Belle-et-Houllefort
Belle-et-Houllefort est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Bellois.
Belle-et-Houllefort | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Boulogne-sur-Mer | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Desvres-Samer | ||||
Maire Mandat |
Michel Dufay 2020-2026 |
||||
Code postal | 62142 | ||||
Code commune | 62105 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bellois | ||||
Population municipale |
544 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 60 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 44′ 39″ nord, 1° 45′ 34″ est | ||||
Altitude | Min. 26 m Max. 84 m |
||||
Superficie | 9,14 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Boulogne-sur-Mer (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Desvres | ||||
Législatives | 6e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
modifier |
La commune fait partie de la communauté de communes de Desvres - Samer qui regroupe 31 communes et compte 23 221 habitants en 2021.
Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune se situe à 14 km au nord-ouest de Desvres (chef-lieu de canton) et à 13 km à l'est de Boulogne-sur-Mer (chef-lieu d'arrondissement et aire d'attraction)[1],[2].
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
Géologie et relief
modifierLa superficie de la commune est de 9,14 km2 ; son altitude varie de 26 à 84 mètres[3].
Hydrographie
modifierLe territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[4].
La commune est drainée par cinq cours d'eau :
- le Wimereux, cours d'eau naturel non navigable de 22 km, qui prend sa source dans la commune de Colembert et se jette dans la Manche à Wimereux[5] ;
- le ruisseau de Bellebrune, cours d'eau naturel non navigable de 2 km, qui prend sa source dans la commune de Crémarest et conflue dans le ruisseau la Prêle au niveau de la commune de Belle-et-Houllefort[6] ;
- le ruisseau la Prêle, cours d'eau naturel non navigable de 2 km, qui prend sa source dans la commune de Bellebrune et se jette dans la Vignette au niveau de la commune de Belle-et-Houllefort[7] ;
- la Vignette, cours d'eau naturel non navigable de 4 km, qui prend sa source dans la commune de Baincthun et se jette dans le Wimereux au niveau de la commune de Belle-et-Houllefort[8] ;
- le ruisseau de Grigny, cours d'eau naturel de 8 km, qui se jette dans le Wimereux au niveau de la commune et qui prend sa source dans la commune de Boursin[9].
-
La Vignette.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 876 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boulogne-sur-Mer à 10 km à vol d'oiseau[12], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,5 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Paysages
modifierLa commune s'inscrit dans le « paysage boulonnais » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[16].
Ce paysage qui concerne 66 communes, se délimite : au Nord, par les paysages des coteaux calaisiens et du Pays de Licques, à l’Est, par le paysage du Haut pays d’Artois, et au Sud, par les paysages Montreuillois.
Le « paysage boulonnais », constitué d'une boutonnière bordée d’une cuesta définissant un pays d’enclosure, est essentiellement un paysage bocager composé de 47 % de son sol en herbe ou en forêt et de 31 % en herbage, avec, dans le sud et l’est, trois grandes forêts, celle de Boulogne, d’Hardelot et de Desvres et, au nord, le bassin de carrière avec l'extraction de la pierre de Marquise depuis le Moyen Âge et de la pierre marbrière dont l'extraction s'est développée au XIXe siècle.
La boutonnière est formée de trois ensembles écopaysagers : le plateau calcaire d’Artois qui forme le haut Boulonnais, la boutonnière qui forme la cuvette du bas Boulonnais et la cuesta formée d’escarpements calcaires. Dans ce paysage, on distingue trois entités :
- les vastes champs ouverts du Haut Boulonnais ;
- le bocage humide dans le Bas Boulonnais ;
- la couronne de la cuesta avec son dénivelé important et son caractère boisé[17].
Milieux naturels et biodiversité
modifierEspace protégé et géré
modifierLa protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[18].
le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d’une superficie de 132 499 ha réparties sur 154 communes, géré par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[19].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 3] :
- la forêt domaniale de Boulogne-sur-Mer et ses lisières. La forêt domaniale de Boulogne-sur-Mer s’étend entre la RN 42 et la RN 1, en arrière de l’agglomération de Boulogne-sur-Mer. Elle appartient au vaste complexe bocager et forestier de la Liane et du bas-Boulonnais[20] ;
- le bocage et bois de Bellebrune. Le site est constitué d’un ensemble forestier et d’un complexe bocager établis l’un et l’autre sur les argiles et marnes de l’Oxfordien. La géomorphologie est assez plane malgré quelques vallonnements[21] ;
- la vallée du Wimereux entre Wimille et Belle-et-Houllefort. Cette partie de la vallée du Wimereux, située au nord de la RN 42, en marge de la cuvette du bas Boulonnais, marque les limites entre les terrains jurassiques et le bassin calcaire de Marquise-Rinxent[22].
et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : le complexe bocager du Bas-Boulonnais et de la Liane. Le complexe bocager du bas-Boulonnais et de la Liane s’étend entre Saint-Martin-Boulogne et Saint-Léonard à l’ouest et Quesques et Lottinghen à l’est. Il correspond à la cuvette herbagère du bas-Boulonnais[23].
-
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Belle-et-Houllefort est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24]. Elle est située hors unité urbaine[25]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[25]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[26],[27].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (97,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,6 %), prairies (27 %), zones agricoles hétérogènes (5,7 %), zones urbanisées (3,5 %), forêts (2,1 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
modifierVoies de communication
modifierLa commune est desservie par les routes départementales D 233, D 238, D 251 et D 252 et la commune est traversée, au sud, par N 42 qui relie Boulogne-sur-Mer et Saint-Omer[29].
Transport ferroviaire
modifierLa commune se trouve à 14 km de la gare de Boulogne-Ville, située sur les lignes de Longueau à Boulogne-Ville et de Boulogne-Ville à Calais-Maritime. C'est une gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des trains des réseaux TGV inOui, TERGV et TER Hauts-de-France[30].
La commune disposait d'une gare, du chemin de fer Boulogne - Bonningues, située sur l'ancienne ligne de chemin de fer secondaire qui reliait Boulogne-sur-Mer à Bonningues-lès-Ardres entre 1900 et 1935. Construit à voie métrique, elle était exploitée par la Compagnie des Chemins de fer économiques du Nord (CEN).
Risques naturels et technologiques
modifierRisque inondation
modifierLa commune est reconnue en état de catastrophe naturelle à la suite des inondations et coulées de boue du 1er au 3 novembre 2012[31].
À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[32].
Toponymie
modifierBelle
modifierLe nom est attesté sous les formes Bello (1183), Belle (1259), Bellus vel Beallocus (XIIIe siècle), Bele (1371), Besle (1550)[33], Belle et Houttefort (1793), Belle et Houlefort et Belle-et-Houllefort depuis 1801[3].
Ernest Nègre avance l'hypothèse du germanique bala « blanc, clair », qui donne « (eau) blanche, claire »[34].
Houllefort
modifierLe nom est attesté sous les formes Holeford (1184), Holesfort (1208), Hollefort (1224), Holfort (1334), Houlefort (XVe siècle)[35].
D'après Ernest Nègre, Houllefort tiendrait son nom de l'adjectif germanique hohl « creux » furt « gué » : le « gué creux »[34]. Une autre hypothèse avance un hydronyme plus ancien Hunulo furt donnant le « passage sur le ruisseau ».
Belle et Houllefort
modifierLa commune de Belle absorbe celle de Houllefort entre 1790 et 1794[3].
Le nom de la commune est attesté sous les formes Belle et Houttefort (1793), puis Belle et Houlefort et Belle-et-Houllefort depuis 1801[3].
Histoire
modifierBelle était autrefois l'une des quatre châtellenies du comté de Boulogne[36].
Au XIVe siècle et au XVe siècle la seigneurie de Houllefort appartenait à une branche cadette de la maison de Bournonville[37].
Le 7 septembre 1579, la ville d'Hénin-Liétard est érigée en comté, avec adjonction de la baillie et fief de Gouy-Servain, au bénéfice d'Oudard de Bournonville, chevalier, baron de Barlin et Houllefort, seigneur de Capres, Divion, Ranchicourt, Tournes, Bandas, du Maisnil, gentilhomme de la bouche du roi (maître d'hôtel du roi), chef d'une bande d'hommes d'armes, gouverneur et capitaine des ville et cité d'Arras, capitaine d'une compagnie de chevau-légers[38].
En 1600, les fiefs de Houllefort et de Bournonville sont érigés en duché, le duché de Bournonville, en faveur d'Alexandre Ier de Bournonville[37].
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement de Boulogne-sur-Mer du département du Pas-de-Calais depuis 1801[3].
Commune et intercommunalités
modifierLa commune est membre de la communauté de communes de Desvres - Samer.
Circonscriptions administratives
modifierLa commune était rattachée au canton de Henneveux en 1793 et est rattachée au canton de Desvres depuis 1801[3].
Circonscriptions électorales
modifierPour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Élections municipales et communautaires
modifierListe des maires
modifier-
La mairie actuelle.
-
L'ancienne mairie-école.
Équipements et services publics
modifierJustice, sécurité, secours et défense
modifierLa commune dépend du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, , de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[47].
Population et société
modifierDémographie
modifierLes habitants de la commune sont appelés les Bellois[48].
Évolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].
En 2021, la commune comptait 544 habitants[Note 6], en évolution de −2,33 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Pyramide des âges
modifierEn 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,8 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 273 hommes pour 291 femmes, soit un taux de 51,6 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'église Saint-Omer de Belle ;
- L'église Saint-Michel d'Houllefort.
- Le monument aux morts[54].
- Le calvaire.
-
Le calvaire.
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique
modifierBlason | Parti : au 1er à un dextrochère vêtu d’argent, mouvant du trait de partition, tenant une rose tigée et feuillée du même, surmonté de deux dauphins adossés du même ; au 2d de sable à un lion d'argent à la queue fourchée et passée en sautoir[55]. |
|
---|---|---|
Détails | Au premier du parti, les dauphins appartiennent à la famille Duquesne de Clocheville, châtelains de Belle. Au second, figurent les armes de la famille de Bournonville, seigneurs d'Houllefort, dont le lion d'argent est resté célèbre pour sa queue fourchée. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais, [lire en ligne]
- La commune sur Remonter le temps, sur le site de l’IGN, [lire en ligne][Note 7]
- « Belle-et-Houllefort » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Distance entre la commune et Desvres », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Distance entre la commune et Boulogne-sur-Mer », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Wimereux (E5200570 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau de Bellebrune (E5200640 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau la Prêle (E5200610 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Vignette (E5200600 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau de Grigny (E5200650 ) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Belle-et-Houllefort et Boulogne-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Boulogne-Sem » (commune de Boulogne-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Boulogne-Sem » (commune de Boulogne-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages boulonnais », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007013 - forêt domaniale de Boulogne-sur-Mer et ses lisières », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310030067 - Bocage et bois de Bellebrune », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013294 - Vallée du Wimereux entre Wimille et Belle-et-Houllefort », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310007276 - Le complexe bocager du Bas-Boulonnais et de la Liane », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Belle-et-Houllefort ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Distance entre deux communes », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- « Intempéries de fin octobre : 30 premières communes en état de catastrophe naturelle », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264, , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 41.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 728-729.
- Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 206.
- Paul Roger, Archives historiques et ecclésiastiques de la Picardie et de l'Artois, Amiens, Duval et Herment, (lire en ligne), p. 327.
- Bertrand Schnerb, Enguerrand de Bournonville et les siens. Un lignage noble du Boulonnais aux XIVe et XVe siècles, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, coll. « Cultures et civilisations médiévales » (no 14), , 384 p. (ISBN 2-84050-074-4)
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 160, lire en ligne
- « Belle-et-Houllefort : le maire Jules Humières fait le bilan de ses mandats et ne se représentera pas : La carrière municipale de Jules Humières a débuté pratiquement avec son installation au village à l’heure de la retraite.Cet ancien artisan s’est immédiatement mis à l’œuvre pour rendre service à sa commune d’adoption. C’est en 1995 qu’il est entré à l’assemblée communale. Ses qualités ont été vite remarquées de la population et en 2001 il a pris les commandes de la mairie. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Qui sommes-nous ? - SYMSAGEB », sur SYMSAGEB (consulté le ).
- « Belle-et-Houllefort : Michel Dufay prend la succession de Jules Humière : Implanté depuis plusieurs mandats et auteur de nombreuses transformations de la commune, Jules Humière avait annoncé dès le milieu de l’année 2013 qu’il n’avait pas l’intention de solliciter un nouveau mandat. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Joël Rochoy (CLP), « Belle-et-Houllefort : Michel Dufay pense à l’entretien de la voirie et aux économies d’énergie : Retraité de l’enseignement, Michel Dufay est âgé de 65 ans. Conseiller municipal entre 1989 et 2001, il a décidé, après le départ de Jules Humières, de prendre la tête de liste pour les élections du printemps dernier. Il dirige la commune de 548 habitants depuis fin mars. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21599233
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Belle-et-Houllefort (62105) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
- « 62105 Belle-et-Houllefort (Pas-de-Calais) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).