Buxy

commune française du département de Saône-et-Loire

Buxy est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Buxy
Buxy
Une des rues principales du centre du village.
Blason de Buxy
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Chalon-sur-Saône
Intercommunalité Communauté de communes Sud Côte Chalonnaise
(siège)
Maire
Mandat
Dominique Lanoiselet
2020-2026
Code postal 71390
Code commune 71070
Démographie
Gentilé Buxinois[1], Buxynois[2]
Population
municipale
2 151 hab. (2021 en évolution de  2,38 % par rapport à 2015)
Densité 180 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 42′ 45″ nord, 4° 41′ 50″ est
Altitude Min. 186 m
Max. 430 m
Superficie 11,92 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Buxy
(ville isolée)
Aire d'attraction Chalon-sur-Saône
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Givry
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Buxy
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Buxy
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Buxy
Liens
Site web buxy.fr

Géographie

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Situé à une vingtaine de kilomètres de Chalon-sur-Saône, Buxy est un village viticole de la côte chalonnaise.

Communes limitrophes

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Accès et transports

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Le village est situé à proximité de grands axes de circulation, à 15 kilomètres de l'autoroute A6 (Chalon-sur-Saône), 18 kilomètres de la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles, 6 kilomètres de la route nationale 80 (RCEA) Chalon-Moulins, et à une vingtaine de kilomètres de la LGV Sud-Est (TGV) (gare du Creusot TGV).

La ligne LR701 du réseau régional de cars « Mobigo » reliant Chalon à Mâcon via Cluny, dessert plusieurs arrêts à Buxy (gare, collège et centre).

Géologie et relief

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Le Trias inférieur gréseux affleure le village, et est en contact avec des calcaires du Kimméridgien supérieur[3]. D'une altitude de 196 mètres à 428 mètres, l'escarpement est prononcé par endroits.

Hydrographie

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Les principaux cours d'eau sont la Corne, la rivière des Curles et le Loup Poutet.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 827 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil à 16 km à vol d'oiseau[6], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 736,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,7 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17,6 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Buxy est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Buxy[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 109 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (84,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,8 %), prairies (22,8 %), cultures permanentes (13,5 %), zones urbanisées (12,9 %), terres arables (8,5 %), forêts (6,7 %), mines, décharges et chantiers (1,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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C'est au Xe siècle que le nom de Buxy (Buxum, Buxiacum puis Bussiacum auparavant) apparaît officiellement, peut-être à cause des buis qui l'entourent.

Malgré son étymologie, on prononce /byksi/. Selon Jean-François Bazin dans L’Almanach bourguignon (émission de la radio RCF en Bourgogne), Buxy est le seul nom d’une commune située sur le territoire de l’ancienne province bourguignonne comportant un X en milieu de nom où ce X se prononce /ks/ (le X dans Aloxe-Corton, Auxant, Auxerre, Auxey-Duresses, Auxonne, Auxy, Bissy-sous-Uxelles, Fixin, Franxault, Maxilly-sur-Saône, Semur-en-Auxois, Uxeau, etc. se prononçant /s/). Ce même Jean-François Bazin écrit dans Le Vin de Bourgogne : « le Bourguignon a en horreur les x gutturaux. Il adoucit tout : Fixin se prononce Fissin, Auxey Aussey, Auxerrois Ausserrois, etc. En revanche, on bute sur le x de Buxy : Buk-sy ».

Histoire

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Préhistoire et Antiquité

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Le site fut vraisemblablement connu de l'Homme de Néandertal (grottes de Culles les Roches)[17],[18], et leurs successeurs de l'époque de Hallstatt (traces). L'occupation romaine y est présente (site de Granges)[19]. La christianisation a commencé très tôt, vers le Ve siècle.

Moyen Âge

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Les comtes de Chalon

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Durant le Moyen Âge, Buxy passe sous la dépendance des comtes de Chalon (sur Saône). Au Xe siècle, Buxy est un vicus. Buxy est alors le siège d'une prévôté dépendant des comtes. Les conflits entre le roi de France et les comtes amènent le village à se fortifier à partir du XIIe siècle. L'église romane est construite à cette époque (église Saint-Germain-l'Auxerrois)[19]. Les templiers s'installent dans la région vers 1185 (demeure templière de Jully). Dans le procès de 1310, Martin, de Buxy, un templier de cette maison, fut entendu comme témoin. En 1204, Béatrice de Chalon (1174 - † 7 avril 1227), dite Béatrice de Thiers, comtesse de Chalon, octroie une charte précisant les droits et devoirs des habitants de Buxy. Les Buxynois sauront faire valoir leurs droits, même devant plus puissants qu'eux. C'est la véritable naissance de la municipalité buxynoise. En 1237, le Chalonnais passe entre les mains du duc de Bourgogne Hugues IV[20], par échange avec la principauté de Salins.

Les juifs à Buxy

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Jusqu'au XIVe siècle, une importante communauté juive réside à Buxy[21], cour Marmagne. Ils sont chassés du royaume en 1306, par Philippe le Bel.

Les ducs de Bourgogne

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Le bourg a toujours eu l'attention des ducs. En 1318, le duc Eudes IV octroie un droit de passage au milieu du village, pour les voyageurs allant de Beaune à Cluny.

Buxy souffre de la guerre de Cent Ans, et les Buxynois prennent part aux combats. Vers 1360, ils vont lutter contre la bande des écorcheurs, hommes de guerre à gages que le traité de Brétigny jette sur les routes, et qui rançonnent le pays. Malgré ses murailles, Buxy est difficilement défendable, faute d'hommes pour le faire, ceux-ci étant employés à lutter contre les troupes royales, commandées par Rodrigue de Villandrando.

La fin de la guerre de Cent Ans laisse le bourg exsangue, d'autant plus que les écorcheurs font un retour bref mais sanglant. Les derniers ducs de Bourgogne rendent un peu de calme et de prospérité à la région, mais c'est sans compter sur le désir du roi de France Louis XI, en lutte contre Charles le Téméraire.

Buxy est donc le lieu d'une bataille entre l'armée bourguignonne, basée à Chalon-sur-Saône, composée de nobles et de mercenaires en majorité allemands, et les troupes royales recrutées dans le Dauphiné, la vallée du Rhône et venant de Saint Gengoux-le-Royal.

Le 14 mars 1471, à la bataille de Buxy, des milliers d'hommes de guerre s'affrontent[17]. Après une issue incertaine, les troupes royales semblent l'emporter.

Période moderne

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La période des rois de France

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Après la mort de Charles le Téméraire en 1477, le duché tombe entre les mains des rois de France (Louis XI)[20]. Leur première décision est de faire disparaître ce qui rappelle la gestion des ducs. Les murailles de Buxy sont laissées à l'abandon, et les habitants construisent sur les remparts.

Le roi se réserve d'accorder, à titre de récompense, les revenus des droits seigneuriaux de la prévôté de Buxy. Ces seigneurs deviennent des seigneurs engagistes, mais jamais seigneurs de Buxy.

Dans la lignée des personnages importants ayant reçu Buxy, citons entre autres Marie de Savoye, fille de Yolande de France et d'Amédée IX, marquise de Rothelin par son mariage avec Philippe de Bade-Hochberg-Neuchâtel, puis ses descendants de la famille de Hochebourg. En succession (cf. Jeanne), Buxy passe dans la famille de Longueville, à la Princesse de Condé, Françoise d'Orléans[20], suivie par Charles de Bourbon. La veuve de Charles de Bourbon cède la terre de Buxy à Jacques du Blé, marquis d'Uxelles pendant environ un siècle. Les biens de Nicolas du Blé sont attribués au marquis de Beringhem, gouverneur de Chalon. Celui-ci vend Buxy à François Henrion de Pressey, gouverneur des pages de la chambre du roi, et trésorier de France en Bourgogne. Son fils aîné Camille est le dernier seigneur de Buxy qu'il quitte, criblé de dettes.

Dans les réformes engagées par le roi de France, la nomination des curés par les évêques, en dehors, bien souvent, de la paroisse de Buxy, crée, en particulier, des dissensions favorables à l'introduction du protestantisme. La localité est d'ailleurs relativement protégée lors des guerres de religion (refuge d'une partie des protestants du Chalonnais)[22]. Seule l'incursion de troupes protestantes, sous la conduite de l'amiral de Coligny, ayant avec lui le jeune prince de Béarn (futur Henri IV) et de Condé, amène l'incendie d'une partie de l'église et la destruction des archives (1570 ou 1575).

Les protestants à Buxy

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La réforme calviniste a très tôt un grand nombre d'adhérents à Buxy, pour la plupart issus de classes aisées ou dirigeantes. Ils représentent jusqu'au tiers de la population.

Plusieurs synodes provinciaux se tiennent à Buxy entre 1604 et 1671. Un temple est érigé dans une maison léguée par Humbert Perrault, protestant notoire. La séparation catholiques et protestants ne semble pourtant alors pas très marquée : le notaire Abraham Cornu, protestant, gère les biens des moines de Cluny et de la Ferté. Après la révocation de l'édit de Nantes, les protestants sont victimes de persécutions. Certains émigrent en Suisse, comme la famille Delagrange dont seront issus plusieurs architectes, d'autres se rallient, peut-être sous la contrainte, au catholicisme : en 1730, dit l'abbé Courtépée, on ne connaît plus de calvinistes à Buxy.

Période contemporaine

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La Révolution et l'époque napoléonienne

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Buxy ne reste pas à l'écart de la Révolution française : une milice bourgeoise est créée le 24 juillet 1789. Elle devient la Garde nationale et est armée jusqu'en 1792, l'entraînement se faisant sur le Champ de Mars, l'actuelle place de Baranges.

La fête de la fédération du 14 juillet 1790 est célébrée par une messe solennelle, suivie du serment patriotique.

À la création du département de Saône-et-Loire, Buxy devient chef-lieu de canton.

Après la destruction de ce qui rappelle la féodalité (terriers, titres...), vient la période des perquisitions, ventes des biens du clergé et émigrés, avec arrestations et réquisitions. Mais la population ne s'engage pas réellement à la suite des révolutionnaires, peu nombreux.

Buxy participe à l'effort de guerre, ce qui permet à un enfant du pays, Charles-Claude Meuziau, de devenir général et baron d'Empire, puis plus tard baron héréditaire.

Après Thermidor, l'église est rendue au culte.

Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune porte provisoirement les noms de Buxy-le-National et de Grand-Buxy[23].

À la fin de l'Empire, la France est envahie et Buxy se mobilise pour résister à l'invasion. Le village sera occupé par les Autrichiens en 1814 et 1815 après Waterloo. Buxy devient provisoirement Buxy-le-Royal de 1816 à 1822[24].

Le XIXe siècle

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Au cours de ce siècle s'organisent les principaux services publics :

  • 1826 : organisation d'un service incendie et en 1848 de la Compagnie des sapeurs-pompiers.
  • 1831 : organisation de la garde nationale.
  • 1832 : après l'épidémie de choléra, création d'un service de salubrité et organisation de l'enlèvement régulier des immondices et des fumiers.
  • 1844 : installation d'une brigade de gendarmerie à Buxy[25].
  • 1861 : fondation des sociétés de secours mutuels et de la société de secours mutuels des vignerons.
  • 1866 : début de l'éclairage public, qui devient électrique en 1913.
  • 1880 : fondation de l'hôpital.
  • 1888 : arrivée du chemin de fer.

Au sommet de la Chaume, à 429 mètres d'altitude, Buxy dispose durant toute la première moitié du XIXe siècle d'une « station » (ou « poste télégraphique aérien ») du télégraphe Chappe implantée le long de l'« embranchement » reliant Chalon-sur-Saône à la ligne Paris-Toulon, installation qui cesse de fonctionner en 1853, remplacée par la télégraphie électrique[26]. Le sommet de la colline est par la suite exploité en carrière, au plus tard à partir de 1973[27].

La fin de ce siècle voit le phylloxéra toucher durement le vignoble[22].

Le XXe siècle

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Il se caractérise par les deux guerres : celle de 1914-1918, qui fait de nombreuses victimes parmi les poilus du bourg ; et celle de 1939-1945, qui se caractérise par l'entrée des troupes allemandes le , avec une résistance remarquée des soldats français, et des dégâts matériels. Peu après, en , la ligne de démarcation coupe le canton de Buxy en deux[22]. La présence du camp d'observation aérienne de Montagny-les-Buxy est la cause de nombreux désagréments dans la population, avec comme exemple le massacre de résistants et de civils en au hameau voisin de Neuilly[22]. La libération de Buxy, par des troupes oranaises et de l'empire (colonial), et non des soldats américains comme certains l'ont cru, se fait sans dommages.

1930 : fondation de la coopérative vinicole de Buxy, avec Henri Ozanon, maire de Romenay, pour président[28].

Création de l'appellation Montagny en 1936, dont la commune fait partie[29]. En 1954, l'eau courante arrive à Buxy[17].

En 1993, la Société d'astronomie de Saône-et-Loire s'installe à son tour sur la colline de la Chaume, y construisant un observatoire[30]. En 2018, Jean-Claude Merlin fait don à l'observatoire du télescope qu'il a construit en 1985 et initialement installé près du Creusot[31],[32].

Le XXIe siècle

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En 2002, la commune avec Montagny-lès-Buxy, Saint-Vallerin et Jully-lès-Buxy, accueille la Saint-Vincent Tournante pour l'appellation Montagny[33]. Avec la canicule de 2003, les vendanges débutent pour certains domaines cette année-là à la mi-août, soit avec un mois d'avance, des vendanges très précoces qui ne s'étaient pas vues depuis 1422 et 1865 d'après les archives[34].

En mai 2018, la petite planète (375007) Buxy découverte par Jean-Claude Merlin est baptisée « Buxy ».

L'hôpital Saint-Lazare-de-Jérusalem

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On ignore à quelle date cet hôpital fut fondé à Buxy, mais l'abbé Courtépée le cite en 1454 comme léproserie. Il était situé sur l'actuelle place de Baranges. Il fut réuni à l'hôpital de Tournus[20] vers 1696, moyennant deux lits pour les pauvres de Buxy. Cette réunion dura jusqu'en 1880, et en 1883, un hôpital fut construit à Buxy. C'est l'actuelle maison de retraite.

Héraldique

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  Blason
De sinople à la grappe de raisin d’or ; au chef du même chargé d’une branche de buis de sinople.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Buxy est une commune qui vote très légèrement à droite. Depuis 1997, la droite est arrivé en tête dans 10 élections et la gauche, dans 8 scrutins[35],[36],[37],[38],[39],[40],[41],[42],[43],[44],[45],[46],[47],[48],[49],[50],[51],[52].

Trois élections ont concerné deux personnes du village, avec André Gentien et Dominique Lanoiselet :

Cantonales 2008

Au premier tour à Buxy, pour le canton de Buxy, Dominique Lanoiselet (UMP), arrive en tête avec 49,20 %, suivi du socialiste Daniel Basset (38,18 %)[38]. Au deuxième tour, Dominique Lanoiselet l'emporte avec 55,65 %, contre 44,35 % au socialiste[38]. Dominique Lanoiselet est élue sur le canton (51,45 %)[39].

Cantonale 2001

Au premier tour, pour le canton de Buxy, André Gentien (RPR), le conseiller général sortant, l'emporte au premier tour dans la commune et dans le canton avec 51,08 %, suivi du socialiste Daniel Nicolas (20,09 %), de l'écologiste Marie-Claude Colin-Cordier (14,18 %)[50].

Cantonale 1994

Au premier tour, pour le canton de Buxy, André Gentien (RPR), arrive en tête au premier tour dans la commune et dans le canton avec 31,19 %, suivi du conseiller général sortant (RPR) Jean Rigoulot (19,27 %), du socialiste Gérard Maitre (19,15 %), de Joël Juillet (droite) (16,66 %), de M. Chevalier (10,62 %) et de M. Clerget (3,11 %)[50]. André Gentien l'emporte au second tour.

Administration municipale

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Buxy dépend de l'arrondissement de Chalon-sur-Saône. Le conseil municipal est composé de 19 membres conformément à l'article L. 2121-2 du Code général des collectivités territoriales[53]. À l'issue des élections municipales de mars 2020, Dominique Lanoiselet est réélue maire de Buxy.

Listes des maires

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Liste non exhaustive des prévôts
Période Identité Étiquette Qualité
1386   Guillaume Duchemin[54]    
Les données manquantes sont à compléter.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1864 1866 Charles Dariot   Juge de paix
Conseiller général du canton de Buxy (1855 → 1871)
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1959 mars 1965 M. Violot    
mars 1965 mars 1971 Marcel Legros RI Viticulteur
Sénateur de Saône-et-Loire (1958 → 1971)
Conseiller général du canton de Buxy (1951 → 1970)
Ancien maire de Saint-Vallerin (1959 → 1965)
mars 1971 mars 1989 Lucienne Claustre PS Institutrice
mars 1989 mars 2008 André Gentien RPR puis UMP Chef d'entreprise
Député de la 5e circonscription de Saône-et-Loire (1995 → 1997 puis 2002)
Conseiller général du canton de Buxy (1994 → 2008)
mars 2008 En cours
(au 19 novembre 2021)
Dominique Lanoiselet   Infirmière libérale
Conseillère générale du canton de Buxy (2008 → 2015)
Conseillère départementale du canton de Givry (2015 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Canton et intercommunalité

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Jusqu'en 2015, cette commune était le chef-lieu du canton de Buxy, comptant 8 490 habitants en 2006, et dont Dominique Lanoiselet a été la dernière conseillère générale de 2008 à 2015. Depuis 2015, Buxy appartient au canton de Givry.

En ce qui concerne l'intercommunalité, le village fait partie de la communauté de communes du Sud de la Côte chalonnaise depuis 2000.

Instances judiciaires et administratives

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Dans le domaine judiciaire, la commune dépend aussi de la commune de Chalon-sur-Saône, qui possède un tribunal d'instance, un tribunal de grande instance, un tribunal de commerce et un conseil des prud'hommes. Pour le deuxième degré de juridiction, elle dépend de la cour d'appel et la cour administrative d'appel de Dijon[55].

Jumelages

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Buxy est jumelée avec Schacht-Audorf (Allemagne)[56].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[58].

En 2021, la commune comptait 2 151 habitants[Note 4], en évolution de 2,38 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6001 6021 7061 6831 7411 9581 9951 9221 896
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9052 0302 1532 0632 0522 0522 0121 9822 013
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9891 8711 8651 6111 5501 5931 5081 4001 368
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 6501 6851 6701 7961 9982 0982 1642 1842 066
2021 - - - - - - - -
2 151--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[59] puis Insee à partir de 2006[60].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramides des âges

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Enseignement

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  • Une école maternelle
  • Deux établissements primaires (l'école primaire de Marouge et l'école privée Sainte-Marthe)
  • Un collège La Varandaine
  • Un établissement spécialisé, institut médico-éducatif pour jeunes en situation de handicap et retard scolaire

Il y a huit médecins généralistes[61], un médecin généraliste à orientation homéopathie[62], trois kinésithérapeutes[63], deux infirmières[64], dentistes et pharmacies[65] sur la commune. Il y a également une maison de retraite (EHPAD du Champ Fleury)[66]. L'hôpital le plus proche se situe à Chalon-sur-Saône.

Une société de gymnastique nommé L'Avenir Gym est créée en 1904[67]. Un club de rugby à XV nommé le RC Buxy, qui évolue en Fédérale 3 pour la saison 2017-2018[68]. Un club de football nommé US Buxy évoluant en 2011-2012, en 1er division de district du pays saônois pour l'équipe première[69]. Un club de basket-ball.

Il y a aussi des clubs de volley-ball (Buxy Volley Team), judo (Judo Club), badminton (Badminton Loisir), tennis (Tennis Club Buxy) et cyclisme (Amicale Cycle de Buxy)[70].

Ainsi que deux terrains en herbe, un pour le rugby et un pour le football ; un gymnase.

La 6e étape du Tour de France 2007, entre Semur-en-Auxois et Bourg-en-Bresse, passe par Buxy[71].

Buxy est le siège d'une paroisse catholique, la Paroisse Saint-Vincent-des-Buis (paroisse regroupant plusieurs communes : Bissey-sous-Cruchaud, Buxy, Cersot, Granges, Jambles, Jully-lès-Buxy, Marcilly-lès-Buxy, Messey-sur-Grosne, Montagny-lès-Buxy, Moroges, Rosey, Saint-Désert, Saint-Germain-lès-Buxy, Sainte-Hélène, Saint-Vallerin, Sassangy et Villeneuve-en-Montagne).

Sécurité

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Il y a une gendarmerie.

Écologie et recyclage

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Cave coopérative de Buxy.
 
Les vignobles de la côte chalonnaise.

Économie

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Une des parts importante de l’économie du village, est représentée par la viticulture. L'agriculture est aussi représentée avec deux agriculteurs[72]. Il y a également une activité sur une carrière de pierre[20].

Buxy compte un supermarché[73], deux supérettes[74] et restaurants, un kebab[75], quatre bars, un salon de thé[76], un hôtel-restaurant[77], cinq chambres d'hôtes[78], trois gîtes[79], deux bureaux de tabac[80], trois salons de coiffure[81], quatre artisans[82], trois garagistes[83], une jardinerie[84], quincaillerie[85]

Vignoble

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Village viticole rentrant dans l’AOC Montagny.

La commune compte deux domaines viticoles, mais s'y trouve surtout une importante cave coopérative regroupant quelque 120 vignerons, appelée cave coopérative de Buxy ou cave des vignerons de Buxy. Celle-ci a été fondée en 1931 et a fusionné en 1970 avec celle de Saint-Gengoux-le-National[86].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Classés ou inscrits aux monuments historiques

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Église.

Autres lieux et monuments

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  • Le Châtel de Buxy (ou vieux Buxy) prit forme entre le XIIe et le XVIe siècle. Entouré de murs flanqués de six tours, il contenait une quarantaine de maisons. Il y avait un temple protestant, plusieurs moulins, deux huileries, une blanchisserie, une magnanerie.
  • Châteaux de Cary Potet, les Raveaux, le Cray, et de la tour Bandin (aujourd'hui sur le territoire communal de Montagny-lès-Buxy).
  • Anciennes tours d'enceinte, dont la tour du Roi et la tour Rouge, qui abrite un caveau et restaurant gastronomique.
  • Vestiges des anciennes fortifications.
  • Ruines de l'ancien château fort des Damas (tour de Tenarre).
  • Tours escalier : tour Perrault (1531), tour Perrussot (vers 1550), tour Saccazand.
  • Anciennes maisons de vignerons.
  • Lavoir et source de Barranges.
  • Une maison de retraite récemment construite, près de la voie verte.
  • Musée du vigneron, dans une cave voûtée.
  • Office du tourisme.
  • Siège social de la société Networkvb, fondée par Vincent Barberot.
  • Une bibliothèque municipale gratuite pour tous, offrant de nombreuses animations.
  • Un mémorial commémoratif des douze compagnons de la Libération originaires de Saône-et-Loire, monument en pierre de Buxy inauguré le 16 octobre 2021[87].

Patrimoine local

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En loisirs et culture, peuvent être citées les associations comme le « Comité des Fêtes », le « Groupe Folklorique », la « Société d'Histoire », la « Bibliothèque », l'« Ensemble Vocal de Buxy », « Buxy en Y»[88][89]

Créée en 1963, la Société d’histoire de Buxy[90], régie par la loi du 1er juillet 1901 sur les associations, s'est fixé comme objectif de mieux faire connaître l'histoire de Buxy et de ses environs au travers de différentes manifestations et activités : visites commentées du bourg, participation aux Journées européennes du patrimoine, visites hebdomadaires en juillet et août (le vendredi) pour des personnes ayant préalablement réservé à l'office de tourisme de Buxy, expositions, publications d'ouvrages et de fascicules, etc.

Espaces verts

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La commune est une ville fleurie récompensée d’une fleur.

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Abbé Chaumont, Histoire de Buxy.
  • Albert Rebouillat, Histoire de la ville de Buxy, d'après les archives publiques et particulières, Mâcon, Protat frères, 1914.
  • André Bailly, Histoire de Buxy, 5 volumes, Buxy, Société buxynoise de recherches historiques et scientifiques, 1977-1980.
  • Buxy d'hier à aujourd'hui, Société d'histoire de Buxy.
  • Bernard Malvault, Buxy et ses environs pendant la guerre, période 1939-1944, Société d'histoire de Buxy, 2013 (ISBN 978-2-7466-6407-4).
  • En Bourgogne, no 21, février-mars 2012, 100 pages, (ISSN 1969-265X).
  • La Saône-et-Loire. Les 573 communes, éditions Delattre, Granvilliers, 2006, 255 p. (ISBN 2-915907-23-4).

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Lex Jacquelot, Le Langage populaire de Mâcon et des environs, Slatkine Reprints, Genève, 1978, p. 54
  2. habitants.fr
  3. Terroirs et vins de France. Itinéraires œnologiques et géologiques, Éditions BRGM, Bourgogne (La côte chalonnaise), p. 84.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Buxy et Champforgeuil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Buxy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Buxy ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c [PDF]Site de la mairie de Buxy, Histoire (Buxy dans le temps), consulté le 9 mars 2012.
  18. En Bourgogne no 21, février-mars 2012, Buxy, un parfum d'éternité au sud de la Côte chalonnaise (Une épopée de dizaines de milliers d'années), p. 40.
  19. a et b En Bourgogne no 21, février-mars 2012, Buxy, un parfum d'éternité au sud de la Côte chalonnaise (Une épopée de dizaines de milliers d'années), p. 41.
  20. a b c d et e La Saône-et-Loire ; les 573 communes, Buxy, p. 38.
  21. En Bourgogne no 21, février-mars 2012, Buxy, un parfum d'éternité au sud de la Côte chalonnaise (une épopée de dizaines de milliers d'années), p. 42.
  22. a b c et d En Bourgogne, no 21, février-mars 2012, Buxy, un parfum d'éternité au sud de la Côte chalonnaise (Une épopée de dizaines de milliers d'années), p. 43.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Buxy », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  24. Registres d'état civil de Buxy.
  25. « Vigne, prévôté, commerce : Buxy », par A. Bailly, revue Images de Saône-et-Loire n° 4 d'avril 1970, p. 17 à 19.
  26. « Le télégraphe Chappe en Saône-et-Loire (1799-1853) », article de Pierre Laffont paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 84 (hiver 1990-1991), pages 17 à 24.
  27. Archive départementale
  28. Par ailleurs président de la Confédération générale des associations viticoles de Bourgogne (fondée en 1907).
  29. Site du BIVB : Montagny, consulté le 19 mars 2012.
  30. Sous la bonne étoile, Typo, 20 avril 2009
  31. [1]
  32. [2]
  33. En Bourgogne, no 21, février-mars 2012, Buxy, un parfum d'éternité au sud de la Côte chalonnaise (Quatre villages pour une attachante appellation), p. 48.
  34. La Revue du vin de France n°482S : Le Millésime 2003 en Bourgogne, p. 109.
  35. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 mars 2010, Canton de Buxy, p. 8.
  36. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 15 mars 2010, Canton de Buxy, p. 9.
  37. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 8 juin 2009, Canton de Buxy, p. 6.
  38. a b et c Site du Ministère de l'Intérieur, page sur les résultats des élections cantonales 2008 sur la commune de Buxy, consulté le 12 mars 2012.
  39. a et b Site du Ministère de l'Intérieur, page sur les résultats des élections cantonales 2008 sur le canton de Buxy, consulté le 12 mars 2012.
  40. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 11 juin 2007, Canton de Buxy, p. 17.
  41. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 18 juin 2007, Canton de Buxy, p. 20.
  42. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 7 mai 2007, Canton de Buxy, p. 17.
  43. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 23 avril 2007, Canton de Buxy, p. 20.
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  46. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 mars 2004, Canton de Buxy, p. 6.
  47. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 10 juin 2002, Canton de Buxy, p. 16.
  48. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 17 juin 2002, Canton de Buxy, p. 15.
  49. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 avril 2002, Canton de Buxy, p. 15.
  50. a b et c Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 12 mars 2001, Canton de Buxy, p. 2.
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  52. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 26 mai 1997, Canton de Buxy, p. 23.
  53. Article L. 2121-2 du Code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
  54. Cartulaire de l'abbaye de Saint-Martin d'Autun, charte 139.
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  56. Site de la mairie de Buxy, page sur le jumelage avec schacht-audorf, consulté le 12 mars 2012.
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  60. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  75. Site de l'Office du Tourisme de Buxy, page sur les restaurants, consulté le 14 mars 2012.
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  79. Site de l'Office du Tourisme de Buxy, page sur les gîtes à Buxy, consulté le 14 mars 2012.
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  85. Site de l'Office du Tourisme de Buxy, page sur le bricolage, consulté le 14 mars 2012.
  86. Jean-François Bazin, Le vin de Bourgogne, Paris, Dunod, , 2e éd., 263 p. (ISBN 978-2-10-072264-8), p. 173.
  87. Monument dont l'édification a été coordonnée par l'Association nationale des anciens combattants et amis de la Résistance (ANACR), en lien avec différents partenaires, parmi lesquels : le Centre de documentation « Résistance et déportation » de Saône-et-Loire, le conseil départemental de Saône-et-Loire, les Archives départementales de Saône-et-Loire, les communes de naissance des Compagnons et les comités locaux de l'ANACR, ainsi que le ministère des Armées (direction des Patrimoines, de la Mémoire et des Archives) et la société Rocamat dans le cadre d'un mécénat d'entreprise (coût : 16000 euros environ). Source : Michel Debost et Simone Mariotte, « Un mémorial à Buxy pour les compagnons de la Libération originaires de Saône-et-Loire », revue Images de Saône-et-Loire, no 211, , pages 2 à 4.
  88. « Buxy en Y | Organisation d'événements culturels », sur Buxy en Y (consulté le ).
  89. Site de la mairie de Buxy, page sur les loisirs et cultures (Activités), consulté le 13 mars 2012.
  90. Association devenue en 2012 la Société de recherche historique et archéologique de Buxy et de ses environs (ou SHAB). Source : « La société d'histoire change de nom », article de Henri Févrat (CLP) paru dans Le Journal de Saône-et-Loire du 14 avril 2012.
  91. Monument dont l'édification a été coordonnée par l'Association nationale des anciens combattants et amis de la Résistance (ANACR), en lien avec différents partenaires, parmi lesquels : le Centre de documentation « Résistance et déportation » de Saône-et-Loire, le conseil départemental de Saône-et-Loire, les Archives départementales de Saône-et-Loire, les communes de naissance des Compagnons et les comités locaux de l'ANACR, ainsi que le ministère des Armées (direction des Patrimoines, de la Mémoire et des Archives) et la société Rocamat dans le cadre d'un mécénat d'entreprise (coût : 16 000 euros environ). Source : Michel Debost et Simone Mariotte, « Un mémorial à Buxy pour les compagnons de la Libération originaires de Saône-et-Loire », revue Images de Saône-et-Loire, no 211, , pages 2 à 4.
  92. Un magicien du métal : Robert Rigot, créateur d'un nouveau bestiaire, revue « Images de Saône-et-Loire » no 21 (avril 1974), p. 22-23.