André Breton rend visite à Pierre Alechinsky : « Ce que je goûte le plus dans l'art est ce que vous détenez, ce pouvoir d'enlacement des courbes, ce rythme de toute évidence organique, cet heureux abandon de femme que vous obtenez des couleurs, de la lumière. »[5]
Rétrospective à Knokke-le-Zoute (Belgique) de l'œuvre graphique de E. L. T. Mesens[6].
La Pierre de la folie : « Un homme habillé en évêque, un fouet à la main, me dit d'entrer dans l'église. Il me sembla que le porche était formé par les deux cuisses d'une géante agenouillée. »[8]
↑Louis Malle a revendiqué la filiation avec le poète Dada à plusieurs reprises : « Dans un sens je cherchais à me cacher derrière Drieu, derrière Rigaut », propos recueillis par Philipp French, Conversations avec Louis Malle, Denoël, 1993. « Le seul problème du film, c'était celui de l'interprétation puisqu'il fallait quelqu'un qui puisse correspondre au modèle choisi par Drieu : vous savez que c'était Jacques Rigaut » propos cités dans les Cahiers du cinéma no 146, août 1963, p. 33.
↑Xavier Canonne, Le Surréalisme en Belgique. 1924-2000, éditions Actes Sud, Arles, 2007, p. 2.
↑Adam Biro et René Passeron, Dictionnaire général du surréalisme et de ses environs, Office du livre/Presses universitaires de France, (ISBN2-13-037280-5), p. 57.
↑49 × 39 cm. Collection particulière. Reproduction dans (fr en) Alix Agret (dir.) et Dominique Païni (dir.), Surréalisme au féminin ? (catalogue de l'exposition présentée du 31 mars au 10 septembre 2023 au Musée de Montmartre-Jardins Renoir), In fine/Musée de Montmartre, (ISBN978-2-38203-116-2), p. 141.
↑Tableau de 1942 ? Selon Alexandrian, p. 211 : « [Clovis Trouille] composait des « tableaux anti-tout », sur lesquels il revenait amoureusement d'année en année pour les parfaire et qu'il refusait de vendre. » Reproduction dans Artension no 35, mai 2007, p. 16.
↑40 × 30 × 27 cm. Galerie Berthet-Aittouarès, Paris. Reproduction dans Agret & Païni, p. 149.