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    La Thuringe est un Land allemand issu de l’ex-RDA, qui compte à peine plus de deux millions d’habitants. Il ne pèse pas lourd dans une Allemagne qui en compte plus de 80 millions. Mais il est entré dans l’histoire hier en plaçant en tête de ses élections régionales, et avec une grande avance, un parti d’extrême droite qui cache à peine ses références historiques au nazisme. Dans un autre État de l’Est, la Saxe, ce parti, l’Alliance pour l’Allemagne, l’AFD, talonne les conservateurs de la CDU arrivés en tête. C’est spectaculaire, et l’impact politique est considérable. Un troisième Land de l’Est, le Brandebourg, autour de Berlin, vote dans trois semaines et devrait confirmer cette forte poussée de l’AFD. Le choc est d’autant plus grand qu’un autre parti aux extrêmes de l’échiquier, l’Alliance Sahra Wagenkneicht (BSW), scission de la gauche radicale qui mêle avancées sociales, conservatisme sociétal et tropisme pro-russe, réalise des scores à deux chiffres quelques mois seulement après son lancement. Dans le même temps, les partis de la coalition du Chancelier Scholz s’effondrent et passent en dessous de la barre des 10%. Avoir au même moment la France et l’Allemagne concentrées sur leurs crises politiques et moins engagées sur les enjeux globaux est une véritable source d’inquiétude, s’agissant du moteur traditionnel de l’Union européenne. En pleine guerre d’Ukraine, à quelques semaines d’une élection américaine décisive, et d’un monde passablement déstabilisé, l’Europe a besoin d’un moteur en bon état. Les électeurs français comme allemands en ont décidé autrement ; l’onde de choc sera durable. L’intégrale de ma chronique Géopolitique du 7/10 de France Inter est à retrouver ici 👇

    Le succès de l’extrême droite dans l’Est de l’Allemagne fragilise l’Allemagne – et l’Europe

    Le succès de l’extrême droite dans l’Est de l’Allemagne fragilise l’Allemagne – et l’Europe

    radiofrance.fr

  • France Inter a republié ceci

    Voir le profil de Célia Quilleret, visuel

    Spécialiste Environnement France Inter

    C'est la rentrée radiophonique ! Sur France Inter, ma chronique Planète verte change d'horaire. Je rejoins le carrefour de 6h45, toujours aux côtés de Marion L'Hour et Ali Baddou. Cette semaine, c'est un SOS pour les mers du monde qui m'a alertée. Mardi, depuis les îles Tonga, le patron de l'ONU Antonio Guterres a lancé une balise de détresse pour l'océan. A cause du changement climatique, des îles du Pacifique pourraient bientôt être englouties. Le phénomène s'aggrave plus vite que prévu. Un SOS passé un peu inaperçu. Ce n'est pas "Alerte à Malibu", c'est "alerte dans toutes les îles du Pacifique" ! Chaque été, la planète nous envoie des signes, il faut les écouter : des giga feux, des canicules. Cet été c'est la température de l'eau qui était marquante, 30 degrés en Méditerranée, près de chez nous, vous l'avez peut-être testée pendant vos congés. Et dans le Pacifique, plus lointain, la situation est encore plus grave, l'océan se réchauffe, se dilate, il monte, et certaines îles risquent d'être englouties, plus vite que prévu par les scientifiques. A Tuvalu, les enfants jouent désormais sur le tarmac de l'aéroport, par manque de place. Mardi, l'alerte a été donnée par le patron de l'ONU Antonio Guterres. Avec un cri de détresse. Il a lancé depuis les îles Tonga un "SOS mondial" sur la montée des eaux dans le Pacifique. SOS passé, à mon sens, un peu inaperçu. Cette montée du niveau de l'eau est inquiétante, car ces îles volcaniques, ces atolls coralliens abritent des trésors de biodiversité. Des merveilles qui nous font rêver. Des habitants sont en danger. Et ici, sur cette partie du globe, vulnérable, l'eau monte bien plus rapidement qu'ailleurs. A cause du changement climatique. Près de 15 centimètres en 30 ans selon le dernier rapport de l'Organisation météorologique mondiale. Cela paraît peu mais c'est presque deux fois plus que la moyenne mondiale. Dans le détail, sont surtout menacées les îles Fidji, les îles Samoa. Les îles Tuvalu pourraient totalement disparaître sous l'océan d'ici 30 ans. Le compte à rebours a commencé, nous allons manquer de temps pour enrayer la tendance disent les scientifiques. Juste un chiffre, le Vanuatu, la Papouasie-Nouvelle Guinée ont déjà perdu "plus de 1% de leur PIB en raison de la montée des eaux". Et sur la planète, d'autres îles sont menacées : à Wallis et Futuna l'érosion inquiète. En Polynésie française, l'archipel Tuamotu voit ses plages disparaître. Dans l'Atlantique, la Guadeloupe est en première ligne. Des centaines de logements vont devenir inhabitables. La Martinique n'est pas épargnée. Et plus au nord, à Saint-Pierre et Miquelon, tout le village de Miquelon devra être déplacé dans les prochaines années. Les habitants seront les premiers réfugiés climatiques des DROM-TOM.

  • France Inter a republié ceci

    Comme tous les pays au monde, la Chine observe l’élection présidentielle américaine en se demandant quel résultat elle préfère. La différence avec le reste du monde, c’est que Pékin sait que Républicains et Démocrates ne sont d’accord que sur un point : contenir l’essor de la Chine, l’empêcher de devenir la première puissance mondiale. Alors lorsque Jake Sullivan, le Conseiller national à la Sécurité de la Maison Blanche, est en visite à Pékin, il a droit à une rencontre avec le président Xi Jinping et le sujet de l’élection est au menu. Selon la partie américaine, Sullivan, l’homme de confiance de Joe Biden, a assuré hier le numéro un chinois que si elle était élue, Kamala Harris gèrerait la relation sino-américaine de manière « responsable ». Sous-entendu clair : c’est moins sûr avec Donald Trump. Être « responsable », c’est tout l’enjeu de ces entretiens sino-américains. Ca fait deux ans que Washington et Pékin tentent de définir un « code de conduite », une manière d’être en rivalité sans nécessairement se faire la guerre. Deux ans que les tensions ne cessent pourtant de monter autour des enjeux-clé de cette relation : Taiwan, la technologie, la Mer de Chine méridionale. La suite de ma chronique Géopolitique du 7/10 de France Inter est à retrouver ici 👇 https://lnkd.in/eqsvwGw4

  • France Inter a republié ceci

    Samedi dernier dans la localité de Barsalogho, dans le nord du Burkina Faso, plusieurs centaines de paysans ont été tués par des djihadistes, jusqu’à 400 selon certaines informations. Mitraillés à la kalachnikov par des hommes affiliés à Al Qaeda, surgis à moto sur les pistes arides du Sahel ; massacrés alors qu’ils creusaient une tranchée de protection sur ordre du gouvernement. C’est le plus grand massacre jamais recensé au Burkina Faso, un pays sans grandes ressources, plongé depuis des années dans la guerre de déstabilisation menée par des groupes terroristes. Une guerre qui a fait plus de 11.000 morts depuis l’arrivée au pouvoir de la junte militaire du capitaine Ibrahim Traoré, il y a bientôt deux ans. Le mois dernier, c’est le Mali qui a connu un bilan de même ampleur, à Tinzawaten, près de la frontière algérienne. Cette fois, les auteurs sont des rebelles séparatistes, et parmi les victimes, des dizaines de mercenaires russes du groupe Wagner, rebaptisé Afrika Corps. Le départ des troupes françaises voulu par les pays du Sahel -Mali, Burkina Faso et Niger- après une longue intervention frustrante, devait permettre aux juntes militaires au pouvoir d’ouvrir une nouvelle ère. Les résultats ne sont pas au rendez-vous. La suite de ma chronique Géopolitique du 7/10 de France Inter est à retrouver ici 👇

    Au Sahel, les massacres de civils signent l’impasse des régimes militaires

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