classes, dont une de maternelle. Le secteur du collège est Barbezieux[39].

Lieux et monuments

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Patrimoine religieux

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L'église paroissiale Saint-Pierre est un ancien prieuré-cure. Elle daterait du XIIe siècle. Le chœur aurait été refait avant ou après 1400. Puis elle a été très restaurée au XIXe siècle[40].

Patrimoine civil

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Au lieu-dit le Château un édifice porte la date de 1764 sur son passage couvert. Le logis a été reconstruit au XIXe siècle mais une tour et une tourelle d'escalier plus anciennes y sont accolées[41].

Patrimoine environnemental

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
De gueules à la fasce ondée d'argent chargée de trois trèfles de sinople, accompagnée en chef de deux grappes de raisin tigées et feuillées d'or et en pointe d'une gerbe de blé du même[42].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Guimps » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a b c d e et f Carte IGN sous Géoportail
  3. Michel Vigneaux, Aquitaine occidentale, Masson, , 223 p. (ISBN 2-2254-1118-2, lire en ligne), p. 48, 79
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Barbezieux », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Guimps », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. Sandre, « le Trèfle »
  10. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Barbezieux-Saint-Hilaire », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Guimps », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Guimps », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. Cartulaire de Saint-Jean-d'Angély
  22. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 338.
  23. Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Cartulaire du prieuré Notre-Dame de Barbezieux (1201-1300), , 426 p. (lire en ligne), p. 8
  24. Paul-François-Étienne Cholet (préf. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Étienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. 140
  25. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 306
  26. Georges Dottin, La langue gauloise, , 381 p. (lire en ligne)
  27. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 66,67
  28. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 195
  29. « École de l'Ermitage », notice no IA00041434, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture (quelques erreurs signalées en mai 2021).
  30. Archives départementales de la Charente, réf. 3 PPROV 170 8.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Guimps (16160) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  37. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le ).
  38. « Coopérative agricole de Guimps », notice no IA00066292, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  40. « Église Saint-Pierre », notice no IA00041431, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  41. « Le château », notice no IA00041437, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  42. « Guimps », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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