Berrogain-Laruns
Berrogain-Laruns [bɛʁɔɡɛ̃ laʁœ̃s] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Berrogain-Laruns | |||||
L’église de Berrogain. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays basque | ||||
Maire Mandat |
Thierry Perrot 2020-2026 |
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Code postal | 64130 | ||||
Code commune | 64115 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Berrogaintar | ||||
Population municipale |
160 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 60 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 14′ 45″ nord, 0° 51′ 48″ ouest | ||||
Altitude | Min. 117 m Max. 290 m |
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Superficie | 2,68 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Mauléon-Licharre (banlieue) |
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Aire d'attraction | Mauléon-Licharre (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montagne Basque | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Berrogain-Laruns se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 55 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 30 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 4 km de Mauléon-Licharre[4], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Viodos-Abense-de-Bas (1,4 km), Chéraute (1,5 km), Moncayolle-Larrory-Mendibieu (2,7 km), Espès-Undurein (2,8 km), Mauléon-Licharre (2,9 km), Garindein (5,2 km), Arrast-Larrebieu (5,5 km), Ainharp (5,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Berrogain-Laruns fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[8],[9]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[10]. Elle se divise en Arbaille, Haute-Soule et Basse-Soule, dont fait partie la commune.
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Chéraute, Moncayolle-Larrory-Mendibieu, Viodos-Abense-de-Bas et Arrast-Larrebieu.
Hydrographie
modifierLa commune est drainée par le Saison et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[12],[Carte 1].
Le Saison, d'une longueur totale de 72,2 km, prend sa source dans la commune de Larrau et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Autevielle-Saint-Martin-Bideren, après avoir traversé 31 communes[13].
Climat
modifierHistoriquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 359 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast à 16 km à vol d'oiseau[17], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 219,1 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].
Milieux naturels et biodiversité
modifierRéseau Natura 2000
modifierLe réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le Saison (cours d'eau) »[22], d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[23],[Carte 2].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 5] est recensée sur la commune[24],[Carte 3] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[25].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Berrogain-Laruns est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mauléon-Licharre[Note 6], une agglomération intra-départementale regroupant huit communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 7],[27],[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre, dont elle est une commune de la couronne[Note 8],[1]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[28],[29].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,2 %), zones agricoles hétérogènes (24,1 %), forêts (23,3 %), terres arables (1,7 %), zones urbanisées (0,7 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
modifierTrois quartiers composent la commune de Berrogain-Laruns[31] :
Berrogain
modifier- Berrogaine
Laruns
modifier- Larüntze
- Zibiri
Voies de communication et transports
modifierLa commune est desservie par la route départementale 2.
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Berrogain-Laruns est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Saison. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[34],[32].
Berrogain-Laruns est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[35]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[36],[37].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9],[39].
Toponymie
modifierAttestations anciennes
modifierLe toponyme Berrogain apparaît sous les formes Berroganh (1466[40], contrats d'Ohix[41]), Berroganhe (1508[40], titres de Bayonne[42]), berrogayn et berroguainh (1690[43].
Berrogaine provient du basque berro, broussaille, et gaine, hauteur. Jean-Baptiste Orpustan[43] confirme l’étymologie « haut des broussailles »
Le toponyme Laruns apparaît sous les graphies laruns (1096[43]), leruntz (1303[43]), Laruntz (1383[40], contrats de Luntz[44] et 1396[43]), Leruntz (1386[40], notaires de Navarrenx[45]) et laruns (1690[43]).
Laruns pourrait provenir du basque larre, lande. Jean-Baptitste Orpustan propose, quant à lui, un composé plus ancien *laharr-un-tz, « lieu de ronceraie »[43].
Autres toponymes
modifierGoynex est une ferme de la commune, mentionnée en 1520[40] dans la coutume de Soule[46]) et 1863, dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.
Graphie basque
modifierHistoire
modifierPaul Raymond[40] note que « la deguerie[48] de Laruns, dépendance de la Barhoue, formait un des sept vics de la Soule ».
Politique et administration
modifierIntercommunalité
modifierBerrogain-Laruns appartient à six structures intercommunales[50] :
- la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
- le SIGOM ;
- le syndicat AEP du Pays de Soule ;
- le syndicat d'assainissement du Pays de Soule ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.
Population et société
modifierDémographie
modifierLe gentilé est Berrogaintar[43],[47].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[52].
En 2021, la commune comptait 160 habitants[Note 10], en évolution de −6,98 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : 3,43 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Économie
modifierL'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (maïs et élevage). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
modifierPatrimoine civil
modifierUn gaztelu zahar (place forte protohistorique) se dresse à 279 m, au lieu-dit Larleta.
Patrimoine religieux
modifierLa commune compte deux chapelles, l'une à Berrogain et l'autre à Laruns. L'une d'entre elles possède un clocher trinitaire.
Événements sportifs
modifierLa commune se situe sur le trajet de la 16e étape du Tour de France 2007 qui eut lieu le 25 juillet. Le parcours de 218 kilomètres reliait Orthez à Gourette - col d'Aubisque.
Équipements
modifierSur la commune, il existe le lycée agricole rural privé de Soule - LARPS - avec des classes allant de la 4ème à la terminale: SAPAT, CGEA, TCVA et CGECF. Un ensemble composé de 350 élèves avec deux internats sur le site et deux autres à Menditte. Pour plus de renseignements sur les filières de l'établissement, cliquez sur le ce lien: https://larps-mauleon.fr/[55]
Personnalités liées à la commune
modifierVoir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Mauléon-Licharre comprend une ville-centre et sept communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Berrogain-Laruns » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Berrogain-Laruns », sur geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Berrogain-Laruns », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Berrogain-Laruns ».
- Stephan Georg, « Distance entre Berrogain-Laruns et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Berrogain-Laruns et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Berrogain-Laruns et Mauléon-Licharre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Berrogain-Laruns », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale de Berrogain-Laruns », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Saison ».
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Berrogain-Laruns et Aïcirits-Camou-Suhast », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Berrogain-Laruns », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200790 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Berrogain-Laruns », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- [1]
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- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Titres de Bayonne - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques et de la mairie de Bayonne
- Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux (monographie), Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », [éd. revue et corrigée] (1re éd. ), 244 p., 21 cm (ISBN 2867813964 et 9782867813962, OCLC 72757865, BNF 40190262, présentation en ligne).
- Contrats retenus par Luntz, notaire de Béarn - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Coutume de Soule de 1520, imprimée à Pau en 1760
- Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
- La deguerie ou degairie rassemblait plusieurs paroisses. Elles se réunissaient en assemblée générale ou Igourbe qui désignait chaque année par tirage au sort un degan. Philippe Veyrin, Les Basques, page 156 - Arthaud, 20 décembre 1975 (ISBN 2700300386).
- « Annuaire des Mairies des Pyrénées-Atlantiques », sur Annuaire des Mairies et Institutions de France, 2006-2007 (consulté le ).
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « LARPS MAULEON Lycée Agricole Privé de Soule - Lycée Agricole et Rural Privé de Soule », sur larps-mauleon.fr (consulté le ).