Daluis
Daluis | |||||
Village de Daluis avec quelques oliviers abandonnés en contrebas. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Nice | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Alpes d'Azur | ||||
Maire Mandat |
Guy Maunier 2020-2026 |
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Code postal | 06470 | ||||
Code commune | 06053 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Daluisiens | ||||
Population municipale |
143 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 3,6 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 01′ 28″ nord, 6° 48′ 36″ est | ||||
Altitude | Min. 590 m Max. 2 502 m |
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Superficie | 40,03 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Vence | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Daluis est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Daluisiens.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Daluis est située à 11 km de Guillaumes et 13 km d'Entrevaux.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]-
Périmètre de la Réserve naturelle régionale des gorges de Daluis des gorges de Daluis[1].
-
Les Gorges de Daluis et le haut-Var.
Les gorges de Daluis sont creusées par le Haut-Var dans des sols de pélite rouge. Elles ont été taillées par le Var dans l'extrémité ouest du dôme de Barrot.
Le dôme de Barrot correspond à une remontée de socle paléozoïque qui fait affleurer une épaisse série permienne[2].
Les derniers oliviers cultivés en remontant le Var se trouvaient en contrebas du village (voir la photo supra)[3].
Sismicité
[modifier | modifier le code]Commune située dans une zone de sismicité moyenne[4],[5].
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Cours d'eau traversant la commune :
- Le Var (fleuve),
- 7 ruisseaux,
- Source du Chaudun,
- La grotte du Chat, rivière souterraine de 720 m de long, est particulièrement photogénique.
La commune a engagé un schéma directeur d'assainissement collectif[6].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 052 mm, avec 5,6 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Péone », sur la commune de Péone à 13 km à vol d'oiseau[9], est de 7,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 013,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 31 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15,5 °C, atteinte le [Note 1],[10],[11].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Commune membre de la Communauté de communes Alpes d'Azur et du Pays des Vallées d’azur Mercantour.
Depuis le 1er janvier 2014, Daluis fait en effet partie de la communauté de communes des Alpes d'Azur. Elle était auparavant membre de la communauté de communes de Cians Var, jusqu'à la disparition de celle-ci lors de la mise en place du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'une carte communale approuvée[14].
Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Daluis est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16] et hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (50,2 %), forêts (25,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (24,3 %)[19].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]-
Pont de la D 316 vers La Vignasse et Saint-Léger. Village de Daluis en arrière-plan. En arrière-plan, les roches rouges du Dôme de Barrot.
-
Vallée du Haut-Var près de Daluis - Pont de la D 316 vers la Vignasse.
-
En aval du pont de la Faille à Daluis.
-
Roche affectant la forme d'une figure féminine, communément appelée "La tête de femme", "Gardienne des Gorges".
-
Les Gorges de Daluis et le haut-Var.
Voies routières
[modifier | modifier le code]Village desservi par la route nationale 202 puis, à Pont de Gueydan, prendre la direction Guillaumes - Col de la Cayolle.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
- Réseau régional ZOU[20]
- Train des Pignes : Gare du Sud – Nice / Digne, arrêt Entrevaux (13 km d'Entrevaux)[21].
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- L’agriculture et l’élevage[22].
- Producteurs truffiers.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Auberge des Gorges de Daluis.
- Hôtels et gîtes à Sausses, Guillaumes, Entrevaux.
- Camping à Guillaumes.
Commerces
[modifier | modifier le code]- Commerces ambulants[23].
- Commerces de proximité à Guillaumes, Entrevaux.
- Les mines de cuivre de Roua, situées sur les communes de Guillaume et de Daluis, ont fourni une grande variété de minerais[24].
Histoire
[modifier | modifier le code]Après la conquête romaine (achevée en 14 av. J.-C.), Auguste organise les Alpes en provinces. Le territoire de l’actuelle commune de Daluis dépend de la province des Alpes-Maritimes et est rattaché à la civitas de Glanate (Glandèves). À la fin de l’Antiquité, le diocèse de Glandèves reprend les limites de cette civitas[25].
La cité apparaît sous le nom de « Castrum de Adalueiso », puis de « Adalosio » au XIIIe siècle, puis Adaluys ou Addaluys, Adaluy (provençal).
En 1348, le 18 février, signature de l'acte d'habitation de Daluis signé avec le seigneur de Barrême.
En 1388, après la mort de la reine Jeanne, à la différence des autres parties de l'est de la Provence qui rendront hommage au comte de Savoie, Daluis, comme Guillaumes, Entrevaux et Sausses se déclareront fidèles aux comtes de Provence de la maison d'Anjou. En 1481, comme le reste de la Provence, Louis XI étant héritier du dernier comte de Provence, Daluis a été intégré au royaume de France.
En 1760, un traité entre la France et le roi de Sardaigne rectifie la frontière et place Daluis et Guillaumes dans le comté de Nice.
Daluis faisait alors partie du diocèse d’Entrevaux, et de la viguerie de Guillaumes.
Pendant la guerre des Alpes, entre la France républicaine et le royaume de Piémont-Sardaigne, le général autrichien de Wins qui commande l'armée austro-sarde établit un poste de commandement à Daluis en 1793.
À partir du 18 juillet 1944, les troupes allemandes installées à Touët-sur-Var lancent des attaques contre les maquis des Forces françaises de l'intérieur (FFI) par les vallées du Haut-Var et du Cians. Ces premières attaques ayant échoué, elles reprennent le lendemain par les crêtes. Les maquisards débordés abandonnent leurs positions près de Daluis pour remonter vers Guillaumes puis vers Entraunes.
Les Templiers et les Hospitaliers
[modifier | modifier le code]La cité appartient à la branche de Daluis de la famille de Castellane-Villeneuve. Elle sera ensuite une dépendance des Templiers et, après leur condamnation, aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. La cité appartiendra enfin aux Villeneuve-Beauregard.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | ||
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2018
[modifier | modifier le code]En 2018, le budget de la commune était constitué ainsi[28] :
- total des produits de fonctionnement : 194 000 €, soit 1 313 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 192 000 €, soit 1 295 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 59 000 €, soit 397 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 19 000 €, soit 130 € par habitant ;
- endettement : 25 000 €, soit 170 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 16,74 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 6,91 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 11,70 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 16 130 €[29].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].
En 2021, la commune comptait 143 habitants[Note 2], en évolution de −3,38 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : 1,99 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements dépendant de l'Académie de Nice[34] :
- École maternelle,
- École primaire,
- Collège à Puget-Théniers,
- Lycée à Valdeblore.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[35] :
- Médecins à Entrevaux, Guillaume, Puget-Théniers,
- Pharmacies à Entrevaux, Guillaume,
- Hôpitaux à Puget-Théniers, Villars-sur-Var.
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Paroisse Saint-Jean-Baptiste[36], Diocèse de Nice.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Patrimoine religieux :
- Église Saint Célestin, reconstruite à la fin du XIXe siècle, après le tremblement de terre[37],
- Chapelle du hameau de Saint-Martin[38],
- Ruine chapelle Sainte Trinité Haute Salette[39],[40],
- Chapelle privée Sainte Pétronille,
- Oratoires Saint-Jacques de la Pinéa[41], Saint Jean,
- Le Monument aux morts[42].
Autres patrimoines :
- Ruines du château, cité vers 1200 et 1252, détruit au XIVe siècle. Il est restauré au XVe siècle et en ruine en 1793[43],
- La Grotte du Chat, avec environ 800 m de galeries.
Sports de nature
[modifier | modifier le code]- Le saut à l'élastique à partir du pont de la Mariée[44].
-
Saut à l'élastique depuis le pont de la Mariée, au nord des gorges.
-
Saut à l'élastique depuis le pont de la Mariée, au nord des gorges.
-
Saut à l'élastique depuis le pont de la Mariée, au nord des gorges.
- Le canyoning[45],[46],[47] dans le vallon et la clue d'Amen, qui débouche au milieu des gorges de Daluis, en rive gauche.
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Descente finale de la clue d'Amen en rive gauche des gorges de Daluis.
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Descente finale de la clue d'Amen en rive gauche des gorges de Daluis.
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Descente finale de la clue d'Amen en rive gauche des gorges de Daluis.
-
Descente finale de la clue d'Amen en rive gauche des gorges de Daluis.
- La spéléologie[48] : la grotte du Chat.
-
Plan de la grotte du Chat (Yves Créach).
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Célestin Freinet fit un remplacement à l'école de Daluis lors de sa première année d'enseignement, du 28 avril 1919 à la fin du mois de juillet. Il logeait à l'auberge en bord de route.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Découverte des gorges de Daluis
- Université de Brest : Le Permien et le Trias du Dôme de Barrot
- Paul Ozenda, Végétation des Alpes sud-occidentales : notice détaillée des feuilles 60 Gap, 61 Larche, 67 Digne, 68 Nice, 75 Antibes, Paris, Éditions du CNRS, , 258 p. (ISBN 2-222-02867-1), p. 101
- Didacticiel de la réglementation parasismique
- Zonage administratif (ancien nouveau)
- Schéma directeur d'assainissement collectif
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Daluis et Péone », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Péone », sur la commune de Péone - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Péone », sur la commune de Péone - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- État d'avancement des documents d'urbanisme, données SuDoCuH au 01/01/2018
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Réseau régional ZOU
- Ligne du train des Pignes
- L’agriculture et l’élevage
- Commerces ambulants
- A la découverte de la géologie Cians/Daluis, par Cédric Nicolas
- Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
- « Daluis », sur fr.geneawiki.com (consulté le ).
- « Daluis », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Saint-Jean-Baptiste
- Église Saint Célestin
- Chapelle Saint Martin
- Chapelles répertoriées la commune
- Chapelle Saint-Martin
- Oratoire Saint-Jacques, p.27
- Monument aux morts : Conflits commémorés 1914-1918 - 1939-1945
- Ruines du château
- Crétin R., Boyer F.: Guiide Loisirs et plein-air - Provence, Les 400 coups Ed., Nice, 1999, (ISBN 2-9512137-3-5)
- Folléas Ch., Gimenez B. : Canyons d'Aventures des préalpes d'Azur***, Les doigts déglingués Ed., Grasse, 2004, (ISBN 2-9520452-0-8),
- Barbier B., Ranc B.: Canyons mediterranées. GAP Ed., 1996, (ISBN 2-7417-0178-4)
- Ayasse H. : 30 beaux canyons des Alpes du Sud, Edisud, 2000, (ISBN 2-7449-0156-3)
- Créach Yves : Inventaire Spéléologique des Alpes-Maritimes, CEF éd., Nice 198, Tome II, p.338-340.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Philippe de Beauchamp, Haut pays méconnu. Villages & hameaux isolés des Alpes-Maritimes, p. 113, Éditions Serre, Nice, 1989 (ISBN 2-86410-131-9) ; p. 159
- Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. I : Cantons d'Antibes à Levens, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 504 p. (ISBN 2-84234-071-X)Canton de Guillaumes, Daluis, pp. 413 à 414
- sous la direction de Colette Bourrier-Reynaud, La vallée du Var. Route des vignobles d'hier et des vins d'aujourd'hui, Nice, Serre Editeur, , 40 p. (ISBN 2-86410-314-1)Daluis, pp. 26 à 29 Syndicat mixte touristique des Alpes d'Azur (SITALPA). Ouvrage collectif coordonné par Colette Bourrier-Reynaud, présidente du SITALPA. L'Ancre Solaire
- Daluis, sur departement06.fr/patrimoine-par-commune/
- Daluis, sur montnice.fr/
- daluis sur Provence 7
- Daluis : le Comté de Nice en 1850, Daluis Entrevaux en 1795, La Cayolle Daluis en 1795 sur archeo-alpi-maritimi.com/
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3)Dluis, p. 405
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Réserve naturelle régionale des gorges de Daluis
- Haut-Var (région)
- Dôme de Barrot
- Liste des communes des Alpes-Maritimes
- Liste des anciennes communes des Alpes-Maritimes
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Daluis sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes