Utilisateur:Lofhi/Brouillon
Cédric Perrin - Cédric Perrin signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Mathieu Darnaud - Mathieu Darnaud signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Philippe Bas - Philippe Bas signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Ian Boucard - Ian Boucard signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Laurent Wauquiez - Laurent Wauquiez signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Pascal Allizard - Pascal Allizard signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Marie-Do Aeschlimann - Marie-Do Aeschlimann signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Jean-Claude Anglars - Jean-Claude Anglars signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Jean Bacci - Jean Bacci signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Valérie Bazin-Malgras - Valérie Bazin-Malgras signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Arnaud Bazin - Arnaud Bazin signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Thibault Bazin - Thibault Bazin signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Marie-Jeanne Bellamy - Marie-Jeanne Bellamy signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Catherine Belrhiti - Catherine Belrhiti signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Jean-Didier Berger - Jean-Didier Berger signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Martine Berthet - Martine Berthet signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Étienne Blanc - Étienne Blanc signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Jean-Baptiste Blanc - Jean-Baptiste Blanc signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Anne-Laure Blin - Anne-Laure Blin signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
François Bonhomme - François Bonhomme signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Christine Bonfanti-Dossat - Christine Bonfanti-Dossat signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Sylvie Bonnet - Sylvie Bonnet signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Michel Bonnus - Michel Bonnus signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Alexandra Borchio Fontimp - Alexandra Borchio Fontimp signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Gilbert Bouchet - Gilbert Bouchet signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Valérie Boyer - Valérie Boyer signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Jean-Marc Boyer - Jean-Marc Boyer signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Max Brisson - Max Brisson signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Fabrice Brun - Fabrice Brun signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Christian Bruyen - Christian Bruyen signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Laurent Burgoa - Laurent Burgoa signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Christian Cambon - Christian Cambon signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
François-Xavier Ceccoli - François-Xavier Ceccoli signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Anne Chain-Larché - Anne Chain-Larché signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Patrick Chaize - Patrick Chaize signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Alain Chatillon - Alain Chatillon signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Guillaume Chevrollier - Guillaume Chevrollier signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Marie-Carole Ciuntu - Marie-Carole Ciuntu signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Pierre Cordier - Pierre Cordier signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Josiane Corneloup - Josiane Corneloup signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Pierre Cuypers - Pierre Cuypers signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Chantal Deseyne - Chantal Deseyne signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Marta de Cidrac - Marta de Cidrac signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Patricia Demas - Patricia Demas signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Fabien Di Filippo - Fabien Di Filippo signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Julien Dive - Julien Dive signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Virginie Duby-Muller - Virginie Duby-Muller signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Catherine Dumas - Catherine Dumas signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Françoise Dumont - Françoise Dumont signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Laurent Duplomb - Laurent Duplomb signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Sabine Drexler - Sabine Drexler signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Dominique Estrosi Sassone - Dominique Estrosi Sassone signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Agnès Evren - Agnès Evren signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Jacqueline Eustache-Brinio - Jacqueline Eustache-Brinio signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Gilbert Favreau - Gilbert Favreau signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Christophe-André Frassa - Christophe-André Frassa signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Fabien Genet - Fabien Genet signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Frédérique Gerbaud - Frédérique Gerbaud signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Béatrice Gosselin - Béatrice Gosselin signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Sylvie Goy-Chavent - Sylvie Goy-Chavent signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Daniel Gremillet - Daniel Gremillet signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Jacques Grosperrin - Jacques Grosperrin signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Justine Gruet - Justine Gruet signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Pascale Gruny - Pascale Gruny signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Daniel Guéret - Daniel Guéret signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Michel Herbillon - Michel Herbillon signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Alain Houpert - Alain Houpert signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Jean-Raymond Hugonet - Jean-Raymond Hugonet signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Corinne Imbert - Corinne Imbert signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Lauriane Josende - Lauriane Josende signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Else Joseph - Else Joseph signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Muriel Jourda - Muriel Jourda signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Alain Joyandet - Alain Joyandet signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Roger Karoutchi - Roger Karoutchi signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Khalifé Khalifé - Khalifé Khalifé signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Christian Klinger - Christian Klinger signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Florence Lassarade - Florence Lassarade signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Daniel Laurent - Daniel Laurent signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Christine Lavarde - Christine Lavarde signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Corentin Le Fur - Corentin Le Fur signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Dominique de Legge - Dominique de Legge signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Ronan Le Gleut - Ronan Le Gleut signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Henri Leroy - Henri Leroy signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Stéphane Le Rudulier - Stéphane Le Rudulier signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Vivette Lopez - Vivette Lopez signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Viviane Malet - Viviane Malet signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Didier Mandelli - Didier Mandelli signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Olivier Marleix - Olivier Marleix signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Pauline Martin - Pauline Martin signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Alexandra Martin - Alexandra Martin signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Thierry Meignen - Thierry Meignen signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Frédérique Meunier - Frédérique Meunier signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Damien Michallet - Damien Michallet signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Brigitte Micouleau - Brigitte Micouleau signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Alain Milon - Alain Milon signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Philippe Mouiller - Philippe Mouiller signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Laurence Muller-Bronn - Laurence Muller-Bronn signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Georges Naturel - Georges Naturel signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Anne-Marie Nédélec - Anne-Marie Nédélec signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Yannick Neuder - Yannick Neuder signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Louis-Jean de Nicolaÿ - Louis-Jean de Nicolaÿ signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Sylviane Noël - Sylviane Noël signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Claude Nougein - Claude Nougein signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Olivier Paccaud - Olivier Paccaud signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Jean-Jacques Panunzi - Jean-Jacques Panunzi signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Éric Pauget - Éric Pauget signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Philippe Paul - Philippe Paul signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Cyril Pellevat - Cyril Pellevat signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Clément Pernot - Clément Pernot signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Christelle Petex-Levet - Christelle Petex-Levet signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Stéphane Piednoir - Stéphane Piednoir signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Rémy Pointereau - Rémy Pointereau signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Kristina Pluchet - Kristina Pluchet signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Frédérique Puissat - Frédérique Puissat signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Jean-François Rapin - Jean-François Rapin signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Nicolas Ray - Nicolas Ray signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Olivier Rietmann - Olivier Rietmann signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Hervé Reynaud - Hervé Reynaud signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Bruno Rojouan - Bruno Rojouan signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Michel Savin - Michel Savin signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Hugues Saury - Hugues Saury signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Stéphane Sautarel - Stéphane Sautarel signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Elsa Schalck - Elsa Schalck signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Bruno Sido - Bruno Sido signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Jean Sol - Jean Sol signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Francis Szpiner - Francis Szpiner signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Laurent Somon - Laurent Somon signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Michèle Tabarot - Michèle Tabarot signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Philippe Tabarot - Philippe Tabarot signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Jean-Pierre Taite - Jean-Pierre Taite signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Sylvie Valente-Le Hir - Sylvie Valente-Le Hir signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Anne Ventalon - Anne Ventalon signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Cédric Vial - Cédric Vial signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Jean-Pierre Vigier - Jean-Pierre Vigier signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
Jean Pierre Vogel - Jean Pierre Vogel signe un texte avec une centaine de parlementaires Les Républicains (LR) en soutien à Bruno Retailleau[1] — alors nommé comme ministre de l'Intérieur au gouvernement minoritaire Michel Barnier — quelques jours après les critiques du parti présidentiel et les oppositions de gauche suite à sa déclaration le décrivant que l'État de droit n'est ni « intangible, ni sacré »[2],[3],[4],[5]. La tribune LR étaye cette position en argumentant que « l'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé »[1].
- Texte collectif de parlementaires Les Républicains, « «L'État de droit est essentiel à la démocratie, mais il n'a jamais été figé» : l’appel de 170 parlementaires en soutien à Bruno Retailleau » , Le Figaro, (consulté le )
- Florian Mattern, « Avec ses propos sur l’État de droit, Bruno Retailleau “fait tanguer dans la macronie” » , Courrier international, (consulté le )
- Claire Gatinois et Alexandre Pedro, « Retailleau provoque le malaise chez les macronistes : Le ministre de l’intérieur a enflammé le camp présidentiel avec ses propos remettant en cause l’État de droit », Le Monde, , p. 10 (lire en ligne , consulté le )
- Nathalie Birchem, « L’État de droit, un fondement de la démocratie de plus en plus remis en cause : Le ministre de l’intérieur Bruno Retailleau a déclaré que, en matière d’immigration, l’état de droit n’était « pas intangible, ni sacré » », La Croix, , p. 9 (lire en ligne , consulté le )
- Sacha Sydoryk Sydoryk (maître de conférences en droit public), Jean-Paul Markus (professeur de droit public) et Étienne Merle, « L’État de droit est-il ni “intangible ni sacré”, comme l’affirme Bruno Retailleau ? » , sur Les Surligneurs, (consulté le )