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Gimat

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Gimat
Gimat
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Intercommunalité Communauté de communes de la Lomagne Tarn-et-Garonnaise
Maire
Mandat
Bernard Diana
2020-2026
Code postal 82500
Code commune 82068
Démographie
Gentilé Gimatois, Gimatoise
Population
municipale
248 hab. (2021 en évolution de  12,73 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 51′ 10″ nord, 0° 56′ 36″ est
Altitude 110 m
Min. 106 m
Max. 202 m
Superficie 10,1 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Beaumont-de-Lomagne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beaumont-de-Lomagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Gimat
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Gimat
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Gimat

Gimat [ʒimat] est une commune française située dans le sud-ouest du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Lomagne, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de vicomté, surnommée « Toscane française ».

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Gimone, la Baysole, le riou Grand, le ruisseau de Caravêche, le ruisseau de Maravat et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Gimat est une commune rurale qui compte 248 habitants en 2021. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Beaumont-de-Lomagne. Ses habitants sont appelés les Gimatois ou Gimatoises.

Géographie

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Localisation

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Commune située en Lomagne sur l'ancienne route nationale 128, entre Beaumont-de-Lomagne et Mauvezin.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Auterive, Beaumont-de-Lomagne, Cumont, Esparsac, Faudoas, Glatens, Lamothe-Cumont et Marignac.

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Gimat.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par la Gimone, la Baysole, Riou Grand, le ruisseau de Caravêche, le ruisseau de Maravat, un bras de la Gimone, le ruisseau de Dubernet, le ruisseau du Ruble et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[3],[Carte 1]. La Gimone, d'une longueur totale de 136 km, prend sa source dans la commune de Saint-Loup-en-Comminges et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Castelferrus, après avoir traversé 54 communes[4].

La Baysole, d'une longueur totale de 10,2 km, prend sa source dans la commune de Castéron et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle se jette dans la Gimone sur le territoire communal, après avoir traversé 7 communes[5].

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 734 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sérignac », sur la commune de Sérignac à 10 km à vol d'oiseau[8], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,4 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −18,9 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité

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Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 2] est recensée sur la commune[13] : le « cours de la Gimone et de la Marcaoue » (3 085 ha), couvrant 60 communes dont cinq dans la Haute-Garonne, 37 dans le Gers, une dans les Hautes-Pyrénées et 17 dans le Tarn-et-Garonne[14].

Au , Gimat est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beaumont-de-Lomagne, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,9 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %), prairies (2,9 %), forêts (1,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La ligne 933 du réseau liO relie la commune à Montauban et à Auch[16].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Gimat est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Gimone et la Baysole. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[19]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1993, 1999, 2013 et 2015[20],[17].

Gimat est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 4],[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gimat.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[22].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 93 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 93 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1998, 2002, 2003 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[25].

La commune est en outre située en aval du barrage de la Gimone, un ouvrage de classe A[Note 5] situé dans les départements de Haute-Garonne et du Gers sur la rivière Gimone et disposant d'une retenue de 25 millions de mètres cubes[27]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[28].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1793 1794 Jean Bousquet    
1794 1797 Pierre Duran    
1797 1807 Jean Coudoung    
1807 1815 Saint-Sardos-Pechey    
1815 1830 Jean Coudoung    
1830 1852 Jean-Pierre Coudoung    
1852 1855 Jacques Capmartin    
1855 1860 Jean-Antoine Abadie    
1860 1888 Jean Coudoung    
1888 1918 Théodore Tartanac    
1918 1944 Edouard Dumouch    
1944 1989 Henri Fontagnere    
1989 2001 André Roujean    
2001 2008 Pierre Granier   Fonctionnaire de l'État
mars 2008 En cours
(au 16 juillet 2014[29])
Bernard Diana DVD Fonctionnaire de l'État
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31]. En 2021, la commune comptait 248 habitants[Note 6], en évolution de 12,73 % par rapport à 2015 (Tarn-et-Garonne : 3,17 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
289458295325316331335344349
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
345333340299320318300320305
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
308305285239260268254223240
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
208199164133135182176172208
2018 2021 - - - - - - -
235248-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2018, la commune compte 85 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 217 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 260 [I 5] (20 140  dans le département[I 6]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 7,1 % 10,6 % 4,1 %
Département[I 8] 8,4 % 10,2 % 10,3 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 145 personnes, parmi lesquelles on compte 79,3 % d'actifs (75,2 % ayant un emploi et 4,1 % de chômeurs) et 20,7 % d'inactifs[Note 8],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Beaumont-de-Lomagne, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 46 emplois en 2018, contre 38 en 2013 et 37 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 110, soit un indicateur de concentration d'emploi de 42,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 64,4 %[I 11].

Sur ces 110 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 24 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 80,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,8 % les transports en commun, 3,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture

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24 établissements[Note 9] sont implantés à Gimat au [I 14]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 24 entreprises implantées à Gimat), contre 14,9 % au niveau départemental[I 15].

Agriculture

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1988 2000 2010 2020
Exploitations 24 15 11 6
SAU[Note 10] (ha) 1 022 776 746 538

La commune est dans la Lomagne, une petite région agricole située dans le sud-ouest du département de Tarn-et-Garonne[34]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (24 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 538 ha[36],[Carte 6],[Carte 7].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[26].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[35].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Gimat » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Gimat ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beaumont-de-Lomagne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Gimat » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Gimat » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Gimat » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Gimat » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche communale de Gimat », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  4. Sandre, « la Gimone »
  5. Sandre, « la Baysole »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Gimat et Sérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Sérignac », sur la commune de Sérignac - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Sérignac », sur la commune de Sérignac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Gimat », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF le « cours de la Gimone et de la Marcaoue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Lignes régulières dans le Tarn-et-Garonne », sur liO : Service Public Occitanie Transports (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Gimat », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  21. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  22. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Gimat », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  26. Article R214-112 du code de l’environnement
  27. « Barrage de la Gimone », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  28. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne », sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  29. Tableau des électeurs pour les élections sénatoriales, Préfecture de Tarn-et-Garonne, 16 juillet 2014, [lire en ligne], p. 14.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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