Lactique

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Activités liées au sport

Ne cours plus après ta place, prends-la.

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On aide les acteurs du sport à utiliser LinkedIn pour se rendre visible auprès de leur cible à travers trois offres : - Une agence de personal branding pour les CEO des entreprises dans le sport et la santé. - Un accompagnement pour les indépendants du sport. - Un incubateur pour les athlètes de haut niveau.

Site web
https://www.lactique.fr/
Secteur
Activités liées au sport
Taille de l’entreprise
1 employé
Siège social
Grenoble
Type
Travailleur indépendant

Lieux

Employés chez Lactique

Nouvelles

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    Je m’appelle Valentin André, je suis champion de France de dessert et en équipe de France de duathlon. J’ai un parcours atypique.  Je suis originaire d’une petite ville du Nord pas de Calais.  Mes parents étaient des traiteurs passionnés. J'étais sans cesse collé dans leurs pieds.   À mes 6 ans, ils ont racheté la boucherie de notre quartier.  Mon père est mort dans un accident de voiture le jour de l’ouverture. Ça a été très dur à encaisser.  J’ai grandi plus vite que prévu pour épauler ma mère. Je me suis promis de faire son métier pour honorer sa mémoire.  À la fin du lycée, j’ai commencé des études d’hôtellerie restauration.  Et comme j’avais besoin d’une échappatoire.  Je me suis mis à courir très souvent, au début pour oublier les mauvais souvenirs.  Ensuite, j’y ai pris goût. J’ai participé à la course de ma petite ville du nord pas de Calais.   Et j’ai gagné la course, j’ai fini premier devant tous les licenciés des clubs d’à côté.  L’entraîneur du plus gros club du Touquet, impressionné par la performance, m'a proposé de rejoindre son équipe.  J’ai dit oui. J’ai compris que j’avais des capacités, que j’avais besoin de ce sport pour me réaliser.    Je me suis investi comme un fou dans ce double projet.  La journée, j’étudiais la cuisine et la pâtisserie. Le soir et le week-end, j’enchaînais les entraînements et les compétitions d’athlétisme.   Le travail a payé.  À 21 ans, j’ai fini vice-champion de France espoir de 3000 steeple.  À 22 ans, j’ai gagné les championnats de France de dessert.  La présidente du jury, Anne-Sophie Pic, m’a proposé un poste dans son restaurant 3 étoiles à Valence.  La mort de mon père n’a pas été facile, mais je suis reconnaissant de ce qu’il m’a donné.   Sans lui et ma mère, je n’en serais pas là aujourd’hui.  Ce sont les moments difficiles qui forgent notre destinée. Ps : Si vous voulez en savoir plus sur le projet sportif de Valentin, le lien vers son projet sportif en premier commentaire.

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    Je m'appelle Loic Marty. Mon plus gros défaut dans le monde pro, c'est d'être sportif de haut niveau. "Il y a le week-end pour s'entraîner" "Tu as des congés, tu les prends" “Il faut retourner travailler maintenant” Voilà ce qu'on me répond en entretien d'embauche, quand je demande à travailler partiellement. On me parle sans cesse de passion. Mais mon sport est un métier à plein temps. Je suis en équipe de France et je m'entraîne deux fois par jour, tous les jours. C'est un rythme non négociable pour faire briller le maillot français aux mondiaux. Quand j'ai découvert la course d'orientation avec mon père un dimanche matin, j'ai tout de suite accroché. Et je n'ai plus jamais lâché ce sport depuis mes 8 ans. La soif de concourir m'a portée jusqu'au plus haut niveau. Aujourd'hui, à 28 ans, j’attaque ma 15ème année en équipe de France. Mais c'est en 2022 que j'ai explosé en plein vol. Les heures de boulot et d'entraînement m'ont offert un aller simple vers l'épuisement. Sans conditions de retour. La saison était catastrophique.  Je me suis beaucoup remis en question. J’étais à deux doigts de tout arrêter. Pour l'amour de mon sport, j'ai fini par démissionner. Et 2023 fut la meilleure saison de ma vie. J'ai pu me donner à 200% sur la préparation, tant physique que mentale. Sébastien Mena m'a donné les clefs pour me reconcentrer. J'ai abordé les courses avec beaucoup plus de sérénité. 1er résultat : meilleur français au championnat du monde sur longue distance. 2ème résultat : champion de France Elite sur moyenne distance. Sauf que cette saison-là, je l'ai financée avec mes économies. La fédération n'a pas les fonds pour nous soutenir. Et notre sport manque cruellement d'exposition. Comme je le redoutais, je dois retourner travailler cette année. La précarité du haut niveau en France a fini par me rattraper. Le rythme des entraînements sera différent cette année. Mais j’ai toujours l’espoir d’épingler un nouveau dossard au prochain mondial. ------- Chez Lactique, comme c'est notre mission, d'aider les athlètes à gagner des médailles. Nous offrons notre formation de 3 h 30 à Loic pour l'aider à trouver des sponsors grâce à LinkedIn.

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    Je m'appelle Albane Dubois. Petite, je ne pensais qu'à monter à cheval. Mais c'est la voile qui m'a portée jusqu'aux JO de Tokyo. J'ai vécu à Lille jusqu'à mes 18 ans, pas loin des plages de Bray-Dunes. Ce qui m'animait, c'était l'équitation. Au centre équestre, il y avait toujours quelque chose à faire. J'y passais tous mes week-ends et les vacances scolaires. La voile, c'est mon grand frère qui aimait ça. Mais ma mère a fait d'une pierre deux coups pour les inscriptions au club. Alors, j'ai grimpé sur le bateau très tôt pour former mon premier duo, à l'âge de 11 ans. Mon frère menait la barque et j'apprenais. On a enchaîné les stages puis petit à petit, la balance s'est inversée. J'ai commencé à aimer ça. Même à adorer ça. Je rentrais de mes études en Belgique chaque week-end pour prendre la barre en mer. En septembre, après les vacances d'été, je ne voulais même plus rentrer. Mais c'est grâce à ce diplôme que j'ai rencontré le kiné de la FFV en 2014. Et depuis tout s'est accéléré. Il me propose un projet olympique, j'accepte. Il faut déménager à Marseille, j'accepte. Je n'ai même pas les compétences pour, mais j'accepte. J'y vais à fond. Encore une fois, j'apprends sur le tas. Le vent m'emporte jusqu'à la 4ᵉ place au mondial d'Australie, en 2020. Ce résultat me donne confiance en moi. Mais c'est loin d'être assez. Avec ma coéquipière, on veut pousser jusqu'aux JO. Et c'est finalement notre 1ʳᵉ place des équipages français qui nous offre le ticket pour Tokyo. Le jour J le stress monte. On doit composer avec la pression. De fil en aiguille, le mental se perd et les émotions me submergent. On s'enflamme, les erreurs s'enchaînent. On joue le contact quand il ne faut pas... Notre manque de symbiose sur le bateau nous écarte à la 9ᵉ place. Je termine les jeux sur une grosse frustration, mais une chose est sûre : Je n'ai pas perdu, j'ai appris une fois de plus. ---- Comme c'est la mission de Lactique d'aider les athlètes à gagner des médailles aux JO. Nous offrons notre formation de 3 h 30 à Albane pour l'aider à trouver des sponsors grâce à LinkedIn.

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    Je m'appelle dylan chellamootoo. Après deux échecs aux qualifs des JO, je touche enfin du doigt mon plus grand rêve. Ma mère est indienne, mon père est mauricien. Ils m'ont élevé tous les deux à Cergy en banlieue parisienne. J'ai vécu avec mon grand frère, qui ne pouvait pas parler ni marcher. À la maison, il avait besoin de beaucoup d'aide et d'attention. Alors, j'ai appris à me débrouiller seul très jeune. Ma mère m'a poussé vers le sport pour que j'échappe à ce quotidien prenant. Et depuis mes 5 ans, le taekwondo est devenu mon exutoire. J'étais moins doué que les autres. Mais j'avais plus de rage que les autres. C'est la vie d'un sportif pro dont je rêvais. À 15 ans commencent les championnats de France pour moi. Petit à petit les médailles s'accumulent et j'intègre le pôle espoir. Je quitte Cergy pour Toulouse. Le changement est brutal : Aucun résultat. J'appelle mes parents en larmes, mais je m'accroche. Je le sais, la résilience finit toujours par payer. Avec cet état d'esprit, j'atteins la 1ʳᵉ place en senior. Me voilà prêt pour intégrer l'INSEP à 18 ans. Tout s'enchaîne et la grande nouvelle tombe : je suis ciblé pour les Jeux. Rio 2016 signera mon plus gros échec. Je ne passe pas les qualifs, mes espoirs s'envolent. Pour me relever, je décide de changer de catégorie. En -68kg je repasse champion d'Europe. Les portes des JO s'ouvrent à nouveau pour Tokyo. Et la chute est encore plus dure. J'ai mis du temps à revenir, mais aujourd'hui, je suis prêt, avec 9 titres de champion de France, à faire briller mon pays. Chez moi à Paris. Je vise la médaille en équipe. Mais aussi et surtout la fierté dans les yeux de ma mère. ---------- Merci à Thierry Calvo président de CJA Sport qui participe au financement de la formation lactique de recherche de sponsoring à Dylan.

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    Je m’appelle Alexis Thomas. L’année dernière, j'ai fini 7ᵉ de la Solitaire du Figaro. Pourtant, je n’étais pas prédestiné à devenir marin. Je suis originaire de Lyon. Mon père était chasseur alpin. À mes 6 ans, mes parents décident de déménager à La Rochelle pour leurs affaires. Mon grand-père était dessinateur naval. Certains jours après l’école, il m’apprenait à fabriquer des maquettes de bateaux. Je rêvais de course et d’aventure. À mes 7 ans, je commence la voile en compétition. Un soir après un entraînement, je croise Armel Le Cléac'h sur le port. Il me propose d’embarquer sur sa formule 1 des mers. Les sensations étaient folles à plus de 30 nœuds. J’avais l’impression de m’envoler. À ce moment-là, j’ai su qu’un jour, moi aussi, je dompterai la mer. Je passe toute ma scolarité en sport étude voile. À 17 ans, j’intègre le Pôle France Voile. En 2018, je mets de côté la voile pour partir étudier à l’étranger. Mais alors que je suis à l’autre bout de la terre, mon grand-père décède. Je suis détruit. Je quitte mon école. Je rentre en France. Je décide d’écouter mon instinct : Devenir skipper de course au large. Mes proches me prennent pour un taret : “Comment vas-tu faire pour trouver 150 000 euros ?”. Je passe 6 mois jours et nuits à chercher des sponsors. En 2021, La Charente-Maritime accepte de me sponsoriser. En 2023, je finis 7ᵉ de la solitaire du Figaro (4ᵉ d’une étape). Mon objectif dans 4 ans : Participer au Vendée Globe. À chaque moment de doute, je regarde tout le chemin parcourus. J’imagine comme mon grand-père doit être fier de moi de là où il est. ----------- Merci à Thierry Calvo président de CJA Sport qui finance la formation de recherche de sponsoring à Alexis. CJA Sport est un fournisseur d’articles de sport B to B.

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    Je m’appelle Helie assemien 🥊. Je suis passé d’apprentis manager à champion de France de Muai Thaï. Voici mon histoire. En 2018, en plein cours de gestion, je rêve à d’autres choses. Je tombe sur une vidéo d’un combat de Muai Thaï. C’est une révélation. Je me vois déjà à leur place, sur le ring, les gants à la main. Plus les jours passent, moins cette vidéo me quitte. Je décide de rejoindre le club de mon quartier. C’est maintenant que ma vie va changer. Pendant quatre ans, 6 heures par semaine, j’ai enchainé les entrainements, les victoires et les défaites. Ce sport était devenu plus que du sport. Je l’avais dans la peau. En 2021, je gagne mon premier combat semi-pro. C’est décidé, je vais en faire mon métier. Je dois arrêter mes études. En 2023, sur mon premier combat pro, je me fais les ligaments croisés, 6 mois plus tard, je dois me battre pour le titre de champion de France. C’est la première fois que je me demande si je veux continuer. La pression financière et l'incertitude de l’avenir me font peur. Mes souvenirs du début refont surface, 5 ans en arrière, le jour où j'ai poussé les portes du club de boxe de mon quartier. Je comprends que je ne veux pas arrêter. Malgré la blessure et la pression de l’enjeu, je repars m’entrainer et quelques mois plus tard, je bats en final mon adversaire. Je suis Champion de France. C’est irréel. Ayez le courage de suivre vos rêves, votre intuition. Écoutez-vous et regardez YouTube. ------------------ Merci à Thierry Calvo président de CJA sport qui finance la formation d'écriture Lactique à Helie. CJA Sport est un fournisseur d’articles de sport B to B.

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    En 2018, Matthieu rêve d'aider des athlètes à atteindre leur rêve Olympique. En 2024, après avoir perdu l’usage de son pied, il va lui-même tenter de se qualifier aux Jeux Paralympiques. En janvier 2018, ça fait 7 ans que Matthieu Jagu est ingénieur chez Decathlon. Il a besoin de changement. Ça fait plusieurs soirs qu’il s’endort en se demandant : “Que vais-je pouvoir faire dans la vie ?” À la suite d’une formation en management, il se rend compte que la chose qu’il aime le plus dans la vie, c'est coacher des gens. Il se met à rêver d’aider des athlètes de haut niveau à gagner des médailles. Un mois plus tard, il commence une formation en préparation mentale. Mais en mars, pendant un match de foot, il se fait une rupture du tendon d’Achille et doit se faire opérer. Manque de chance, l’opération se passe mal. Il a des complications. Il perd l’usage de son pied. Le chirurgien lui annonce qu’il ne pourra plus jamais marcher. Comme Matthieu est un battant, il refuse de s’apitoyer sur son sort. Il veut montrer au chirurgien qu’il se trompe. Pendant 2 ans, il se rééduque 3 h par jour. Le matin, le midi et le soir. Sans jamais s’arrêter. Et contre toute attente, il réussit. En 2020, il part marcher 1000 km en 40 jours en Bretagne sur le GR34. Le problème, c'est qu’en rentrant de son périple, il se rend compte qu’il ne peut pas exercer comme préparateur mental, il est trop instable mentalement pour pouvoir coacher. Il ne peut plus non plus pratiquer le sport comme avant. Il est au fond du gouffre. Fin 2020, il tombe par hasard sur une détection paralympique. Il décide d’y participer. Pendant l’événement, l’organisation lui détecte des prédispositions pour le volley assis. Il commence à s’entraîner une dizaine d’heures par semaine dans un club à Villeneuve d'Ascq. 1 an plus tard, on lui annonce qu’il est sélectionné pour jouer avec l’équipe de France. Aujourd’hui, Matthieu n’accompagne pas des athlètes vers la victoire aux Jeux Olympiques, mais il va lui-même tenter de participer aux jeux Paralympiques de Paris. Cette histoire nous montre que dans la vie, quand on a du courage et de la détermination, rien n'est figé. On peut accomplir des choses qui paraissent impossibles sur le papier. ------------- Merci à Thierry Calvo président de CJA Sport qui finance la formation de recherche de sponsoring Lactique à Mathieu. CJA SPORT - Fournisseur d’articles multisports est un fournisseur d’articles de sport pour les professionnels.

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    Je m’appelle Ainhoa Leiceaga et je suis 13 européennes de la World Surf League. J'arrive à sortir du lit aujourd’hui parce que je prends du recul sur mes résultats.   Août : 4 semaines, 4 compétitions de 6 jours, 3 pays. Voici mon marathon de l’été.   4 semaines pour m’exprimer. 4 semaines décisives pour mon objectif : être dans le TOP 4 européen.   Mais pour l’instant, 3 défaites…   Beaucoup de déception,  Énormément de doutes,  Encore plus de remise en question.    Mes résultats à ce stade étaient meilleurs l’année dernière, peut-être,   Défaite en termes de résultat, peut-être,  Mais je n’ai jamais été aussi proche !   Depuis, j’ai beaucoup évolué. Ma performance est encore meilleure de par ma gestion.   Les résultats retranscrivent rarement tout le travail réalisé. Encore plus dans des domaines qu’on ne contrôle pas comme l’océan ou la vie.   Seuls nous-même savons quelles sont nos réelles réussites.  Il est essentiel de prendre du recul. Je trouve beaucoup de positif dans mes dernières performances et je sais aussi ce qu’il faut que j’améliore et c’est ça qui compte.    La route est longue. Honnêteté, patience et résilience. Comme on me l’a dit pour les études : il faut plus de travail pour passer de 16 à 19 (sur 20) que de 12 à 15, et pour gagner dans l’élite, on parle bien d’aller de 16 à 19. Les détails sont les plus capricieux.

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    À force de parler chaque semaine des problématiques du sport sur LinkedIn. Thibaut a été invité jeudi dernier à parler sur France 2 dans l’émission « Objectif première médaille olympique ». Quand on s'est lancé à fond sur lactique, il y a 6 mois : On n’avait pas des millions d’euros à investir pour se faire connaitre. On s’autofinançait grâce à notre activité de free-lance en marketing. On n’avait pas une équipe de 10 personnes pour nous aider à attirer des clients. On était deux free-lances passionnés de sport. (Pauline et Thibaut) On n’avait pas le même réseau que Zinedine Zidane. On était inconnu dans le milieu du sport. Mais on avait des compétences en création de contenus et en communication qui font la différence. Ce qui nous a permis d'attirer : 100 sportifs de haut niveau. 50 entreprises.  Des médias comme France Info et envoyé spécial. Aujourd'hui, on sait à quel point c’est difficile de vivre de sa passion dans le sport. On a décidé de lancer une formation pour apprendre aux indépendants du sport à se faire connaitre et générer du chiffre d'affaires grâce à la création de contenus sur LinkedIn. Ps 1 : merci de liker et de commenter ce post pour nous aider à faire connaître notre nouveau service aux indépendants du sport 🙂 Ps 2 : Si vous voulez en savoir plus sur notre offre, on vous met le lien en premier commentaire.

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    Je m'appelle Yannick Matejicek, je suis triathlète de haut niveau longue distance et policier. Ce weekend mon vélo m’a lâché en plein Half Iron Man. Un seul problème technique qui fait disparaître des mois de préparation en 1 fraction de seconde. Cette course, c’est 92 km de vélo avec un 1750 de D . Un dénivelé aussi important qu’une étape du Tour de France. Et là, c'est le drame : mon dérailleur se bloque sur le petit plateau. C'est comme si je devais pédaler dans la semoule pendant presque 100 KM. Plusieurs questions me viennent à l’esprit : Est-ce que je fais demi-tour ? Est-ce que je force ?  Comment je vais gérer les descentes sans les grandes vitesses ? Puis je me rappelle que je m’entraine tous les jours pour ces courses.  Ce problème technique ne doit pas m’atteindre. Je dois aller au délà de cette problématique. Mon cerveau sourit à l’idée de relever ce challenge, mes jambes beaucoup moins. J’ai souffert comme j’ai rarement souffert. Je me suis dépassé comme je ne l'avais jamais fait auparavant. J’ai tenu le coup jusqu’au bout malgré la douleur. Dans ma vie, je prône l'ambition, le no limit, le dépassement. Ce sont des moteurs pour moi. Je ne pouvais pas abandonner. Vous rencontrerez toujours des problèmes sur votre chemin : pro, perso… Si vous décidez de vous y arrêter, vous resterez bloqués.  Contourner, battez-vous. Vous êtes plus forts que ce que vous pensez. Vous êtes vos propres limites. Pour la petite anecdote, j'ai fini avec le 4ᵉ meilleur temps de la course à pied et une 11ᵉ place au classement final. Oui, ce n’est pas ce que je voulais. Mais parfois la victoire n’est pas celle que vous pensez.

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