[CULTURE] La conseillère d'Etat Nuria Gorrite a présenté ce vendredi les lignes directrices de la politique culturelle vaudoise, sous le signe de l’ouverture et de la consolidation. 🎯 L’enjeu pour les années 2024-2027: développer une politique publique qui consolide l’offre culturelle sur l’ensemble du territoire vaudois et à destination de tous les publics, tout en soutenant l’entier de la chaîne de création professionnelle, souvent fragilisée et pourtant source de richesse pour le canton. Ce renforcement voulu de l’écosystème culturel — notamment favorisé par les partenariats public-privé — tiendra compte des évolutions artistiques et sociétales, actualisant ainsi les conditions d’octroi de soutien aux musiques actuelles et populaires, aux arts numériques, à l'improvisation et à l’humour. 🔗 https://lnkd.in/edGGrgb8 Nuria Gorrite
Post de Etat de Vaud
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La Commission sur la culture, le patrimoine et les sports souhaite consulter la population montréalaise sur le projet de Politique de développement culturel de Montréal 2025-2030. Exprimant une vision commune, cette Politique de développement culturel mettra en lumière l’importance de la culture, des arts et du patrimoine pour Montréal. La Politique de développement culturel est un levier de développement territorial qui aura des retombées sur la qualité de vie des citoyennes et des citoyens.
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Une nouvelle dimension de la politique culturelle ? Reconnus depuis 10 ans dans la loi, les "droits culturels" représentent-ils un tournant de l'action culturelle française ? J'ai enquêté sur le sens de cette expression et ses déclinaisons pratiques possibles. Voici mon rapport https://lnkd.in/egZF-CG6
A la recherche des « droits culturels »
tnova.fr
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Bibliothécaire - Chargé des projets numériques et de l'évaluation - Pôle des missions transversales - Service de lecture publique - Département du Morbihan
Droits culturels : au-delà du slogan, les contradictions des politiques culturelles Le rapport de Terra Nova sur les « droits culturels » met clairement en évidence tous les ajustements contextuels opérés au fil du temps dans le domaine des politiques culturelles mais aussi les discordances, voire les contradictions, accompagnant plus largement les politiques publiques sur maints sujets de société, de même, en toile de fond, que le flot de propos incantatoires qu’elles entretiennent. https://lnkd.in/e8Y4jKry
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En matière culturelle dans les quartiers difficiles, on entend tout et son contraire, on voit des actions magnifiques et des ratés incroyables. On parle souvent de la résistance au changement des habitants, en oubliant que de nombreux professionnels de la culture font leur programmation en oubliant ces habitants. L'excuse est toujours la même, il faut "élever" le niveau culturel des habitants des quartiers difficiles, il faut les "mener" à l'excellence... Il faut donc éloigner les habitants de ces quartiers de leurs acquis culturels, afin de leur faire découvrir la grande culture française, à travers, les musées, l'opéra, les grands classiques... Comme si les habitants des quartiers difficiles, n'avaient pas un bagage culturel au départ, comme si Beethoven et les tableaux accrochés au Louvre étaient la seule et unique façon d'accompagner le public vers la culture... Comme si... Et saison après saison, toutes les villes de France reproduisent le même schéma et cela, depuis la nuit des temps. Et on s'étonne que rien ne change ? Alors quid de la participation des habitants dans la vie culturelle de leur cité ? Comment donner aux habitants le pouvoir d'agir sur leur territoire en décidant de tout dans un bureau entre professionnels de la culture ? Le pouvoir d'agir, empowerment, en anglais, désigne à la fois : un processus par lequel les individus, les groupes, les organisations et les communautés acquièrent la capacité d'exercer un pouvoir. Mais peut-on vraiment laisser des habitants décider seuls de la programmation culturelle d'une ville ? Exercer donc un pouvoir ? Pas évident et on peut alors comprendre ces programmations culturelles qui, de Montauban à Bourges, en passant pas Lyon et Le Havre, se ressemblent toutes. Ces programmations qui semblent avoir définitivement oublié l'avis et la concertation avec les habitants. La coopération est remplacée par l'orientation ou l'obligation. On ne prend aucun risque au grand bonheur des tourneurs et des artistes parisiens qui viennent cachetonner en banlieue, sans rencontrer les habitants. Panem et circenses, « du pain et des jeux du cirque ». Les empereurs Romains avaient compris qu'il fallait se préoccuper en priorité de l'estomac et des loisirs de la plèbe, à base de distribution de pain et d'organisation de jeux du cirque dans le but de s'attirer la bienveillance du peuple et que ces derniers ne se soucient pas d'enjeux plus exigeants, ni du destin collectif. #empowerment #participationdeshabitants #culture #pouvoirdagir
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