Escout

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Escout est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Escout
Escout
Église Saint-Vincent.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Sylvie Betat
2020-2026
Code postal 64870
Code commune 64209
Démographie
Population
municipale
431 hab. (2021 en évolution de −0,69 % par rapport à 2015)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 11′ 23″ nord, 0° 33′ 00″ ouest
Altitude Min. 234 m
Max. 397 m
Superficie 9,52 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Escout
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Escout
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Escout
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Escout

La prononciation est [es'kut] : l'accent tonique est sur le [u], prononcé ou, et le [t] final se prononce.

Le gentilé est Escoutois[1].

Géographie

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Localisation

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Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Escout se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 28,7 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 5,3 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Escou (1,4 km), Herrère (2,4 km), Précilhon (2,5 km), Estialescq (3,4 km), Goès (3,5 km), Oloron-Sainte-Marie (4,5 km), Bidos (4,6 km), Gurmençon (5,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Escout fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Escou, Estialescq, Herrère, Lasseube, Oloron-Sainte-Marie et Précilhon.

Communes limitrophes d’Escout[7]
Estialescq Lasseube
Précilhon   Escou
Oloron-Sainte-Marie Herrère

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier d'Escout.

La commune est drainée par le gave d'Oloron, l'Auronce, l'Escou, l'Arrigastoû, le Laberou, L'Arrigastou, le Gabarn, le ruisseau Coup, le ruisseau Glacé, le ruisseau Labronze, le ruisseau Ret Caut, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[9].

L'Auronce, d'une longueur totale de 22 km, prend sa source dans la commune de Lasseube et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Saucède, après avoir traversé 10 communes[10].

L'Escou, d'une longueur totale de 16,9 km, prend sa source dans la commune de Buzy et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Estos, après avoir traversé 9 communes[11].

L'Arrigastoû, d'une longueur totale de 11,9 km, prend sa source dans la commune de Buzy et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Ossau sur le territoire communal, après avoir traversé 6 communes[12].

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 337 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie à 5 km à vol d'oiseau[16], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 491,4 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[21],[Carte 2] :

  • « le gave d'Ossau », d'une superficie de 2 300 ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[22] ;
  • « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche », d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[23] ;

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[24],[Carte 3] : le « tourbière de Gabarn » (115,98 ha), couvrant 2 communes du département[25] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[24],[Carte 4] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[26].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Escout est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[27]. Elle est située hors unité urbaine[2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[2]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[28],[29].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,4 %), zones agricoles hétérogènes (26,9 %), forêts (23,9 %), prairies (14,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

Lieux-dits et hameaux

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  • Gabarn
  • le Hameau
  • la Serre
  • Village

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Escout est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Oloron, le Escou, le ruisseau Moulias et l'Auronce. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[33],[31].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Escout.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[34]. 50,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[35].

Toponymie

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Le toponyme Escout apparaît[36] sous les formes Escot (1385, censier de Béarn[37]), Escoot et Sent Bisentz d'Escoot (1442, notaires d'Oloron[38]), Esquoot et Scot (respectivement 1538 et 1546, réformation de Béarn[39]).

Plusieurs hypothèses ont été évoquées. Pour certains, ce nom béarnais pourrait signifier écossais ou poste de guet ou être un dérivé du nom de ruisseau « Escou ». L'hypothèse la plus vraisemblable est es coot (le pâturage)[40].

Histoire

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Paul Raymond[36] note qu'en 1385, Escout comptait 16 feux et dépendait du bailliage d'Oloron.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1995 2001 Jean Renault PS Professeur
2001 2014 Gérard Urrustoy    
2014 juillet 2020 Michel Barrère-Mazouat    
juillet 2020 En cours Sylvie Betat    

Intercommunalité

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La commune fait partie de quatre structures intercommunales[41] :

  • la communauté de communes du Haut Béarn ;
  • le syndicat AEP d'Ogeu-les-Bains ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat pour le regroupement scolaire de la vallée de l'Escou.

Jumelages

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  Biscarrués (Espagne)[42].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].

En 2021, la commune comptait 431 habitants[Note 8], en évolution de −0,69 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : 3,43 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
585437477456546543534538522
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
504506508425403418418409389
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
380354365314322284282260248
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
267300314374409394392423434
2021 - - - - - - - -
431--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie.

Économie

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L'activité est principalement agricole (polyculture, élevage, pâturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine civil

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Les deux dolmens de Peyrecor sont datés du Néolithique final.

Patrimoine religieux

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L'église Saint-Vincent-Diacre date[47] du XVIIe siècle.


Équipements

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La commune dispose d'une école élémentaire.

Personnalités liées à la commune

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  • Jean-Vincent d'Abbadie de Saint-Castin était le 3e baron de Saint-Castin et fut aussi chef amérindien. Il est né en 1652 à Escout.
  • Charles Laborde connu sous le pseudonyme de Chas Laborde, né à Buenos Aires (1886), mort à Paris (1941), passa son enfance au château Duplaa d'Escout, propriété de son père qui fit fortune en Argentine. Dessinateur, graveur, illustrateur, peintre et écrivain, il laissa ses souvenirs d'enfance dans Théodore et le Petit Chinois, édité par Lacourière en 1943[48].

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Escout » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Escout », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type I sur la commune d'Escout », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Escout », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Gentilé sur habitants.fr
  2. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune ».
  3. Stephan Georg, « Distance entre Escout et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Escout et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches d'Escout », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. « Fiche communale d'Escout », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « le gave d'Oloron ».
  10. Sandre, « l'Auronce ».
  11. Sandre, « l'Escou ».
  12. Sandre, « l'Arrigastoû ».
  13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  14. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  15. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  16. « Orthodromie entre Escout et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Oloron » (commune d'Oloron-Sainte-Marie) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Oloron » (commune d'Oloron-Sainte-Marie) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  20. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  21. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Escout », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « site Natura 2000 FR7200793 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune d'Escout », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. « ZNIEFF le « tourbière de Gabarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  27. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  28. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  31. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Escout », sur Géorisques (consulté le ).
  32. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  33. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  34. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  35. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  36. a et b Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  37. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  38. Notaires d'Oloron - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  39. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  40. Michel Grosclaude, Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Escòla Gaston Febus, Pau, 1991, p. 274.
  41. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  42. Annuaire des villes jumelées
  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Vincent-Diacre
  48. « Oloron : des œuvres rares de l’illustrateur Chas Laborde à la médiathèque », La République des Pyrénées,‎ (lire en ligne).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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