Corgengoux

commune française du département de la Côte-d'Or

Corgengoux est une commune française située dans le département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Corgengoux
Corgengoux
L'église de Corgengoux.
Blason de Corgengoux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Arrondissement Beaune
Intercommunalité Communauté d'agglomération Beaune Côte et Sud
Maire
Mandat
Pierre Brouant
2020-2026
Code postal 21250
Code commune 21193
Démographie
Population
municipale
373 hab. (2021 en évolution de −4,11 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 59′ 29″ nord, 4° 59′ 21″ est
Altitude Min. 177 m
Max. 205 m
Superficie 12,53 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Beaune
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ladoix-Serrigny
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Corgengoux
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Corgengoux
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Corgengoux
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Corgengoux
Liens
Site web www.corgengoux21.fr

Géographie

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Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 790 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bragny sur Saône », sur la commune de Bragny-sur-Saône à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 845,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Corgengoux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beaune, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,2 %), forêts (18,7 %), prairies (15 %), zones urbanisées (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

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Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1995 ? Jacques Figon DVD  
mars 2001 mars 2008 Dominique Carlier    
mars 2008 en cours Pierre Brouant    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[13].

En 2021, la commune comptait 373 habitants[Note 2], en évolution de −4,11 % par rapport à 2015 (Côte-d'Or : 0,44 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
541591605510501596619649637
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
647617624612606545523516451
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
460434402382361327289313265
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
259240207234250283329336385
2017 2021 - - - - - - -
368373-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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  •  
    Château de Parruey (Paruey à l'origine), route de Verdun, édifié entre 1800 et 1815 à l'emplacement d'un ancien relais de poste. En effet, au Moyen Âge, les terres de Parruey relèvent de la propriété de différents ordres religieux, avec l'hypothèse d'une possession vers 1165 par l'Ordre cistercien[16] avant qu'elles n'appartiennent au chapitre de l'Abbatiale Saint-Bénigne de Dijon jusqu'à la Révolution Française[17]. Jean-Chrétien de Macheco[18], marquis de Prémeaux, fils de Chrétien-Gaspard de Macheco, président du Parlement de Bourgogne, est le dernier seigneur de Corgengoux, Paruet, Mazerotte et Grosbois. En 1869[19], des fouilles archéologiques mettent au jour les restes d'une villa gallo-romaine incendiée[20] d'où seront notamment découverts des objets en terre de Samos, une hachette en jadéite et des médailles à l'effigie de Marc-Aurèle. Ces fouilles ont confirmé la proximité d'un ancien camp romain[21] longeant la Via Agrippa[22], au croisement entre La Sereine et La Bouzaise. Propriété du Général Labrune qui en fait sa demeure dès 1880[23], le Château reçoit notamment la visite du préfet Jean-Baptiste Phelut en 1908. Agrandi après la Séparation des Églises et de l'État, le corps de bâtiment principal est complété par un pigeonnier à clocheton (reconstruit depuis), et une aile de dépendances est ajoutée vers l'est avec pour certaines des grilles indépendantes et plusieurs cours traversantes. Le parc est surélevé et se trouve agrémenté d'un jardin à l'anglaise planté sous la direction de Paul Maupied, membre titulaire de la Société d'horticulture et de viticulture de Bourgogne[24],[25]. Le château se compose d'une large maison bourgeoise dans un parc[26] de 30 hectares[27] construite en deux étages sur soubassements, dont un sous combles (surmontées à l'origine par des fléchettes en cuivre), précédée par un jardin d'agrément et une cour d'honneur. Il reprend les codes de l'architecture traditionnelle de Bourgogne avec l'utilisation de dalles en pierre de Bourgogne, de marbres et d'une imposante charpente en chêne. Un ancien four à pain, des écuries aux portes frappées de l'écu des Valois-Bourgogne, deux puits et un bâtiment agricole avec son grenier à grains jouxtent le logis. Ces dernières façades d'apparence austères sont réalisées en pierre de taille et bordées de corniches. La présence de vignes[28], arrachées par la suite, est supposée sur le domaine au tournant du XXe siècle. Pendant la Seconde Guerre mondiale, une partie du château est occupée avant que l'ensemble ne soit revendu dans un état dégradé. En 1955, la famille Leblanc remodèle et modernise une partie des lieux en faisant réaliser une copie des lanternes en fer forgé installées par Vincent Auriol au Palais de l'Élysée, et en dessinant un nouveau parvis doté de statues d'angelots romantiques complété par un escalier à double balustrade simplifié sur la façade nord. Le parc, ceinturé par un mur d'enceinte, est divisé et ne sont conservés du jardin à l'anglaise que les chemins de traverse, demi-lunes, haies, plates-bandes de fleurs ainsi qu'une sculpture de pierre pittoresque au sud. Une surface boisée est aménagée et est bordée d'une prairie pour l'entraînement des chevaux, tandis qu'en bordure du domaine des terrains sont lotis et cédés pour être consacrés à la culture agricole. Une rénovation est assurée par la famille Pagès avant le rachat du Château par la famille Magnien-Merme en 1974. Inaccessible au public, le château renferme encore dans son parc des arbres centenaires dont une quinzaine d'Aesculus flava, différents arbres fruitiers et deux sapins du Colorado.
  • Moulin de Parruey, attesté avant 1790[29] et situé au bord du Meuzin, il connaît une activité intense[30]. Doté de quatre tournants et deux turbines, il fournissait en grain l'ensemble des villages environnants.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blasonnement :
D'azur au chevron d'or accompagné de trois têtes de perdrix d'argent.

Voir aussi

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Corgengoux et Bragny-sur-Saône », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Bragny sur Saône », sur la commune de Bragny-sur-Saône - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Bragny sur Saône », sur la commune de Bragny-sur-Saône - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beaune », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  16. (la) Alexandre III, Bulle pontificale confirmant les possessions de l'Abbaye de Citeaux,  :

    « Partem terre de Albania ex dono capituli eduensis, grangiam de Thantheneis cum adjacentibus terris, pratis, silvis, piscationibus, aquis, pascuis et decima ex dono Henrici abbatis de sancto Johanne de Angelis et capituli sui, Symonis et Hervei dominorum de Vergiaco et Hugonis de Soliaco, grangiam de Moisiaco cum adjacentibus terris, pascuis, silvis, pratis, aquis, decima et omnibus pertinenciis suis ex dono Bernardi de Rualata, Humberti et Reinaldi fratrum et Joceranni de Curteberthaldi, vineas de Parcis cum decima et vineas de Divione, et de Muresalt. Commentaire CNRS : Il y a certainement une erreur de copie de la part du rédacteur du Liber privilegiorum Cistercii, qui nous transmet ce texte. Cette mention de Parcis est unique et échappe à toute tentative de localisation. Nous proposons de lire Parrie qui serait Parruey, commune de Corgengoux (Parrié en 1377). »

    .
  17. En 1760, on compte à Paruey "5 laboureurs, 7 vignerons, 2 pâtres, 2 artisans, 4 manœuvriers et 8 veuves" (cf. Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 : États du duché de Bourgogne, comtés et pays adjacents ; p.457)
  18. Mort en 1803
  19. Jules MARION, Revue des sociétés savantes des départements, , p. 158.
  20. Académie des Sciences, Arts et Belles-Lettres de Dijon, Commission des Antiquités du Département de la Côte-d'Or, Mémoires de la Commission des Antiquités du Département de la Côte-d'Or - Volume 7, Dijon,  :

    « Au hameau de Paruey,commune de Corgengoux, non loin de la voie de Chalon à Langres, ce sont très apparemment les ruines d'une villa gallo-romaine que MM. Albrier et Aubertin, tous deux associés correspondants de la Commission, ont explorées de compagnie au mois de juillet dernier. D'après un rapport sommaire de M. Albrier, cette villa aurait été détruite par un incendie, comme le prouve la grande quantité de cendre et de charbon qu'on y a rencontrée. Plusieurs objets antiques, aujourd'hui déposés pour la plupart au musée de Beaune, ont été retirés de ces fouilles. Votre correspondant vous a spécialement signalé de nombreux fragments de poterie, dont quelques-uns en terra de Samos, représentant presque tous des sujets de

    chasse, des débris d'amphore, une hachette en jadeite, et enfin les restes d'un coffret en bois à armature de bronze, qui contenait un style également en bronze, six

    épingles à cheveux en bois dur, une bague en verroterie, plus sept médailles moyen bronze très frustes dont deux seulement ont pu être déchiffrées ; elles sont à l'effigie de Marc-Aurèle. »

    .
  21. Pierre NOEL, Le Canton de Seurre, Le Livre d'Histoire,  :

    « À Corgengoux, il devait exister un camp romain retranché sur le bord de la voie romaine, dans l'angle formé par la réunion entre La Sereine et La Bouzaise, car on y a retrouvé des épées nues, des poignées de sabre et beaucoup d'autres objets. »

    .
  22. Emile Thevenot ; Christian Thevenot, Les voies romaines de la Cité des Éduens, , p. 259.
  23. A. La Fare, Annuaire des Châteaux et des Villégiatures 1906-1907 Tome II, Paris, Le Figaro, , 526 p. (lire en ligne), p. 209.
  24. Bulletin de la Société d'horticulture et d'arboriculture [puis d'horticulture et de viticulture] de la Côte-d'Or [puis de Bourgogne], Dijon, , p. 12 :

    « Maupied ( Paul), jardinier chez M. le général Labrune, au château de Parruey, par Corberon »

    .
  25. Société d'horticulture et viticulture de la Côte-d'Or : agrégée à la Société d'acclimatation, Bulletin de la Société d'horticulture et viticulture de la Côte-d'Or : agrégée à la Société d'acclimatation, Dijon, (lire en ligne), p. 114 :

    « Sont élus et proclamés : dame patronnesse, Mmo de Bahèzre ; — membres titulaires, MM. Laurin Louis et Maupied Paul. »

    .
  26. « Description de la commune de Corgengoux », L'Écho des Communes,‎  :

    « Parruey / Paruey / Parruet. (Corgengoux). Moulin à eau. Maison bourgeoise dans son parc. Non loin de la voie romaine de Chalon à Langres, les vestiges d'une villa gallo-romaine furent mises à jour en 1868. Parmi le mobilier, on note des médailles à l'effigie de Marc-Aurèle. »

    .
  27. « Annonces », Le progrès de la Côte d'Or,‎ .
  28. Pierre NOEL, Le Canton de Seurre, Le Livre d'Histoire,  :

    « La commune compte à cette époque 523 habitants, 75 hectares de vigne sont cultivés. La surface boisée représente 205 hectares sur les 1254 hectares de la commune. »

    .
  29. Archives départementales de Côte d'Or ; Joseph GARNIER, Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Instruction publique, sciences et arts. Féodalité, communes, bourgeoisie et familles, , p. 277.
  30. « Annonces », Courrier de Saône-et-Loire,‎  :

    « Ce moulin est situé à la jonction de plusieurs rivières, formant le plus fort cours d'eau de tous les moulins, depuis la montagne jusqu'à la Saône. »

    .

Liens externes

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