Chéraute

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Chéraute est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Chéraute
Chéraute
La mairie de Chéraute.
Blason de Chéraute
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Christelle Mange
2020-2026
Code postal 64130
Code commune 64188
Démographie
Gentilé Sohütar
Population
municipale
1 057 hab. (2021 en évolution de −3,73 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 13′ 57″ nord, 0° 52′ 02″ ouest
Altitude Min. 127 m
Max. 558 m
Superficie 35,26 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Mauléon-Licharre
(banlieue)
Aire d'attraction Mauléon-Licharre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Chéraute
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Chéraute
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Chéraute
Liens
Site web www.cheraute.fr

Le gentilé est Sohütar[1].

Géographie

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Localisation

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Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Chéraute se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 57 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 29 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture, et à 2 km de Mauléon-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Viodos-Abense-de-Bas (1,5 km), Berrogain-Laruns (1,5 km), Mauléon-Licharre (1,7 km), Garindein (3,9 km), Espès-Undurein (4,1 km), Moncayolle-Larrory-Mendibieu (4,2 km), Roquiague (5,1 km), Gotein-Libarrenx (5,3 km).

Sur le plan historique et culturel, Chéraute fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[8]. Elle se divise en Arbaille, Haute-Soule, et Basse-Soule, dont fait partie la commune.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Barcus, Berrogain-Laruns, L'Hôpital-Saint-Blaise, Mauléon-Licharre, Moncayolle-Larrory-Mendibieu, Roquiague et Viodos-Abense-de-Bas.

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier de Chéraute.

La commune est drainée par le Saison, le Lausset, le Lausset, un bras du Lausset, le Gaillan, le lacherreca, le ruisseau Aiguette, le ruisseau Ascania, le ruisseau d'Aguerre, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 45 km de longueur totale[10],[Carte 1].

Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Autevielle-Saint-Martin-Bideren, après avoir traversé 31 communes[11].

Le Lausset, d'une longueur totale de 39,3 km, prend sa source dans la commune de Sauguis-Saint-Étienne et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Narp, après avoir traversé 14 communes[12].

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et basque[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 434 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast à 17 km à vol d'oiseau[16], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 219,1 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[21],[Carte 2] :

  • « le Saison (cours d'eau) », d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[22] ;
  • « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche », d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[23] ;

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[24],[Carte 3] : le « Lausset amont et zones tourbeuses associées » (190,06 ha), couvrant 11 communes du département[25] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[24],[Carte 4] :

  • le « bassin versant du Lausset et du Joos : bois, landes et zones tourbeuses » (19 519,13 ha), couvrant 23 communes du département[26] ;
  • le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[27].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Chéraute est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mauléon-Licharre[Note 7], une agglomération intra-départementale regroupant huit communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 8],[29],[2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre, dont elle est une commune de la couronne[Note 9],[2]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,6 %), zones agricoles hétérogènes (30,3 %), prairies (18,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,3 %), zones urbanisées (1,5 %), terres arables (0,7 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

Lieux-dits et hameaux

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11 quartiers composent la commune de Chéraute[33] :

  • Aranbeltz ;
  • Arballa ;
  • Barragarri (Barragarry sur les cartes IGN) ;
  • Debata ;
  • Ekhibegia ;
  • Gañeko ibarra ;
  • Hoki (Hoquy sur les cartes IGN) ;
  • Kharrika ;
  • Narbuna ;
  • Peko ibarra ;
  • Sühastoki.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Chéraute est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Saison et le Lausset. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2008, 2009, 2011 et 2014[36],[34].

Chéraute est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[37]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[38],[39].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chéraute.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[40]. 98,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[41].

Toponymie

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Un lavoir.
 
L'église Saint-Barthélemy.
 
Monument aux morts (sur le mur de l'église de Chéraute).
 
Stèle à l'entrée de l'enceinte de l'église de Chéraute.

Attestations anciennes

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Le toponyme Chéraute apparaît sous les formes Cheraltus (1224[42], titres de Barcelone[43]), Xeraute (1383[42], contrats de Luntz[44]), Xerauta (1496[42], contrats d'Ohix[45]), Sent-Barthelemi de Chéraute (1612[42], insinuations du diocèse d'Oloron[46]).

Autres toponymes

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Aphezberro est attesté sous les formes Aspesberro, lo bordar d'Apezberro et Apesbero (respectivement 1476[42] et 1479[42] pour les deux dernières formes, contrats d'Ohix[45]).

Les Arambeaux, ancien hameau de la commune (du basque Haranbeltz), est mentionné sous la forme L'Arambeus en 1475 (contrats d'Ohix[45]).

Graphie basque

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Son nom basque actuel est Sohüta[1].

Histoire

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Chéraute est une ancienne baronnie vassale de la vicomté de Soule[42].

Héraldique

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Les armes de Chéraute se blasonnent ainsi :

Écartelé aux 1 et 4 d'or au pin de sinople terrassé du même et un loup de gueules passant derrière le tronc de l'arbre ;
aux 2 et 3 de gueules au lion d'or ;
sur le tout de sable au lion regardant d'argent[47].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2001 Michel Béguerie    
2001 2008 Pierre-Dominique Aguer DVD  
2008 2010 Laurent Etcheto    
2010 En cours Christelle Mange DIV  

Intercommunalité

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Chéraute appartient à huit structures intercommunales[48] :

  • la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
  • le SIGOM ;
  • le syndicat à vocation scolaire Gaztelaïa ;
  • le syndicat AEP du Pays de Soule ;
  • le syndicat d'assainissement du Pays de Soule ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque ;
  • le syndicat mixte forestier des chênaies des vallées basques et béarnaises.

Chéraute accueille le siège du syndicat à vocation scolaire Gaztelaïa.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[50].

En 2021, la commune comptait 1 057 habitants[Note 11], en évolution de −3,73 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : 3,43 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2571 2801 3301 4941 5271 5501 5201 5071 530
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2261 2121 2501 1681 1661 1791 1031 1251 116
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1001 1201 0591 0129919799981 008987
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 0541 0471 1911 1731 1931 1041 1631 1061 099
2021 - - - - - - - -
1 057--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune dispose de deux écoles : l'école primaire privée Eperra Ikastola et l'école primaire publique Gaztelaia[53]. L'école primaire privée propose un enseignement basque par immersion et l'école primaire publique un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[54].

Économie

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L'activité est tournée vers l'agriculture (élevage et pâturages) et l'artisanat (manufacture d'espadrilles). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine civil

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Des fortifications protohistoriques, inscrites aux monuments historiques en 1983, sont présentes au lieu-dit Castelgayha.
La famille des Bela-Chéraute possédait le château du XVIIe siècle qui se dresse sur le territoire de la commune.

Patrimoine religieux

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L'église Saint-Barthélemy, dont les origines remontent à la fin du Moyen Âge, a été agrandie à la fin du XIXe siècle et son clocher et son porche ont été reconstruits au début du XXe siècle.

La chapelle trinitaire de Notre-Dame de Hoquy a été construite par l'abbé Dominique Espaïn en 1936[55].

Événements sportifs

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La commune se situe sur le trajet de la 16e étape du Tour de France 2007, qui a eu lieu le 25 juillet 2007. Le parcours de 218 kilomètres reliait Orthez à Gourette - col d'Aubisque.

Équipements

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La commune dispose de deux écoles primaires, d'une ikastola et d'un lycée (lycée du pays de Soule).

Personnalités liées à la commune

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  • Jon Mirande, (Paris, 1925-1972) est un écrivain basque, né au sein d'une famille souletine qui émigra à la capitale française à la recherche de travail. Son père, Jean Mirande, était originaire de Garindein et sa mère, Marie d'Ayphasorho, de Chéraute.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  8. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Mauléon-Licharre comprend une ville-centre et sept communes de banlieue.
  9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Chéraute » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Chéraute », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Chéraute », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Chéraute », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  2. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de Chéraute ».
  3. Stephan Georg, « Distance entre Chéraute et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Chéraute et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Chéraute et Mauléon-Licharre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Chéraute », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
  8. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
  9. Carte IGN sous Géoportail
  10. « Fiche communale de Chéraute », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
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  13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  14. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  15. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  16. « Orthodromie entre Chéraute et Aïcirits-Camou-Suhast », sur fr.distance.to (consulté le ).
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Voir aussi

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