Reyersviller
Reyersviller | |
L'église Saint-Bernard. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Sarreguemines |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Bitche |
Maire Mandat |
Joëlle Wey 2020-2026 |
Code postal | 57230 |
Code commune | 57577 |
Démographie | |
Gentilé | Reyersvillerois |
Population municipale |
376 hab. (2021 ) |
Densité | 45 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 02′ 32″ nord, 7° 23′ 44″ est |
Altitude | Min. 266 m Max. 428 m |
Superficie | 8,32 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Bitche (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Bitche |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
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Reyersviller [ʁejɛʁsvilɛʁ] est une commune française du département de la Moselle en région Grand Est.
Village rural de Lorraine, du pays de Bitche et du bassin de vie de la Moselle-est, Reyersviller est situé à 55 km au nord-ouest de Strasbourg, dans le terroir du parc naturel régional des Vosges du Nord. En 2021, la population légale est de 376 habitants, appelés les Reyersvillerois.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Avec ses maisons dispersées en ordre lâche, le village de Reyersviller s'étire dans la vallée du Schwangerbach, à deux kilomètres au sud-ouest de la ville de Bitche.
Localités avoisinantes
[modifier | modifier le code]Frohmühl, Holbach | Le Légeret | Bitche | ||
Siersthal | N | Schwangerbach | ||
O Reyersviller E | ||||
S | ||||
Lambach, Glasenberg | Lemberg |
Écarts et lieux-dits
[modifier | modifier le code]- Le chêne des Suédois, sur la route de Siersthal, arbre aux branches duquel l'armée suédoise pendait ses prisonniers durant la guerre de Trente Ans.
- Schwangerbach, situé sur la route de Lemberg.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]- Le territoire de la commune est occupé par 85,9 % de forêts, 23 % de terres arables et 5,6 % de prairies[1].
Sismicité
[modifier | modifier le code]- Commune située dans une zone de sismicité faible[2].
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau Schwangerbach, le ruisseau Flegels et le ruisseau le Balsch[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de 1 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 943 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 10 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mouterhouse », sur la commune de Mouterhouse à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 954,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −23 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]- Départementale D 620 par Reyersviller-Schwanger.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Transports à la demande
[modifier | modifier le code]Lignes SNCF
[modifier | modifier le code]Transports aériens
[modifier | modifier le code]Les aéroports les plus proches sont :
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]- Au niveau intercommunal, la municipalité est intégrée dans la communauté de communes du Pays de Bitche qui regroupe 46 localités autour de Bitche.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Reyersviller est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bitche, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (85,3 %), zones urbanisées (6,8 %), prairies (5,6 %), terres arables (2,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Planification
[modifier | modifier le code]La Communauté de Communes du Pays de Bitche, en partenariat avec la Communauté d'agglomération Sarreguemines Confluences et les autres intercommunalités du Pays de l'arrondissement de Sarreguemines (anciennement pays de Sarreguemines-Bitche-Sarralbe), a décidé de concrétiser sa politique d’aménagement du territoire à travers un Schéma de cohérence territoriale[16].
Le , les élus communautaires ont approuvé les 2 PLUi du Pays de Bitche[17].
Toponymie
[modifier | modifier le code]- Ryswilre (1285), Reygerssweiller (1863), Reyerschweiller (1626), Rayersweiller (1681), Reigerswiller (XVIIIe siècle), Reiersweiller (1756), Reyerswiller (1771), Reyersweiller (1793), Reyersviller (1801), Reyersweiler (1871-1918), Reichersweiller (Delisle-carte du cours du Rhin).
- Reierschwiller en francique lorrain[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le village est mentionné pour la première fois en 1577 sous la forme Reihersweiler, de l'allemand Reiher qui signifie héron et du substantif weiler, qui désigne en allemand un hameau ou, en forêt, un lieu de repos voire une clairière. C'est en quelque sorte la clairière des hérons ou le hameau aux hérons. Reyersviller est donnée en gage en 1275 par le duc Ferry III de Lorraine à Henri de Fleckenstein, dont l'un des descendants, Balthazar, vendra en 1527 ses possessions dans ce lieu au comte Jacques de Deux-Ponts-Bitche. Le chêne des Suédois, sur la route menant à Siersthal, rappelle combien le pays et ses habitants ont été éprouvés durant la guerre de Trente Ans. C'est à ses branches que l'armée suédoise pendait les prisonniers.
Durant la Seconde Guerre mondiale, la commune est évacuée le à Ars, en Charente[19],[20]. Bombardée de décembre 1944 à mars 1945, l'agglomération subit des pertes considérables[21] et l'église Saint-Bernard est détruite.
Cultes
[modifier | modifier le code]Du point de vue spirituel, le village est succursale de la paroisse de Schorbach jusqu'en 1802, puis de celle de Bitche jusqu'en 1863, date de son érection en paroisse.
C'est de cette année-là que date la construction de l'église Saint-Bernard, dans le style néogothique[22]. Détruite complètement durant les bombardements de 1945, elle est reconstruite de 1956 à 1959 sur les plans de l'architecte bitchois Roger Sarraih.
- Culte catholique, Communauté de Paroisses de Saint-Bernard de Bitche[23], Diocèse de Metz.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Du point de vue administratif, le village est une commune du canton de Bitche depuis 1790.
Budget et fiscalité 2021
[modifier | modifier le code]En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[24] :
- total des produits de fonctionnement : 286 000 €, soit 756 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 223 000 €, soit 589 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 34 000 €, soit 90 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 53 000 €, soit 140 € par habitant ;
- endettement : 219 000 €, soit 580 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 8,02 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 24,67 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 105,35 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2019 : médiane en 2019 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 800 €[25].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].
En 2021, la commune comptait 376 habitants[Note 3], en évolution de 2,73 % par rapport à 2015 (Moselle : 0,52 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Vie locale
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[30] :
- École élémentaire,
- Collèges à Bitche, Lemberg,
- Lycées à Bitche.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[31] :
- Kinésithérapeute/ostéopathe situé au lieu-dit Schwangerbach au 64 rue de la fontaine.
- Bichler Julie, kinésithérapeute/ostéopathe,
- Médecins à Bitche,
- Pharmacies à Bitche,
- Hôpitaux à Bitche.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]-
Intérieur de l'Église Saint-Bernard. -
Chêne des Suédois.
-
Chêne des Suédois. Signalétique -
Monument aux morts. -
Grotte lourdes.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le chêne dit des Suédois sur la route vers Siersthal[32].
- L'ancien bunker de la ligne Maginot le long de la voie militaire.
- Le site botanique, en bordure de la route de Lemberg : pelouse abritant deux botryches, le botryche lunaire et le botryche à feuilles matricaires.
Édifices religieux
[modifier | modifier le code]- Église paroissiale Saint-Bernard 1re église. Ancienne filiale de Schorbach ; église construite en 1863, détruite en 1945, se trouvait 70 mètres plus au nord que l'église reconstruite, sur l'ancienne route de Bitche.
- L'église néo-gothique 2e église dédiée à saint Bernard[33], dont les travaux avaient débuté en 1956, a été consacrée le [34],[35].
- Les vitraux sont l'œuvre de Lev Vassilievitch Zack, dit Léon Zack et Irène Zack, d’origine russe.
- Les orgues sont l'œuvre du facteur Alfred Kern, et ont été installées en 1961[36].
- La statue de la Vierge Assomption, en tilleul polychrome et doré du XVIIIe siècle[37].
- Tombeaux du cimetière[38],[39],[40],[41],[42].
- Calvaires et croix de chemin[43].
- Le calvaire de type Bildstock, un des plus anciens du Bitscherland, sur la route reliant Bitche à Lemberg[44].
- Grotte de Lourdes[45],[46].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement :
Commentaires : Ce sont à dextre les armes des ducs de Lorraine, seigneurs de Reyersviller en tant que comtes de Bitche, et à senestre les armes de la famille de Fleckenstein, à laquelle les ducs ont remis en gage la seigneurie au Moyen Âge[49].
|
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- 81 ha de surface agricole utilisée (SAU) totale exploités par 5 exploitations différentes dont 3 ont leur siège social sur une autre commune[50].
- Sylviculture et autres activités forestières.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Restauration :
- Restaurant de la Vallée - Cuisine traditionnelle,
- Le Marronnier - Cuisine Gastronomique,
- Au Relais - Restaurant routier.
- Gîte.
Commerces et artisanat
[modifier | modifier le code]- Artisanat :
- Commerces locaux à Bitche, Sarreguemines.
- Parfumerie, Cosmétique.
Associations
[modifier | modifier le code]- Scouts et Guides de France Groupe du Pays de Bitche, installé dans la salle du presbytère rue de l'église. Le groupe SGDF du Pays de Bitche a été créé en 2008 par le curé du village. Le groupe est composé de 3 unités :
- Les louveteaux et jeannettes de 8 à 11 ans (Le goût du jeu)
- Les scouts et guides de 12 à 14 ans (le goût de l'aventure)
- Les pionniers et caravelles de 15 à 17 ans (le goût d'entreprendre)
Le groupe a en projet la création d'une unité de farfadets, enfants de 6 à 8 ans.
Le groupe accueille des jeunes et moins jeunes qui souhaitent s'engager dans le mouvement et devenir encadrant du groupe, ou chef dans les unités.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Reyersviller sur le site du Bitscherland
- Les moulins et scieries du Pays de Bitche, Joël Beck, 1999.
- Le Pays de Bitche 1900-1939, Joël Beck, 2005.
- Marie-France Acops, Jacques Guillaume, Didier Hemmert, Le Pays de Bitche (Moselle), Metz, Éditions Serpenoise, p. 100
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la Région
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Reyersviller » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Occupation du sol
- Didacticiel de la réglementation parasismique
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Reyersviller et Mouterhouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mouterhouse », sur la commune de Mouterhouse - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mouterhouse », sur la commune de Mouterhouse - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- Transports à la demande Grand Est 54
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Reyersviller ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bitche », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Aménagement du territoire (SCOT)
- PLUi
- Geoplatt
- L'évacuation de la zone rouge du département de la Moselle en 1939-1940 vers les Charente et la Vienne, par M. Henri Hiégel
- Un exil intérieur : l’évacuation des Mosellans de septembre 1939 à octobre 1940, par Jean-Claude Bastian
- Vues anciennes de Reyersviller
- Église Saint-Bernard de Reyersviller
- Communauté de Paroisses de Saint-Bernard de Bitche
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Le Chêne des Suédois à Reyersviller : souvenir vivant des horreurs de la guerre de Trente-Ans dans le Pays de Bitche
- Église Saint-Bernard de Reyersviller
- « Église paroissiale Saint-Bernard », notice no IA00037999, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Église paroissiale Saint-Bernard », notice no IA00038000, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Orgue Alfred Kern (1961)
- « Statue (petite nature) : Vierge de l'Assomption », notice no IM57001097, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Tombeaux du cimetière
- La tombe du curé Brunagel
- « Tombeau de la famille Lehrer », notice no IA00038010, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Tombeau du curé M. Brunagel », notice no IA00038008, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Tombeau de la famille Brunagel-Koelsch », notice no IA00038009, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Calvaires et croix de chemin
- « Croix monumentale », notice no IA00037907, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Liste de répliques de la grotte de Lourdes
- Les grottes de Lourdes en Moselle-Est. Reyersviller : Une grotte privée
- Nouvelle église : Le Chanoine honoraire Joseph Nulland, nommé curé en 1953
- L'abbé Joseph Nullans
- Armes de Reyersviller
- Diagnostic agricole : Reyersviller - PLUis du Pays de Bitche
- Vitrerie Siebering
- La Vitrerie Siebering