Gironde (département)
La Gironde (/ʒiʁɔ̃d/[Note 1] Écouter) est un département français situé dans le Sud-Ouest de la France, en région Nouvelle-Aquitaine. Son chef-lieu est Bordeaux, qui est aussi chef-lieu de région. De 1793 à 1795, il a porté le nom de département du Bec-d'Ambès en raison des vicissitudes politiques du début de la Première République.
Gironde | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Création du département | |
Chef-lieu (Préfecture) |
Bordeaux |
Sous-préfectures | Arcachon Blaye Langon Lesparre-Médoc Libourne |
Président du conseil départemental |
Jean-Luc Gleyze (PS) |
Préfet | Étienne Guyot |
Code Insee | 33 |
Code ISO 3166-2 | FR-33 |
Code Eurostat NUTS-3 | FR612 |
Démographie | |
Gentilé | Girondins |
Population | 1 654 970 hab. (2021) |
Densité | 166 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 50′ 14″ nord, 0° 35′ 12″ ouest |
Superficie | 9 975 km2 |
Subdivisions | |
Arrondissements | 6 |
Circonscriptions législatives | 12 |
Cantons | 33 |
Intercommunalités | 28 |
Communes | 535 |
Liens | |
Site web | gironde.fr |
modifier |
Il doit son nom à l'estuaire de la Gironde qui commence à la confluence de la Dordogne et de la Garonne au bec d'Ambès, en aval de Bordeaux.
Comportant une partie importante des Landes de Gascogne, la Gironde est le plus grand département de France métropolitaine (9 975,60 km2) et le deuxième plus grand de France, après la Guyane (83 846 km2). Le département inclut aussi un des grands vignobles français, le vignoble de Bordeaux.
Histoire
modifierAvant Rome
modifierJules César, dans ses Commentaires sur la Guerre des Gaules, remarque que ce que les habitants des territoires de Gaule qu'il désigne comme « Gaule aquitaine » (au sud de la Garonne) sont plus proches par leur culture des Ibères que des Celtes (en Gaule celtique) et des Belges (Gaule belgique) ; sans parler au Sud des Celtes d'Ibérie — Bérons, Vaccéens... — ainsi que des Celtibères[pas clair])[1].
Il pourrait s'agir d'Ibères résiduels, pour une part réfugiés à la suite de la conquête romaine de la péninsule Ibérique à l'époque des guerres puniques. On sait que l'aire aquitaine est une région où l'on parle alors des langues proto-basques : c'est probablement une seule et même variété de langues, que parlent les peuples répertoriés après la conquête romaine[1] et qui forment plusieurs cités (Elusates, Tarbelles, Vasates, etc.). Entourés des Celtes de Gaule ou d'Ibérie, ils en subissent des influences au moins matérielles et techniques[1].
S'ils conservèrent leurs parlers malgré la romanisation, c'est parce qu'une partie d'entre eux s'allie avec pendant la guerre des Gaules.[réf. nécessaire]
En ce qui concerne le territoire de la Gironde, on trouve alors, au sud de l'estuaire, le peuple des Médules, dont le nom est à l'origine du nom du Médoc. Un peu au sud-est, se trouvent les Vasates (capitale : Bazas). Au nord de l'estuaire, le territoire est dominé par les Santons, des Celtes, dont la capitale est Saintes (Mediolanum Santonum).
Période romaine
modifierAprès la conquête effectuée par Jules César de -58 à -52, pour mieux contrôler cette région alors dominée par les Santons, Rome installe près de l'estuaire des Gaulois clients des Éduens, alliés à Rome, les Bituriges Vivisques (branche d'un peuple dont la principale est celle des Bituriges Cubes (capitale : Bourges/Avaricum).
Les Bituriges Vivisques constituent une cité de l'Empire, dont le chef-lieu est Burdigala (aujourd'hui Bordeaux). Les Médules sont absorbés dans cette cité, alors que les Vasates forment une cité spécifique.
Sous le règne d'Auguste, la cité des Bituriges Vivisques est intégrée à la province de Gaule aquitaine, qui s'étend des Pyrénées à la Loire[2], et dont le premier chef-lieu est Saintes. Bordeaux en devient chef-lieu au cours du Ier siècle de notre ère. Au IVe siècle, Bordeaux devient le chef-lieu de la province d'Aquitaine Seconde, à la suite de la division des provinces augustéennes sous le règne de Dioclétien.
Bordeaux devient rapidement une des grandes villes de la Gaule romaine. C'est notamment un centre de christianisation à partir du IIIe siècle. Chef-lieu de province, elle devient siège archiépiscopal (comme Bourges, Tours, Eauze, etc.).
Haut Moyen Âge
modifierDes Wisigoths aux Francs (fin de l'Empire romain)
modifierÀ partir des années 420, la région est dominée par les Wisigoths du royaume de Toulouse, État fédéré dans le cadre de l'Empire romain d'Occident finissant, qui s'achève effectivement en 476.
En 507, les Wisigoths, vaincus par le roi franc Clovis, se replient en Hispanie. L'Aquitaine devient un territoire des rois de la dynastie mérovingienne.
Reflux des langues vasconiques
modifierBien que les Wisigoths ne purent jamais dominer le territoire de l'actuel pays basque, c'est durant cette première partie du Moyen Âge que refluent les parlers proto-basques de l'ensemble de la Vasconie, sous le coup des guerres avec les Francs puis des Maures[3],[4],[5].
Moyen Âge
modifier- Duché d'Aquitaine
- Aliénor d'Aquitaine et la période de l'Aquitaine des rois d'Angleterre (1154-1453) ;
- Guerre de Cent Ans
Époque moderne
modifier- Bordeaux, grand port colonial au XVIIIe siècle
- Gouvernement de Guyenne et Gascogne
Époque contemporaine
modifierCréation du département de la Gironde
modifierAu début de la Révolution française, un décret décidant la division de la France en départements est voté par l'Assemblée nationale constituante le [6] et précisé par un décret du [7], qui fixe leur nombre à 83.
Créé sous le nom de « département du Bordelais » par un décret du [8], le département de la Gironde est doté de son nom actuel par un décret du , qui le place en trente-deuxième position dans la liste des 83 départements. Le lieu de réunion de l'assemblée départementale est fixé à Bordeaux[9].
Le département est divisé en sept districts, dont les chefs-lieux sont Bordeaux, Bazas, Blaye[10], Cadillac, Lesparre, Libourne, La Réole.
-
Carte de la Gironde en 1792. -
Atlas national, 1792. -
Atlas national, 1792. -
Carte de la Gironde en 2006.
Formé à partir de territoires des provinces de Guyenne et de Gascogne, le département de la Gironde est composée de quatre ensembles distincts :
- Bordeaux et ses alentours ;
- une partie des Landes de Gascogne (Médoc, Pays de Buch, Landes de Bordeaux, Bazadais et Haute-Lande-Girondine) ;
- la Guyenne girondine (Libournais, Entre-deux-Mers, , etc.) ;
- le Blayais, pays de langue d'oïl (pays Gabay).
Le département du Bec-d'Ambès (1793-1795)
modifierLe département de la Gironde est renommé « département du Bec-d'Ambès » entre novembre 1793[11] à avril 1795[12].
Le nom du département est en effet connoté au groupe des girondins au sein de la Convention nationale, qui est vaincu par les montagnards le 2 juin 1793 (nombre de girondins, dont plusieurs élus du département, sont ensuite condamnés à mort). Il retrouve son nom après la chute de Robespierre (27 juillet 1794) et la fin de la Terreur.
Les Landes de Gascogne de Gironde
modifierEntre 1789 et 1850, la partie occidentale du département est couverte de landes mal drainées (sur environ 60 % à 70 % de l'espace). Cette lande était entretenue par écobuage afin de pourvoir en nourriture les grands troupeaux de moutons, surveillés par des bergers montés sur des échasses ; l'usage de ces dernières permettait d'accomplir plus facilement de grandes distances (15 à 20 kilomètres par jour), tout en surveillant le troupeau.
Avant 1857, date de la loi d'assainissement et de mise en culture des Landes de Gascogne, le régime agropastoral est généralisé : il puise sa force dans le libre usage des communaux majoritaires. Puis la systématisation des plantations de pins exploités pour leur résine (gemmage) et leur bois, accompagnée de la vente des communaux durant la deuxième moitié du XIXe siècle, a complètement modifié le paysage et l'économie de la moitié du département.
Quelques événements notables du XIXe siècle et du XXe siècle
modifierAprès le coup d'État du 2 décembre 1851 de Napoléon III, la Gironde fait partie des départements placés en état de siège afin de parer à tout soulèvement massif, mais moins d'une centaine d'opposants sont finalement arrêtés[13].
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les FFI du département comptent 2 705 membres[14].
De 1957 au , la Gironde fait partie de la région Aquitaine, qui fusionne alors avec le Limousin et Poitou-Charentes pour former la Nouvelle-Aquitaine, avec le même chef-lieu : Bordeaux.
Durant l'été 2022, la Gironde subit de nombreux feux de forêts, dont deux particulièrement importants à La Teste et à Landiras.
Héraldique
modifierBlasonnement :
Gironné d’argent et d’azur de huit pièces, au chef de gueules chargé d’un léopard d’or, armé et lampassé d’azur.
Commentaires : le blason a été conçu vers 1950 par l'héraldiste Robert Louis et n'a, à l'heure actuelle, aucune existence officielle. Le gironné est parlant. Le chef est aux armes de l'ancienne province de Guyenne, le léopard d'Aquitaine datant du XIIe siècle ne rappelle en rien la possession anglaise mais renvoie aux armes de la première famille ducale d'Aquitaine qui était par ailleurs famille comtale du Poitou. C'est le lion des armes de cette famille qu'on retrouve sur leurs anciennes possessions. À ce titre, Aliénor d'Aquitaine portait déjà ces armes avant son mariage avec le futur roi d'Angleterre et le basculement dans l'orbite anglaise de l'Aquitaine.
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Politique
modifierDe longue date, le département de la Gironde a été marqué par la confrontation, plus ou moins équilibrée, entre la gauche (singulièrement le PS) et la droite, et surtout le courant gaulliste depuis les débuts de la Cinquième République.
Cette confrontation est fondée en particulier sur l'organisation politique de chaque courant, le Parti socialiste ayant tendance à rassembler autour de lui les couches intermédiaires, les milieux ouvriers et certains des milieux ruraux, tandis que la droite dispose de positions fortes au sein de la bourgeoisie d'affaires de Bordeaux, dans le milieu de la viticulture sur le Libournais, des couches retraitées aisées très présentes sur le bassin d'Arcachon.
Une forme de partage des pouvoirs locaux s'est ainsi organisée : jusqu'à sa défaite historique de 2020, la droite gère pendant soixante ans la ville de Bordeaux, et dispose durablement des sièges de député du centre-ville de Bordeaux, malgré quelques défaites surprises à l'occasion, de ses banlieues aisées et d'Arcachon, tandis que la gauche obtient la prédominance dans tout le reste du département, exerçant par là même la présidence du conseil général, celle de la communauté urbaine de Bordeaux devenue Métropole et détient durablement la majorité des élus au conseil régional d'Aquitaine.
Politique nationale
modifierLors des consultations nationales, la gauche obtient en général la majorité des suffrages.
Le département a voté majoritairement pour François Mitterrand en 1974, en 1981 et en 1988, Lionel Jospin en 1995, Ségolène Royal en 2007, François Hollande en 2012, ainsi que pour Emmanuel Macron en 2017.
Conseil départemental
modifierParti | Sigle | Élus | Groupes | |
---|---|---|---|---|
Majorité (50 sièges) | ||||
Parti socialiste | PS | 34 | Majorité départementale - PS et Apparentés | |
Divers gauche | DVG | 4 | ||
Place publique | PP | 1 | ||
Europe Écologie Les Verts | EÉLV | 8 | Majorité départementale - EÉLV | |
Parti communiste français | PCF | 3 | Majorité départementale - Parti communiste français | |
Opposition (16 sièges) | ||||
Les Républicains | LR | 6 | Gironde Avenir | |
Divers droite | DVD | 5 | ||
Agir | Agir | 2 | ||
MoDem | MoDem | 1 | ||
Union des démocrates et indépendants | UDI | 2 | Sans étiquette | |
Président du Conseil départemental | ||||
Jean-Luc Gleyze (PS)[15] |
Géographie
modifierDonnées géographiques générales
modifierLa Gironde fait partie de la région Nouvelle-Aquitaine. Elle est limitrophe des départements des Landes, du Lot-et-Garonne, de la Dordogne et de la Charente-Maritime.
Limites départementales
modifierLes limites du département sont définies par la courbe enveloppe des limites[pas clair] des communes qui le composent. Mais devant les nombreuses imprécisions de ces limites communales, un grand chantier d'élaboration d'un cadastre général de la France est engagé sous le Premier Empire. La loi du , relative au budget de l'État et rendue sur l'initiative de Martin Michel Charles Gaudin, ministre des Finances, est considérée comme fondatrice du cadastre parcellaire français. Une campagne d'arpentage systématique de tout le territoire français est ainsi lancée en 1808 et s'achève en 1850[16]. La ville de Bordeaux est en particulier cadastrée en 1820[17]. Aucune modification n'est venue affecter les limites du département depuis la création du code officiel géographique en 1943[18].
Superficie
modifierOpérateur | Année | Superficie (en km2) |
---|---|---|
Insee | 2018 | 9 975,60 |
IGN - RGC | 2015 | 10 016 |
IGN - Admin Express | 2018 | 10 374,53 |
OpenStreetMap | 2018 | 10 083,36 |
Avec près de 10 000 km2 de superficie, La Gironde est le plus vaste département de la France métropolitaine et le deuxième de la France entière. Fixée à 9 975,60 km2 par l'Insee, la valeur de cette superficie peut varier selon le mode de mesure adopté.
La superficie d'une division administrative est l'aire de l’ensemble des surfaces cadastrées ou non cadastrées situées à l’intérieur des limites de la division, l'unité élémentaire de division étant la commune. Cette superficie varie donc selon le niveau de précision de ces limites communales (et donc du niveau de précision du cadastre) et selon le mode de calcul ou de projection cartographique, mais aussi selon le produit cartographique numérique utilisé puisque deux produits cadastraux numériques officiels existent : celui établi par la DGI (opérateur historique pour établir le cadastre) et celui diffusé par l'IGN (opérateur nouveau qui a vu son rôle d'intégrateur de données géographiques renforcé depuis 2001)[19],[20].
Jusqu'en 2016, la référence en matière de données liées aux divisions administratives françaises était le répertoire géographique des communes (RGC), produit par l'IGN, contenant en particulier la superficie de chaque commune. Cette donnée, fournie annuellement par l'Insee, correspond à la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction générale des impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Cette surface « fiscale » ne correspond pas forcément à la superficie géographique de la commune[21]. Dans ce cadre, la superficie du département s'établit, selon l'Insee, en 2018 à 9 975,60 km2[22]. Par contre la somme des superficies des différentes communes du département, figurant dans le RGC, s'établissait en 2015 à 10 016 km2.
Depuis 2016, le RGC a été remplacé par les bases de données en licence ouverte Geofla® et Admin Express, des bases de données à petite échelle dédiées à des cartographies statistiques et thématiques à la granularité de la commune, à savoir à des échelles voisines du 1 : 1 000 000[23]. En , la superficie du département de la Gironde, calculée par SIG sur la base des données Admin Express projetées dans le système Lambert 93, s'établit à 10 374,53 km2[24].
L'utilisation du découpage administratif au niveau communal issu d'OpenStreetMap, produit dans sa grande majorité à partir du cadastre, à une échelle plus grande que celle de Géofla ou Admin Express, aboutit à une superficie de 10 083,36 km2[25].
Données géophysiques
modifierLe département de la Gironde culmine au somment de la colline de Samazeuilh sur la commune de Cours-les-Bains, au sud-est du département, à la limite avec le Lot-et-Garonne à 167 m d'altitude.
Hydrographie
modifierLe département de la Gironde est traversé par la Dordogne et la Garonne qui se rejoignent au bec d'Ambès pour former l'estuaire de la Gironde. Long de 75 kilomètres et large de 12 kilomètres à son embouchure, c'est le plus vaste estuaire d'Europe, couvrant une superficie de 635 km2[26].
La Gironde est fortement soumise aux marées qui remontent très en amont dans l'estuaire (jusqu'à 150 km de l'embouchure)[27] : Casseuil sur la Garonne, Castillon-la-Bataille sur la Dordogne. Lors des grandes marées, le phénomène du mascaret peut survenir[28].
-
L'estuaire de la Gironde est classé parc naturel marin et appartient au réseau Natura 2000. La rive gauche fait partie du parc naturel régional du Médoc. Couvrant une superficie de 635 km2, c'est le plus vaste estuaire d'Europe[29].
Entités paysagères
modifierLe territoire se structure en quatre entités distinctes :
- le littoral, où sont dispersées quelques stations balnéaires très animées en été. Les dunes du littoral ont été fixées par l'homme au XIXe siècle. La Côte d'Argent est réputée pour le surf ;
- la forêt, couvrant la moitié ouest du département. Cette forêt a été en partie plantée au XIXe siècle afin d'assécher les terres marécageuses, ce qui marqua la fin du système agro-pastoral, largement répandu dans les Landes à cette époque[Note 2]. On y pratiquera le gemmage jusqu'à la fin du XXe siècle ;
- le Bordelais est une région viticole où l'on retrouve les grandes exploitations qui font la renommée mondiale des vins de Bordeaux ;
- le Bazadais, structuré autour de la ville de Bazas. Sans réelle production viticole, c'est un pays de polyculture ; production de maïs, tabac, tomates, asperges et élevage de la race bazadaise, ainsi que des plantations de bois. Les traditions gasconnes y sont bien ancrées. C'est le pays de Clément V, pape gascon par excellence. C'est dans ce pays que l'on trouve le plus grand nombre de monuments historiques de la Gironde : la cathédrale de Bazas (patrimoine mondial de l'Unesco), les châteaux de Roquetaillade, de Malle, de Cazeneuve, de Budos, de Fargues, de Villandraut, la collégiale d'Uzeste.
Une majorité ouest et sud du département fait partie de la Gascogne et abrite une grande partie de la forêt des Landes de Gascogne. La Gironde bénéficie d'une très longue façade côtière de 126 km sur l'océan Atlantique, de la pointe de Grave au sud du bassin d'Arcachon.
Le littoral girondin s'est ouvert au tourisme balnéaire, notamment autour du bassin d'Arcachon. Les principales stations balnéaires sont du nord au sud :
- Soulac ;
- Montalivet ;
- Hourtin ;
- Carcans ;
- Lacanau ;
- Le Porge ;
- Andernos-les-Bains ;
- Lège-Cap-Ferret ;
- Arcachon ;
- Pyla-sur-Mer.
La dune du Pilat est une des principales attractions touristiques du littoral girondin. Plus haute dune d'Europe, elle appartient au réseau des Grands Sites de France.
-
Marais de Braud-et-Saint-Louis, au nord.
-
Vignoble de Eyrans, au nord.
-
Le Cap Ferret dans le sud-ouest.
Climat
modifierLe climat de la Gironde est un climat tempéré de type océanique, avec des hivers relativement doux et des étés chauds.
Les précipitations sont bien réparties sur les saisons avec un maximum en novembre et décembre. L'été, elles sont dues généralement à des averses orageuses. Le littoral girondin bénéficie de l'influence de l'océan Atlantique ce qui adoucit les hivers et rafraîchit les étés. Ainsi, les côtes ne connaissent que rarement des températures en dessous de 0 comme au-dessus de 30 degrés Celsius. La présence de l'estuaire de la Gironde protège les vignobles du Médoc et du Blayais de la canicule et du gel.
Le département a connu des températures extrêmes avec comme records à Bordeaux -16,4 le et 41,2 le . Les relevés de la station météorologique de Bordeaux-Mérignac (à 47 mètres d'altitude) sont représentatifs du climat de la Gironde.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 3,1 | 3,3 | 5,4 | 7,4 | 11 | 14,1 | 15,8 | 15,7 | 12,9 | 10,4 | 6,1 | 3,8 | 9,1 |
Température moyenne (°C) | 6,6 | 7,5 | 10,3 | 12,4 | 16,1 | 19,3 | 21,4 | 21,4 | 18,5 | 14,9 | 9,9 | 7,2 | 13,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 10,1 | 11,7 | 15,1 | 17,3 | 21,2 | 24,5 | 26,9 | 27,1 | 24 | 19,4 | 13,7 | 10,5 | 18,5 |
Record de froid (°C) date du record |
−16,4 1985 |
−15,2 1956 |
−9,9 1971 |
−5,3 1929 |
−1,8 1938 |
2,5 1938 |
4,8 1922 |
1,5 1924 |
−1,8 1928 |
−5,3 1936 |
−12,3 1921 |
−13,4 1938 |
−16,4 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
20,2 1993 |
26,2 1926 |
27,7 1981 |
31,1 2005 |
35,4 1922 |
39,2 2011 |
41,2 2019 |
40,7 2003 |
37 1987 |
32,2 1921 |
26,7 2015 |
22,5 1989 |
41,2 2019 |
Nombre de jours avec gel | 7,8 | 6,8 | 2,5 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1,3 | 7,9 | 26,4 |
Ensoleillement (h) | 96 | 114,9 | 169,7 | 182,1 | 217,4 | 238,7 | 248,5 | 242,3 | 202,7 | 147,2 | 94,4 | 81,8 | 2 035,4 |
Précipitations (mm) | 87,3 | 71,7 | 65,3 | 78,2 | 80 | 62,2 | 49,9 | 56 | 84,3 | 93,3 | 110,2 | 105,7 | 944,1 |
Record de pluie en 24 h (mm) | 52,2 | 81,7 | 51 | 49 | 59 | 56,8 | 50 | 87,6 | 79 | 67 | 49,2 | 59,6 | 87,6 |
Humidité relative (%) | 88 | 84 | 78 | 76 | 77 | 76 | 75 | 76 | 79 | 85 | 87 | 88 | 80,8 |
Nombre de jours avec neige | 1 | 0,8 | 0,2 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0,2 | 0,8 | 3 |
Nombre de jours d'orage | 1 | 1 | 0,8 | 2,1 | 4,2 | 4,3 | 4,8 | 5 | 3,6 | 1,6 | 1,2 | 1 | 30,6 |
Nombre de jours avec brouillard | 8,7 | 5,3 | 5 | 3,8 | 2,9 | 2,8 | 3 | 3,8 | 7 | 8,9 | 9 | 9,2 | 69,4 |
Économie
modifier- Le département est le premier acheteur français de pesticides : 3 527 000 tonnes en 2020[30]
Démographie
modifierLes habitants de la Gironde sont les Girondins. La démographie de la Gironde est caractérisée par une forte densité et une population en croissance continue depuis les premiers recensements.
En 2021, le département comptait 1 654 970 habitants[Note 3], en évolution de 6,88 % par rapport à 2015 (France hors Mayotte : 1,84 %).
En quatorze ans, de 1999 à 2013, la population de la Gironde s'est accrue de plus de 218 000 personnes, soit environ 15 600 /an. Mais ce rythme de croissance varie beaucoup, de l'une à l'autre des 535 communes du département.
La densité de population de la Gironde, 154,3 hab./km2 en 2021, dépasse celle de la France (106,5 hab./km2).
Communes les plus peuplées
modifierNom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
Modifier |
---|---|---|---|---|---|---|
Bordeaux | 33063 | Bordeaux Métropole | 49,36 | 261 804 (2021) | 5 304 | |
Mérignac | 33281 | Bordeaux Métropole | 48,17 | 75 729 (2021) | 1 572 | |
Pessac | 33318 | Bordeaux Métropole | 38,82 | 66 760 (2021) | 1 720 | |
Talence | 33522 | Bordeaux Métropole | 8,35 | 45 225 (2021) | 5 416 | |
Villenave-d'Ornon | 33550 | Bordeaux Métropole | 21,26 | 40 500 (2021) | 1 905 | |
Saint-Médard-en-Jalles | 33449 | Bordeaux Métropole | 85,28 | 32 538 (2021) | 382 | |
Bègles | 33039 | Bordeaux Métropole | 9,96 | 30 813 (2021) | 3 094 | |
Cenon | 33119 | Bordeaux Métropole | 5,52 | 26 778 (2021) | 4 851 | |
La Teste-de-Buch | 33529 | CA Bassin d'Arcachon Sud | 180,20 | 26 556 (2021) | 147 | |
Gradignan | 33192 | Bordeaux Métropole | 15,77 | 25 835 (2021) | 1 638 | |
Libourne | 33243 | CA du Libournais | 20,63 | 24 557 (2021) | 1 190 | |
Eysines | 33162 | Bordeaux Métropole | 12,01 | 24 374 (2021) | 2 029 | |
Le Bouscat | 33069 | Bordeaux Métropole | 5,28 | 24 339 (2021) | 4 610 | |
Lormont | 33249 | Bordeaux Métropole | 7,36 | 23 291 (2021) | 3 165 | |
Gujan-Mestras | 33199 | CA Bassin d'Arcachon Sud | 53,99 | 22 399 (2021) | 415 |
Culture
modifierSports
modifierClubs de sport
modifier- Les Girondins de Bordeaux évoluent en National 2 de football
- Le Football Club Libourne évolue en Régional 1, Poule C de la Ligue de football Nouvelle-Aquitaine
- Le club de Villa Primrose évolue en 1re division de tennis
- L'Union Bordeaux Bègles évolue en Championnat de France de rugby Top 14
- Le Mérignac Handball évolue en D2 de handball
- Le Club athlétique béglais handball évolue en D2 de handball
- Le SA Mérignac évolue en 1re division féminine de hockey sur gazon et en Nationale 1 féminine et masculine de rink hockey
- L'Union sportive Coutras évolue en Nationale 1 féminine et masculine de rink hockey
- Le Stade bordelais ASPTT (rugby à XV) évolue en 1re division de rugby féminin
- L'Entente sportive Bruges Blanquefort évolue en D2 de rugby féminin
- Le Jeunes de Saint-Augustin Bordeaux Métropole évolue en Championnat de France de basket-ball de Nationale masculine 1
- Le Girondins de Bordeaux HBC évolue en Championnat de France de handball masculin de Pro D2
- Les Bordeaux Bombers évoluent en 1re division de football australien
- Les Boxers de Bordeaux évoluent en D1 de hockey sur glace masculin
- Le Club athlétique Bordeaux Bègles Gironde évolue en D1 de rugby masculin.
- Les Devils de Cenon évoluent en D4 de football américain
- Les Kangourous de Pessac évoluent en D2 de football américain
- Les Panthères de Pessac évoluent en Élite (D1) de baseball et en 1er de softball
- Les Pitcher's de Pineuilh évoluent en division 2 de baseball
- Les Lions de bordeaux évoluent en D2 de football américain
Événements sportifs
modifier- Le Jumping international de Blaye
- Le Lacanau Pro, compétition de surf
- Le Decastar, compétition d'athlétisme (décathlon)
- Le Jumping international de Bordeaux
- Les Championnats du monde de cyclisme sur piste 2006
- Les Championnats du monde de cyclisme sur piste 1998
- Le Grand Prix du Sud-Ouest
- Le Marathon du Médoc
- Le Trans Aq'
- Le Tour de Gironde
- Le Marathon de Bordeaux Métropole
Animations sportives
modifierEn partenariat avec le département de la Gironde, les centres CAP33 proposent gratuitement aux familles et aux individuels de plus de 15 ans de nombreuses activités sportives et de loisirs pendant les vacances scolaires[34] : sports collectifs, aquatiques, de raquette, de plage, de remise en forme, danse, yoga[35]...
Des tournois sont organisés et des stages payants sont proposés aux personnes désirant se perfectionner dans une discipline[36].
Langues
modifierLa Gironde (Gironda en occitan) connaît deux langues traditionnelles :
- l'occitan est la langue traditionnelle de presque toute la Gironde. Il y est parlé sous trois formes dialectales : le gascon parlé sur la plus grande partie du territoire : Bazadais, Haute Lande Girondine, Pays de Buch, Médoc, Bordelais, Entre-deux-Mers ; le languedocien dans le Nord-Est de l'Entre-deux-Mers et l'Est du Libournais ; enfin le limousin à Puynormand.
Le gascon, en Gironde, comprend plusieurs variantes locales :- Bordelais : gascon caractérisé par un -b- intervocalique, un subjonctif en -e, assez francisé… ; on peut y rattacher les parlers du Bourgeais, Cubzagais, Fronsadais, Libournais…
- Sud-Médoc, Bassin : gascon caractérisé par un -d- intervocalique, un imparfait en -è et un -w- intervocalique…
- Bazadais et région de Saint-Macaire : gascon caractérisé par les conjugaisons en -o- (prétérit/subj. passé), le a- prosthétique, -s- intervocalique, -w- intervocalique, absence de -n- intervocalique…
- Bordelais : Lo dròlle li fedèva/hadèva beure la harina/farina avant qu'i angusse (Lou drolle li fédèbe/adèbe béwre la harine/farine abann qu'i angusse) ;
- Pays de Buch : Lo dròlle li hadè búver la harina avant qu'i angussi (Lou drolle li hadè buwe la harine awann qu'i angussi) ;
- Bazadais : Lo dròlle li hasèva béver la haria avant qu'i angossi (Lou drolle li hasèwe béwe la hariye awann qu'i angoussi).
- le poitevin-saintongeais dans sa variante saintongeaise[Note 4], qui fait partie du groupe d'oïl, est parlé dans trois territoires plus petits :
- dans une frange au nord-est du département qu'on appelle le pays Gabay ou la Grande Gavacherie. Elle comprend Blaye, Guîtres et Coutras,
- dans une enclave en domaine gascon qu'on appelle la Petite Gavacherie ou Gavacherie de Monségur, constituée d'une quinzaine de communes autour du bourg de Monségur, dans l'Entre-deux-Mers et la vallée du Dropt.
- au bout de la pointe de Grave, au Verdon[37].
Le français, langue officielle nationale, est parlé par l'ensemble de la population. Utilisé par les élites depuis le Moyen Âge, il s'est imposé avec l'unification linguistique de la France promue par la IIIe République. Il est désormais la langue de communication de l'ensemble de la population girondine.
Lo Sarmonèir (oc) est un journal en langue occitane qui traite de l'actualité en Gironde.
Gastronomie
modifierPatrimoine
modifierChâteaux
modifier- Le « verrou de l'estuaire » constitué par Vauban : citadelle de Blaye, fort Médoc et fort Paté.
- Château de Roquetaillade, de La Brède, de Langoiran, de Rauzan, de Vayres, de Cadillac, dit « des Ducs d'Epernon », de Cazeneuve, du Bouilh, Guiraud, de La Rivière, de Villandraut, Margaux, Beychevelle, du Cos d'Estournel, de Guilleragues, de Monbadon, de Fargues, de Blanquefort, de Sémignan, du Taillan, de Mongenan, de Malle, des Jaubertes, du Hamel, de Tastes, de Cadillac-en-Fronsadais, de Vertheuil, de Lamarque, de Lugaignac, de Boirac-Ségur, de Génissac, du Puch de Gensac, castrum de Pommiers, etc.
- Tour de l'Honneur (Lesparre-Médoc), tour du Roy (Saint-Emilion).
Phares
modifier- Phare de Cordouan
- Phare de Grave
- Phare de Richard
- Phare de Patiras
- Phare d'Hourtin
- Phare du cap Ferret
-
Phare de Cordouan à marée haute.
-
Phare de Cordouan à marée basse.
-
Phare de Grave au Verdon-sur-Mer.
-
Phare de Richard à Jau-Dignac-et-Loirac.
-
Phare du Cap-Ferret.
Villes
modifier- La ville de Bordeaux, plus vaste ensemble urbain classé sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO
- La ville de Saint-Émilion, patrimoine de l'Unesco depuis 1999.
- La ville de Pauillac, plus longue façade fluviale sur l'estuaire de la Gironde.
- Saint-Macaire, Rions, La Réole, Bazas, Gensac, Pujols, Castelmoron-d'Albret, Castillon-la-Bataille, Bourg, Soulac-sur-Mer.
- Bastides de Blasimon, Cadillac, Créon, Libourne, Monségur, Pellegrue, Sauveterre-de-Guyenne, Sainte-Foy-la-Grande.
-
Quais de Bordeaux au bord de la Garonne et place de la Bourse.
-
Quais de Bordeaux et basilique Saint-Michel.
-
Cité médiévale de Saint-Émilion dominée par l'église monolithe.
-
Quais de Pauillac au bord de la Gironde et port de plaisance.
Abbayes et prieurés
modifier- Abbayes de Vertheuil, La Sauve-Majeure, Guîtres, Saint-Ferme, Saint-Pierre-de-l'Isle, Sainte-Croix de Bordeaux, Blasimon, Fontguilhem, Faizé, le Rivet, Bonlieu, Cornemps, Pleine-Selve.
- Prieuré de La Réole, prieuré de Cayac à Gradignan.
- Basiliques de Verdelais, Soulac-sur-Mer, Arcachon.
- Pèlerinage à Montuzet.
- Commanderies de Benon, Roquebrune, Sallebruneau, Montarouch, Villemartin, etc.
Églises remarquables
modifier- Bordeaux : cathédrale Saint-André, basilique Saint-Michel, basilique Saint-Seurin, abbatiale Sainte-Croix, église Saint-Paul, Église Saint-Pierre de Bordeaux, Église Saint-Ferdinand de Bordeaux, Église Saint-Louis-des-Chartrons, Église du Sacré-Cœur, Église Notre-Dame de Bordeaux, Église Saint-Éloi de Bordeaux.
- Cathédrale de Bazas.
- Église monolithe de Saint-Emilion.
- Prieuré de Saint-Macaire.
- Les trois églises de la commune de Montagne.
- Les églises de Bayon-sur-Gironde, Saint-Estèphe, Petit-Palais-et-Cornemps, Vieux Lugo, Saint-Vivien-de-Médoc, Lamarque, Cars, Saint-André-de-Cubzac, Barsac, Pondaurat, Notre-Dame-des-Passes d'Arcachon.
- Ermitage de Lormont.
- Chapelle de Condat à Libourne et Chapelle Sainte-Marie-du-Cap à Lège-Cap-Ferret, etc.
Autres
modifier- La stèle du 45e parallèle sur le coteau de Montalon à Saint-André-de-Cubzac.
- Point d'intersection entre le méridien de Greenwich et le 45e parallèle nord (longitude 0°, latitude 45°N), à égale distance du pôle Nord et de l'équateur[38].
- Cité Frugès de Pessac.
- Pont médiéval de Pondaurat sur la Bassanne.
Cinéma
modifierSalles de cinéma
modifierLa Gironde est l'un des départements avec le plus d'écrans de cinéma en France, juste derrière Paris et les Bouches-du-Rhône[39], avec 47 salles de cinéma. Le département est le premier de France en termes de communes équipées, avec 44 communes disposant d'au moins une salle[40]. Si le département est particulièrement bien doté en multiplexes[41], notamment sur le territoire de la métropole bordelaise, les cinémas indépendants ne sont pas en reste, avec une structure locale, l'association des cinémas de proximité de la Gironde, qui regroupe trente salles, y compris en zones rurales, autour d'une volonté de garder une vie cinématographique locale active.
Tournages
modifierLe département également de nombreux tournages de films. La Gironde concentre 60% des tournages de toute la région Nouvelle-Aquitaine, avec presque un tournage par jour, majoritairement à Bordeaux [42],[43]. La ville avec son architecture haussmannienne, est fréquemment utilisé comme doublure de Paris[44].
Événements culturels
modifierPlusieurs manifestations culturelles se déroulent en Gironde : Festival international du cinéma au féminin de Bordeaux, Festival de court métrage Coupé Court de Bordeaux, Festival européen du court métrage de Bordeaux, Escale du livre, Fest'arts, Festival international de cinéma Cinémascience de Bordeaux, Festival du film d'animation de Bègles, Festival international du film d'histoire de Pessac, Festival international du film indépendant de Bordeaux, Festival du film de Pauillac, Festival des Hauts de Garonne, Lire en Poche, Festival Musicacité, Musik à Pile, Nuits atypiques, Ouvre la Voix, La Part des anges (festival), Reggae Sun Ska Festival, Les Rendez-vous de Terres Neuves, Les Riches Heures de La Réole, Festival VivaCité, Festival ODP, etc.
Patrimoine naturel
modifier- Dune du Pilat
- Dune de l'Amélie
- Bassin d'Arcachon et Parc naturel marin du bassin d'Arcachon
- Parc naturel marin de l'estuaire de la Gironde et de la mer des Pertuis
- Réserve ornithologique du Teich
- Réserve naturelle nationale du Banc-d'Arguin
- Réserve naturelle nationale de l'étang de Cousseau
- Réserve naturelle nationale des dunes et marais d'Hourtin
- Réserve naturelle nationale des marais de Bruges
- Réserve naturelle nationale des prés salés d'Arès et de Lège-Cap-Ferret
- Réserve naturelle nationale géologique de Saucats et la Brède
- Marais du Verdon
- Lagune de Contaut
- Marais de Soussans
- Domaine de Certes
- Les lacs médocains (Hourtin-Carcans, Lacanau)
- Bec d'Ambès
- Lagunes du Gat-Mort
- Vallées du Ciron et de la Leyre
- Corniche de l'estuaire
- Roselières de l'estuaire
- Îles de l'estuaire
- Pointe de Grave
Musées
modifier- Musées de Bordeaux
- Écomusée de Vertheuil
- Écomusée du Libournais
- Musée municipal de Bazas
- Musée d'Art religieux de Verdelais
- Jardin de la Lamproie
- Centre François-Mauriac
- Maison Lillet
Symbole
modifierTourisme
modifierLe département a obtenu en 2024 la troisième place du classement GreenGo de « l'écoresponsabilité » pour le tourisme durable, derrière l'Ardèche et le Finistère[45].
Résidences secondaires
modifierSelon le recensement général de la population du , 8,8 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires.
Ce tableau indique les principales communes de Gironde dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10 % des logements totaux en 2008 :
Ville | Population SDC | Logements (nombre) |
Résidences secondaires (nombre) |
Résidences secondaires (%) |
---|---|---|---|---|
Grayan-et-l'Hôpital | 1 090 | 2 442 | 1 860 | 76,16 |
Lacanau | 4 381 | 8 691 | 6 525 | 75,08 |
Vendays-Montalivet | 2 167 | 4 385 | 3 223 | 73,49 |
Carcans | 2 139 | 3 818 | 2 781 | 72,84 |
Soulac-sur-Mer | 2 714 | 4 869 | 3 499 | 71,87 |
Lège-Cap-Ferret | 7 396 | 10 863 | 7 013 | 66,20 |
Hourtin | 2 767 | 3 494 | 2 062 | 59,03 |
Arcachon | 11 789 | 16 368 | 9 213 | 56,29 |
Le Verdon-sur-Mer | 1 357 | 1 832 | 1 010 | 55,11 |
Le Porge | 2 360 | 2 074 | 1 051 | 50,65 |
Vensac | 790 | 637 | 247 | 38,78 |
Andernos-les-Bains | 10 793 | 8 349 | 2 834 | 33,95 |
Arès | 5 520 | 4 137 | 1 291 | 31,22 |
Saint-Vivien-de-Médoc | 1 513 | 1 110 | 345 | 31,08 |
Lanton | 6 064 | 3 963 | 1 126 | 28,41 |
La Teste-de-Buch (Pyla-sur-mer) | 24 384 | 14 999 | 3 517 | 23,45 |
Gujan-Mestras | 18 461 | 10 314 | 1 740 | 16,87 |
- Source INSEE, chiffres au .
Personnalités liées à la Gironde
modifierAntérieurement à la création du département
modifier- Aliénor d'Aquitaine (vers 1123-1204), duchesse d'Aquitaine, reine de France, puis reine consort d'Angleterre.
- Pey Berland (1370-1458), homme d'Église, archevêque de Bordeaux à la fin de la guerre de Cent Ans.
- Clément V (v. 1264-1314), pape, né près de Villandraut.
- Étienne de La Boétie (1530-1563), écrivain humaniste et poète, mort à Germignan (commune du Taillan-Médoc).
- Michel de Montaigne (1533-1592), né et mort en Dordogne, penseur et homme politique de la Renaissance, maire de Bordeaux à deux reprises.
- Charles de Secondat, baron de Montesquieu (1689-1755), penseur politique, philosophe et écrivain, né à La Brède.
Personnalités nées en Gironde
modifier- Marcel Amont (1929-2023), chanteur et acteur, né à Bordeaux.
- Jean Anouilh (1910-1987), auteur dramatique, né à Bordeaux.
- Alain Aslan (1930-2014), sculpteur, né à Lormont.
- Denis Barthe (1963-), batteur du groupe Noir Désir, né à Talence.
- Arnaud Berquin (1747-1791), écrivain, dramaturge et pédagogue, né à Bordeaux.
- Robert Boulin (1920-1979), homme politique, né à Villandraut.
- José Bové (1953-), homme politique et altermondialiste, né à Talence
- Fernand de Brinon (1885-1947), avocat, journaliste et homme politique, né à Libourne.
- Matthieu Chalmé (1980-), footballeur né à Bruges.
- René Clément (1913-1996), cinéaste, né à Bordeaux.
- Georges Coulonges (1923-2003), écrivain et scénariste, né à Lacanau.
- Julien Courbet (1965-), journaliste, animateur-producteur de télévision et de radio, né à Eysines.
- Jacques-Yves Cousteau (1910-1997), explorateur océanographique, né à Saint-André-de-Cubzac où il repose depuis 1997.
- Boris Cyrulnik, psychanalyste, psychologue et écrivain, né le à Bordeaux.
- Danielle Darrieux (1917-2017), actrice, née à Bordeaux.
- Danielle Bonel, (1919-2012), actrice française, secrétaire et confidente de la chanteuse Édith Piaf, née à Arcachon.
- Sophie Davant (1963-), une animatrice de télévision, née à Bordeaux.
- Bob Denard (1929-2007), mercenaire.
- Maurice Dubois (1869-1944), peintre, né à Bordeaux et mort à Preignac.
- Louis Ducos du Hauron (1837-1920), inventeur dans le domaine de la photographie, né à Langon.
- Lilly Daché (1898-1989), modiste française installée aux États-Unis, née à Bègles.
- Christophe Dugarry (1972-), footballeur, né à Lormont.
- Jacques Duvigneau (1833-1902), homme politique, président du conseil général de la Gironde de 1893 à 1901, député de la Gironde de 1892 à 1898, né et mort à Audenge.
- Jacques Ellul (1912-1994), professeur d'histoire du droit, sociologue, théologien protestant, né à Bordeaux et mort à Pessac.
- Robert Escarpit (1918-2000), universitaire, écrivain, journaliste, né à Saint-Macaire et mort à Langon.
- Jean Eustache (1938-1981), réalisateur, né à Pessac.
- Jean-Marc Furlan (1957-), footballeur et entraîneur de football, né à Sainte-Foy-la-Grande.
- Pierre Garmendia, (1924-2016), homme politique français, né à Bordeaux.
- Alain Giresse (1952-), footballeur international et entraîneur de football, né à Langoiran.
- Marie Laforêt (1939-2019), chanteuse et actrice, née à Soulac-sur-Mer.
- Serge Lama (1943-), chanteur, né à Bordeaux.
- Pierre Larquey (1884-1962), acteur, né à Cénac.
- William Leymergie (1947-), animateur et journaliste, né à Libourne.
- Max Linder (1883-1925), acteur et réalisateur de cinéma, né à Saint-Loubès.
- Philippe Madrelle (1937-2019), homme politique, né à Saint-Seurin-de-Cursac.
- Noël Mamère (1948-), né à Libourne, maire de Bègles.
- Adrien Marquet (1884-1955), homme politique, né et mort à Bordeaux, maire de Bordeaux de 1925 à 1944.
- François Mauriac (1885-1970), écrivain et journaliste, né à Bordeaux.
- Benjamin Millepied (1977-), danseur et chorégraphe, né à Bordeaux.
- Ugo Mola (1973-), joueur et entraîneur de rugby à XV, né à Sainte-Foy-la-Grande.
- Édouard Molinaro (1928-2013), cinéaste, né à Bordeaux.
- Christian Morin (1945-), clarinettiste, homme de radio, de télévision et acteur, né à Bordeaux.
- Pierre Palmade (1968-), humoriste, né à Bordeaux.
- les frères Pereire : Émile (1800-1875) et Isaac (1806-1880), financiers, entrepreneurs et hommes politiques, nés à Bordeaux.
- Michèle Perrein (1929-2010), romancière, née et morte à La Réole.
- Élisée Reclus (1830-1905), géographe, membre de l'Internationale socialiste, né à Sainte-Foy-la-Grande.
- Odilon Redon (1840-1916), peintre, dessinateur et graveur, né à Bordeaux.
- Henri Sauguet, (1901-1989), compositeur français né à Bordeaux.
- Hortense Schneider (1833-1920), cantatrice, née à Bordeaux.
- Barbara Schulz (1972-), actrice, née à Talence.
- Jean-Baptiste Sanfourche (1831-), architecte français, né à Cénac (Gironde)
- Jean-Jacques Sempé (1932-), dessinateur, né à Bordeaux.
- Michel Slitinsky (1925-2012), écrivain, historien de la Résistance, né à Bordeaux.
- Yvette Roudy (1929-), ministre socialiste, née à Pessac.
- Jacques Valade (1930-2023), homme politique, ministre, sénateur de la Gironde, président du conseil général, né et mort à Bordeaux.
- Mathieu Valbuena (1984-), footballeur, né à Bruges.
- Antoine Verdié (1779-1820), poète occitan, né et mort à Bordeaux.
- Henri-Pierre Vermis (1980-), joueur de rugby à XV, né à Langon).
- Stéphane Bellenger dit « Cadillac », musicien, chanteur, né à Cadillac.
Personnalités mortes en Gironde
modifier- Albert Fossey-François (1909-1958), né à Juaye-Mondaye (Calvados), Compagnon de la Libération, lieutenant-colonel, mort à Villenave-d'Ornon.
- Xavier de Gaulle (1887-1955), né à Lille, frère du général, résistant, ingénieur civil des Mines, consul à Genève, mort à Bordeaux.
- Antonin Magne (1904-1983), né à Ytrac (Cantal), cycliste, mort à Arcachon.
- Pierre Molinier (1900-1976), né à Agen, peintre et photographe, mort par suicide à Bordeaux.
- Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901), né à Albi, peintre, mort au Château Malromé à Verdelais où il est inhumé.
- Virginie Hériot (1890-1932), née au Vésinet (Yvelines/Seine-et-Oise), navigatrice française, morte à Arcachon.
Autres liens au département
modifier- Bertrand Cantat (1964-), chanteur de Noir Désir, groupe de rock originaire de Bordeaux.
- Jacques Chaban-Delmas (1915-2000), député-maire de Bordeaux (1947-1995), Premier ministre (1969-1972), président de l'Assemblée nationale (1958-1969, 1978-1981 puis 1986-1988).
- Xavier Darcos, ancien maire de Périgueux, ministre de l'Éducation nationale de à
- Alain Juppé (1945-), homme d'État, maire de Bordeaux de 1995 à 2004 et de 2006 à 2019, membre du Conseil constitutionnel.
- Gaston Marchou, historien, journaliste et écrivain d'origine bordelaise, a vécu à Cambes en Gironde dont il a été le maire.
- Gilbert Mitterrand (1949-), homme politique, maire de Libourne de 1989 à 2011.
- Alain Rousset (1951-), homme politique, candidat socialiste à la mairie de Bordeaux en 2008, président de la région Aquitaine depuis 2004.
- Peter Warr (1938-2010), directeur sportif de l'écurie de Formule 1 Team Lotus, y a vécu avant sa mort en 2010.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Prononciation en français de France standard retranscrite phonémiquement selon la norme API.
- L'image caractéristique de cette époque est celle du berger sur ses échasses.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Le poitevin-saintongeais est dans la liste des langues de France, langues d'oïl, depuis début 2010, sur le site de la Délégation générale à la langue française et aux langues de France (DGLFLF), service du ministère de la Culture, sous le libellé suivant : « poitevin-saintongeais [dans ses deux variétés : poitevin et saintongeais] ». Voir site de la DGLFLF : DGLF, ministère de la Culture
Références
modifier- « Nos voisins les Gaulois - Benjamin Caule », sur Editions Arteaz - Pimientos (consulté le ).
- L'Aquitaine romaine, délimitée par Auguste, est donc beaucoup plus étendue que l'Aquitaine préromaine. Celle-ci réapparaît au IVe siècle avec la province d'Aquitaine Troisième (Novempopulanie), qui deviendra ensuite la Vasconie, puis la Gascogne.
- Paul Broca, Sur l'origine et la répartition de la langue basque: basque français et basque espagnols, E. Leroux, (lire en ligne)
- René Poupardin, « Jean de Jaurgain. - La Vasconie. - Étude historique et critique sur les origines du royaume de Navarre, du duché de Gascogne, des comtés de Comminges, d'Aragon, de Foix, de Bigorre, d'Alava et de Biscaye, de la vicomté de Béarn et des grands fiefs du duché de Gascogne. Première partie. Pau, imprimerie, Garet, 1898 », Annales du Midi, vol. 11, no 44, , p. 501–508 (lire en ligne, consulté le )
- André Aymard, « Lizop (Raymond), Le Comminges et le Couserans avant la domination romaine ; ; Id., Histoire de deux cités gallo-romaines. Les Convenae et les Consoranni (Comminges et Couserans) », Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest. Sud-Ouest Européen, vol. 4, no 2, , p. 273–278 (lire en ligne, consulté le )
- « Lettres-patentes du Roi », données à Paris au mois de janvier 1790, commençant par « L'Assemblée nationale a décrété le 22 du mois dernier [...] Article Ier : Il sera fait une nouvelle division du royaume en départemens, tant pour la représentation que pour l'administration. Ces départemens seront au nombre de soixante-quinze à quatre-vingt-cinq. »
- Décret qui fixe la nomenclature des quatre-vingt-trois départemens du royaume, 15 janvier 1790.
- « Décret du 6 février 1790 - Collection générale des décrets rendus par l'Assemblée Nationale, avec la mention des sanctions et acceptations données par le roi », sur books.google.com (consulté le ).
- « Décret du 26 février 1790 - Collection générale des décrets rendus par l'Assemblée Nationale, avec la mention des sanctions et acceptations données par le roi », sur books.google.com (consulté le ).
- Le décret du 26 février ne tranche pas entre Bourg et Blaye, laissant aux électeurs du district le soin de prendre une décision au cours de leur première assemblée, qui aura lieu à Bordeaux.
- Archives parlementaires de 1787 à 1860, Première série, tome 78, séance du 12 brumaire an II (2 novembre 1793), p. 180.
- Gazette nationale ou le Moniteur universel n°208 du 28 germinal an III (17 avril 1795), Convention nationale, séance du 25 germinal (14 avril), p. 4.
- Jacques-Olivier Boudon, Les Bonaparte : regards sur la France impériale, La Documentation photographique, dossier 8073, janvier-février 2010, p. 11 (carte de Gilles Pécout)
- Dominique Lormier, La Libération de la France : Aquitaine, Auvergne, Charentes, Limousin, Midi-Pyrénées, Éditions Lucien Sourny, (ISBN 978-2-84886-065-7), p. 15
- Aude Boilley- Boilley, « Jean-Luc Gleyze officiellement réélu président du Département de la Gironde », sudouest.fr, (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le )
- « Cadastre de la Gironde », sur archives.cg33.fr (consulté le ).
- « Cadastre de Bordeaux », sur archives.bordeaux-metropole.fr (consulté le ).
- « Historique des communes du département de la Gironde », sur insee.fr (consulté le ).
- « Superficie de la Gironde : pas si simple »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur acign.blog.free.fr (consulté le ).
- « Données cadastrales et Données foncières et immobilières - Réflexion à partir des retours d’expériences de partenariats DGI et services déconcentrés de l’Équipement », sur lara.inist.fr (consulté le ).
- « Répertoire Géographique des Communes - descriptif de contenu », sur professionnels.ign.fr, (consulté le ), p. 7.
- « Comparateur de territoires - Gironde », sur insee.fr (consulté le ).
- « le RGC remplacé par des bases de données en licence ouverte GeoFla et AdminExpress », sur professionnels.ign.fr (consulté le ).
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- « LA GIRONDE Présentation », sur portulandelagironde.free.fr (consulté le ).
- « Garonne. Quatre rendez-vous pour surfer le mascaret cet été / Le Républicain Sud-Gironde », sur actu.fr, (consulté le ).
- « Estuaire Gironde # Mensurations », sur Estuaire Gironde (consulté le ).
- MahiMahi, « Carte des tonnages d’achats de pesticides par départements en 2020 », sur generations-futures.fr, Générations Futures, (consulté le ).
- Site sur la Population et les Limites Administratives de la France - Fiche historique du département
- Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
- Fiches Insee - Populations légales du département pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021
- Yannick Delneste, « Gironde : les vacances sportives de Cap 33 à l’heure de la crise sanitaire », Sud Ouest, (lire en ligne)
- Gwladys L., « Et si on se mettait au sport pendant les vacances avec CAP33 ? », sur arlradio.fr,
- Julien Lestage, « Médoc : du sport pour tous et en famille avec Cap 33 », Sud Ouest, (lire en ligne)
- Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. (Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne)
- Carte IGN sous Géoportail
- Géographie du cinéma, Paris, Centre national du cinéma et de l'image animée, 110 p. (lire en ligne)
- « Infographies. Gironde : comment se portent les cinémas ? », Sud Ouest, (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le )
- « Gironde: La guerre des cinémas est déclarée », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- « Bordeaux et la Gironde crèvent l'écran : 354 jours de tournages en 2017 », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le ).
- «2018 sera une très bonne année pour les tournages en Gironde», sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- « Bordeaux, une bonne doublure de Paris pour les tournages de films », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- « L'Ardèche, première destination des touristes écoresponsables », sur France Télévisions,
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Département français
- Conseil départemental de la Gironde
- Liste de ponts de la Gironde
- Landes de Gascogne
- Liste des intercommunalités de la Gironde
- Liste des députés de la Gironde
- Liste des sénateurs de la Gironde
- Liste des préfets de la Gironde
- Arrondissements de la Gironde
- Liste des communes de la Gironde
- Liste des anciennes communes de la Gironde
- Liste de films tournés dans le département de la Gironde
- Volontaires nationaux de la Gironde pendant la Révolution
- Transports dans la Gironde
Sources
modifier- Site du recensement de l'INSEE, chiffres à la date du .
- Estimations du recensement intermédiaire de l'INSEE, chiffres à la date du .
- François Jouannet, Statistique du département de la Gironde (monographie imprimée), Paris, P. Dupont et Compagnie, 4 volumes :
- Tome I (Livres I Topographie, II Météorologie, III Produits naturels, IV Population, V Histoire), 1837, 429 p., [lire en ligne] sur Gallica ;
- Tome II, 1re partie (Livres V Divisions administratives, VI Agriculture), 1839, 411 p., [lire en ligne] sur Gallica ;
- Tome II, 2e partie : (Livres VII Instruction publique, VIII Établissements de charité, IX Administration), 1843, 458 p., [lire en ligne] sur Gallica ;
- Tome « Essai complémentaire », par Pierre Gustave Brunet et Léonce de Lamothe, 1847, 164 p.
Bibliographie
modifier- Collectif, La Gironde, Éditions du Bastion, 1989.
- Jean-François Ratonnat, La Vie d'autrefois en Gironde, Éditions Sud-Ouest, 1994.
- Serge Legrand-Vall et Jean-Noël Mouret, La Gironde, Éditions Ouest-France, coll. « Itinéraires de découvertes », 2015.
Liens externes
modifier- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative à la musique :
- Préfecture de la Gironde
- Conseil départemental de la Gironde
- Statistique générale de la Gironde ; Biographie (tome 3, partie 1) par Édouard Feret, 1889, 628 p.