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Activités de placement pour compte propre

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À propos

MBO select and invest in talented women and men who want to build future-proof companies. We surround them with support, expertise and know-how and help them enhance their strategic differentiation and strengthen their organization.

Site web
http://www.mbo.plus
Secteur
Activités de placement pour compte propre
Taille de l’entreprise
11-50 employés
Siège social
Paris, Ile-de-France
Type
Société civile/Société commerciale/Autres types de sociétés
Fondée en
2002
Domaines
Private Equity, MBO, Growth capital, Build-up, Investing for growth et Supporting entrepreneurs

Lieux

Employés chez MBO

Nouvelles

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    MBO lève son nouveau fonds de continuation pour 190M€. Retrouvez les infos ici 😀 👇

    MBO Continuation c’est fait. Pour 190M€. Un fonds structuré autour de deux entreprises exceptionnelles, issues de notre fonds MBO Capital 4 : osmaïa et GROUPE LT. La première est numéro 2 de l’aménagement paysager et de la gestion des espaces verts en France, pour un chiffre d'affaires de 180 millions d'euros en 2023. La seconde est le principal fournisseur français de services de sécurité, de signalisation et de solutions de confort sur les chantiers d'infrastructure, pour un chiffre d’affaires de 50 millions d'euros, également en 2023. Deux entreprises au potentiel à venir encore très important, qui s’exprimera à travers une stratégie d’acquisitions internationales, dans des secteurs encore très fragmentés. Notre objectif ? En faire des leaders européens. La levée de MBO Continuation s’est appuyé sur quatre leviers : 1/ Une conviction partagée avec les dirigeants d’Osmaïa et LT : MBO reste le bon actionnaire pour les accompagner dans les prochaines phases de développement, en combinant performance économique et impact social et environnemental positif. 2/ Un objectif clair : fournir aux deux sociétés du temps, des capitaux et des ressources actionnariales supplémentaires pour les exécuter – 50m€ de dry powder levés grâce à ce véhicule. 3/ Le souhait d’offrir à nos investisseurs du fonds MBO Capital 4 une option de liquidité attrayante ou la possibilité de continuer l’aventure à nos côtés autour de ces deux pépites. 4/ Une volonté de nous ouvrir toujours davantage à d’autres investisseurs. Eurazeo et Montana Capital Partners ont agi en tant qu'investisseurs principaux aux côtés d'une douzaine d’autres : de nouveaux investisseurs européens et nord-américains qui ont participé à une syndication largement sursouscrite. Un court chemin, mais extrêmement intense, que j’ai adoré parcourir avec les équipes de MBO , notre conseil Amala Partners, nos investisseurs et les managers d’Osmaïa et LT, eric BOUICHET et Eric Van Acker. L’aventure débute et nous serons au rendez-vous.

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    A cinq ans il dessinait des plans de machines mécaniques.    A 20 ans, il rentrait à Polytechnique.    A la fin de ses études, il a choisi de transformer le monde par la technologie et l’entrepreneuriat, abandonnant la voie toute tracée du corps des mines et des grands Ministères.    Un choix qu’il n’a jamais regretté. Aujourd’hui, Thibaud VIALA dirige un groupe leader dans la transformation digitale des entreprises : Klee Group.    Son engagement ? Mettre les innovations technologiques au service des besoins de ses clients publics et privés. Ceci à l’heure où chaque entreprise développe un double numérique auquel elle s’adosse pour se développer.    L’IA, le cloud, la sécurité… Des enjeux rabâchés quotidiennement qui nécessitent pourtant des adaptations très spécifiques dans chaque entreprise : le travail des équipes de Klee, c’est avant tout du cousu-main et une très forte proximité avec le client.    Une marque de fabrique en même temps qu’un état d’esprit, forgés notamment au travers de la Klee Academy, une plateforme de e-learning qui permet à chaque collaborateur d’aguerrir ses compétences au quotidien. Mais aussi d'une politique de partage de la valeur qui favorise la pérennité des équipes et, à travers elle, le partage et la transmission de l’expertise.    « Klee c’est un projet sans cesse renouvelé mais qui reste le même » comme il aime à le définir avec ses associés de toujours, Samir KHANFIR et Yves Weisselberger. Un projet qui repose avant tout sur des fondamentaux solides : 1/Des expertises métiers et technologiques pointues. 2/ Un modèle opérationnel centré sur la satisfaction client, l’engagement et l’excellence dans l’exécution. 3/ Une culture d’entreprise affirmée, favorisant l’épanouissement et le développement des talents. Le groupe Klee a 37 ans cette année. Et quand on demande à Thibaud Viala comment il envisage l’avenir, il répond sans excès de confiance que l’innovation technologique accélère sans cesse et avec elle les besoins des entreprises. Ce qui offre à Klee des perspectives enthousiasmantes en France comme en Europe. Un enthousiasme que nous partageons évidemment chez @MBO  😉.

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    Hier, mardi 16 avril, nous avons cédé BCF Life Sciences à Sparkfood, filiale du groupe Sonae. L’aboutissement de 5 années d’investissement et d’accompagnement d’une entreprise leader dans l’extraction d’acides aminés à haute valeur ajoutée, à destination de la santé animale, l’industrie pharmaceutique ou encore l’agriculture durable. Une entreprise qui réalise aujourd’hui 90% de son chiffre d’affaires à l’international. Pendant ces 5 années, nous avons travaillé de concert avec les dirigeants pour démultiplier le potentiel de l’entreprise, à partir de 3 leviers fondamentaux  : 1/ Des moyens importants alloués à l’innovation et à la démonstration systématique de la valeur ajoutée des produits par une équipe R&D collaborant avec des équipes de recherche publique et privée à travers le monde. 2/ Des investissements significatifs dans l’outil industriel pour permettre au groupe de poursuivre sa croissance et garantir un haut niveau de qualité pour ses clients. 3/ Une amélioration constante de l’impact environnemental de l’entreprise à travers l’augmentation de son efficacité énergétique et l’élargissement d’une gamme de biostimulants utilisés en agriculture biologique. Croissance, innovation, hyperspécialisation, internationalisation, ancrage de la RSE et proximité avec les deux dirigeants d’exception que sont Jacques Pidoux et Renaud Sergheraert et leurs équipes : les ingrédients d’un deal très MBO , dont nous sommes toutes et tous ici très très fiers.

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    Focus sur le métier de Relation Investisseurs dans Option Finance avec notre chère Geraldine Lanthier ! 👇

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    Longtemps gérées directement par les associés, les relations investisseurs se sont professionnalisées, portées par le poids croissant de la réglementation et la nécessité de mieux répondre aux demandes des souscripteurs. La récente ouverture du private equity au retail conduit également à recruter de nouveaux profils dédiés aux clients privés. 🗣 Jean-Eudes Leleu, Bpifrance / Karine Favreau, Fed Finance / Geraldine Lanthier, MBO / Avidan Geissmann, Seven2 #relationsinvestisseurs

    Les fonds structurent leurs relations investisseurs

    Les fonds structurent leurs relations investisseurs

    optionfinance.fr

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    Investir dans les hommes est-il devenu un risque ? C’était la question un brin provocatrice que nous avons posée la semaine passée avec nos amies et amis du Curiosity Club à Priscille Allais, ⏚ Sébastien Garcin 🤜🤛 ⏚ et Cécile Bassot. 3 personnalités engagées chacune à leur manière pour permettre aux femmes de prendre toute leur place au sein des entreprises. Beaucoup d’angles abordés et peut-être 3 points à retenir :   1/ Un paradoxe. D’une part, la présence des femmes à tous les échelons d’une entreprise est désormais identifiée comme un accélérateur de performance (voir études France Invest). D’autre part, le job du capital investissement c'est d'optimiser tous les leviers de performance disponibles. Dès lors, comment expliquer que les femmes soient encore majoritairement sous-représentées dans le top management des entreprises qu’il finance ? 2/ Un cercle vicieux. C’est une évidence : les hommes ne sont pas moins bons au travail que les femmes, et réciproquement.   Mais la manière dont nous avons été éduqués, formés et nos expérience les uns/unes les autres, nous conduisent souvent à faire plutôt confiance aux hommes qui eux-mêmes ont tendance à construire des entreprises d’hommes, qui recrutent plus facilement des hommes, et ainsi de suite. Si pour des raisons de performance économique et de progrès social nous souhaitons faire avancer l’égalité des genres au travail et ailleurs, alors il importe de nous attaquer à ces biais. En les contournant, en les confrontant, en les dépassant. Tout en favorisant la formation (on a beaucoup parlé de l’importance des rôles modèles !), le recrutement et la promotion des femmes. Et le financement de leurs entreprises lorsqu’elles en créent. 3/ Les solutions existent. Et c’est tout sauf une surprise : les leviers du changement sont nombreux, connus et ils marchent. Organisation du travail pour un juste équilibre vie pro/perso, égalité salariale (parmi les bonnes pratiques citées : rémunérer une femme en congé maternité avec 100% de son bonus et une augmentation équivalente à la moyenne de celle de son équipe), assertivité, écoute… Il suffit d’être pragmatiques. Et si ces leviers nécessitent parfois de renverser la table – instauration de quotas, recrutements discriminants sur la base du genre… - l’idée n’est pas que les femmes prennent la place des hommes, mais simplement d’accélérer le rééquilibrage. Un dernier point - et non le moindre ! : la capacité des entreprises à changer la donne s’arrête là où commence la sphère privée . Le partage des tâches domestiques a une influence directe sur l’épanouissement des femmes dans l’entreprise. Vous avez dit changement systémique ? Alors, investir dans les hommes est-il devenu un risque ? C’est surtout l’absence de diversité de genre (et de diversité tout court) qui en est un et qui prive l’entreprise d’un levier de performance supplémentaire. Cela on le sait tous un peu. Il faut maintenant se remettre en question et passer à l’action ! 

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    Enfant il passait ses vacances au camping. Et en 4 ans, il vient de bâtir avec son équipe la 3e chaîne de campings en France. Il n’a jamais eu de patron : sa première entreprise, Anyway, il l’a dirigée à 26 ans. A 30 ans il lance l’activité voyages de plusieurs distributeurs, puis Tati Vacances et une chaîne hôtelière. En 2009, il créé le futur leader européen de la distribution de campings, le site campings.com.   Une aventure qu’il va quitter en 2019 pour bâtir Les Vacances Camping Paradis.   Lui, c’est Olivier Lachenaud Quand on lui demande ce qui le qualifie le mieux en tant qu’entrepreneur, il nous répond : “chef de bande”. C’est ce qu’il aime le plus : réunir une équipe forte et soudée, mener avec elle un projet ambitieux, le faire grandir et passer de bons moments.   C’est pour cela qu’il cultive une proximité quotidienne avec les patronnes et patrons des Campings Paradis, un groupe qui sous sa houlette est devenu la 3e chaîne de campings en France, pour un chiffre d’affaires global de 93 millions d’euros en 2022.   Une success story toujours en cours, qui repose sur des facteurs très clairs :   1/ Des tendances favorables : la France concentre 28% de l’offre européenne, soit de 7500 campings. C’est un business en croissance ( 4% par an), qui se concentre, avec de fortes barrières à l’entrée.   2/ Des nouveaux modes de consommation : plus de local (et moins d’avions), plus de nature (et moins de béton) et plus de convivialité (et moins d’anonymat).   3/ Une marque très forte, celle d’une série culte, diffusée sur TF1 depuis 2006. Olivier a su capitaliser sur cette notoriété pour en faire, en accord avec les producteurs, une “love brand” synonyme de différenciation auprès des campeuses et des campeurs.   4/ Un modèle de franchise qui apporte visibilité, différenciation et efficacité opérationnelle, dans un business en cours de professionnalisation.   5/ Une démarche ESG forte pour répondre aux exigences d’une clientèle de plus en plus concernée et engagée sur l'écologie.    Et si nous admirons chez MBO le travail d’Olivier, c’est aussi parce qu’on aura toujours un besoin de vacances à satisfaire ! Un acquis auquel chacun a droit mais qui doit se réinventer entre nécessités écologiques et nouvelles aspirations touristiques.

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    Private Equity Magazine revient ce mois-ci sur l’aventure en forme de success story menée par Patrice GUYOT et ses équipes avec le soutien de MBO . Une des cessions de l’année 2023, et une immense fierté.

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    Où en sont les Etats-Unis aujourd’hui ? Nous avons eu la chance d'accueillir il y a quelques jours Laurence Nardon, chercheuse à l'Ifri - Institut français des relations internationales et spécialiste des USA. 6 points à retenir : 1/ Sur le plan économique : - Les “Bidenomics” signent la sortie définitive d’une ère économique démarrée au début des année 80 par Reagan. Ils marquent le retour d’un Etat interventionniste pour réactiver la promesse du contrat social américain, fondé sur l’élévation des classes moyennes par le travail. - Les résultats économiques encourageants ne profitent pas pour l’instant à Joe Biden. Parce que l’inflation est redevenue une réalité quotidienne à laquelle les Américains s’étaient déshabitués (ils ne sont pas les seuls). Mais aussi parce que le volet climat des Bidenomics n’intéresse en réalité qu’une frange limitée de la population : la crise des opioïdes, les flux migratoires ou la crise du système éducatif préoccupent davantage. 2/ Sur la politique intérieure : - Le match Biden-Trump est lancé. Et il risque d’être serré. Si Biden n’imprime pas, il n’en reste pas moins que la campagne ne fait que démarrer et que la valorisation de son bilan, plutôt flatteur en matière économique, mais aussi de santé ou d’éducation, ne fait que commencer. Quant à Trump, il part avec des équipes et un programme beaucoup plus structurés qu’en 2017. Malgré ses déboires judiciaires, c’est un adversaire plus que crédible. - Si leurs programmes divergent radicalement sur nombres de sujets, paradoxalement les deux candidats partagent la vision commune d’un nécessaire interventionnisme de l’Etat dans l’économie et une forme de protectionnisme « America first » assumés. Pas une bonne nouvelle pour l’Europe, qui ne peut plus être le seul acteur de poids favorable à un libre échange tous azimuts : elle doit désormais davantage penser à elle-même et soutenir ses entreprises. 3/ Sur les relations internationales : - Les Etats-Unis sont aujourd’hui un “Empire incertain” : doivent-ils continuer à assumer le rôle de défenseurs du monde libre ? En ont-ils seulement envie ? C’est une question à laquelle l’administration Biden a plutôt répondu oui. Même si l’opinion se projette davantage sur un “non”, les USA restent engagés sur beaucoup de « fronts » de la scène internationale (Ukraine, Moyen-Orient, sans oublier des relations plutôt fraîches avec la Chine). Une donne qui risque de changer si Donald Trump est élu. - Et l’Europe dans tout cela ? Si la méthode Trump était plutôt de tenter de fracturer la cohésion des partenaires européens par des discussions bilatérales (ce qui a échoué), l’administration Biden considère l’Europe comme une entité homogène. Mais sans forcément lui accorder le statut de grande puissance : l’Europe reste un marché incontournable, mais un nain politique… Et maintenant, place à la campagne présidentielle !

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    Toute l'équipe MBO est très heureuse de vous présenter ses meilleurs vœux pour cette nouvelle année qui débute ! Et plus encore ici 😉 👇

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    Partner and CEO

    Il y a 1 an, je vous présentais mes vœux 2023. Des vœux placés sous le signe des 20 ans de MBO et des trois principes qui nous ont toujours guidés pour bien faire notre métier : - Savoir bien nous entourer et construire un réseau d’intelligence collective pour faire la différence. - Rester toujours en mouvement pour ne pas subir mais se mettre en position de tirer avantage des mutations de notre environnement. - Avoir conscience de notre impact sur l’économie et de notre responsabilité sociale et environnementale. En 2023, ces principes nous ont permis une nouvelle fois de réaliser de solides performances dans un environnement volatil et globalement dégradé. En témoignent la sortie réussie de Sequoiasoft (sur laquelle Private Equity Magazine revient longuement en ce début d’année) et plus généralement la croissance moyenne des entreprises de notre portefeuille. Alors, que peut-on souhaiter pour MBO en 2024 ? Je dirais ceci : - Continuer de renforcer nos capacités opérationnelles et l’expertise de nos équipes d’investissement – dont l’arrivée l’été dernier d’Olivier Delrieu en tant que Partner est un marqueur fort. - Continuer à détecter les meilleurs talents entrepreneuriaux et managériaux, révéler leur potentiel et créer les conditions les plus favorables pour permettre aux entreprises de se développer durablement. - Continuer à construire des portefeuilles solides et performants pour créer de la valeur sur longue période à travers les cycles. C’est ainsi que nous contribuerons en 2024, avec nos parties-prenantes, à confirmer la surperformance de la classe d’actifs du Private Equity. Et ce, tout en relevant les défis qu’elle doit affronter et auxquels nous sommes préparés : un contexte concurrentiel accru, les bouleversements technologiques engendrés par l’IA, mais aussi les enjeux de transition énergétique et les nécessaires contraintes réglementaires accrues en matière d’ESG. Pour toutes ces raisons, nous abordons 2024 avec confiance, entourés de tous nos partenaires, à qui je souhaite le meilleur pour cette nouvelle année.

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    Pauline Francois-Poncet a rejoint en 2022 l’équipe d’investissement de MBO en tant qu'Associate. Son métier, sa journée type, les entreprises qu’elle accompagne, elle nous dit tout : MBO  : Tu as démarré ta carrière en banque d’affaire chez Goldman Sachs à Hong Kong puis Lazard à Paris. Quelle influence ces expériences ont-elles eues sur l’investisseuse que tu es aujourd’hui ?   👉 Mes expériences en banque d’affaires ont été très différentes l’une de l’autre. J’ai démarré en leverage finance chez Goldman Sachs à Hong Kong où je faisais partie d’une équipe multiculturelle : 7 nationalités et 3 continents étaient représentés. Mon job consistait à accompagner des entreprises du sud-est de l’Asie et d’Australie à lever de la dette sur les marchés publics et à faire du financement d’acquisitions. J’ai à cette époque assez peu côtoyé l’univers de l’investissement au sens où on le pratique chez MBO . Mais elle a été une première expérience très importante pour moi, au cours de laquelle j’ai appris la meilleure manière d’être à l’écoute des entreprises. Chez Lazard à Paris j’ai fait partie de l’équipe conseil en dette et en restructuration : un job très formateur, tout en tension, où il faut savoir structurer et lever les problèmes en continu MBO  : A quoi ressemble une de tes journées type ?   👉 Un peu speed ! J’ai deux petites filles de 5 et 2 ans et je commence ma journée avec elles. Je les dépose à la crèche et à l’école et je file sur mon vélo pour arriver chez MBO . Une fois au bureau, je bois rapidement un café (indispensable) et je fais le tour de mes mails. Ensuite cela dépend du niveau d’avancement de mes dossiers : pré étude, phase de deal, investissement. Je passe globalement beaucoup de temps à suivre mes participations. MBO est un actionnaire impliqué et nous essayons d’aider au mieux les sociétés que nous accompagnons. Cela va de l’implémentation de projets précis à des réflexions plus stratégiques.   MBO  : Quelles entreprise accompagnes-tu en ce moment ?   👉 J’accompagne L.E.N. MÉDICAL, un des leaders français de la communication médicale et BCF Life Sciences, une entreprise unique spécialisée dans l’extraction d’acides aminés à forte valeur ajoutée. Comme souvent, si ces sociétés évoluent dans des secteurs d’activités très différents, elles font face à des enjeux finalement assez similaires : structuration de l’organisation, renforcement des équipes, développement d’une marque employeur etc. MBO : Pourquoi être venue chez MBO  et pas ailleurs ?  👉 Je connaissais MBO depuis longtemps, c’est un fonds historique puisqu’il existe depuis plus de 20 ans et sa réputation n’est plus à faire. J’avais envie de rejoindre une équipe performante, dynamique et ambitieuse et j’ai été très vite séduite en rencontrant celle de MBO . Ce que j’apprécie par ailleurs particulièrement chez nous, c’est la capacité à se remettre en question : rien n’est jamais acquis et on peut toujours faire mieux si on s’en donne les moyens.

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