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Buchères

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Buchères
Buchères
Le monument aux martyrs du 24 août 1944.
Blason de Buchères
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Aube
Arrondissement Troyes
Intercommunalité Troyes Champagne Métropole
Maire
Mandat
Philippe Gundall
2020-2026
Code postal 10800
Code commune 10067
Démographie
Gentilé Bucherois, Bucheroises
Population
municipale
1 895 hab. (2021 en évolution de  19,86 % par rapport à 2015)
Densité 265 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 14′ 01″ nord, 4° 06′ 56″ est
Altitude Min. 111 m
Max. 133 m
Superficie 7,14 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Troyes
(banlieue)
Aire d'attraction Troyes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vendeuvre-sur-Barse
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Buchères
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Buchères
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Buchères

Buchères est une commune de l'Aube (région Grand Est, France).

Géographie

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Le territoire est arrosé par l'Hozain, traversé par la D 44, la D 671 et l'autoroute A5 (France) ainsi que par la voie de chemin de fer.

Topographie

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Au cadastre de 1828, sont cités : les Bordes, le Champ-Rond, les Charmes, Courgerenne, la Fontaine-Merlin, Maison-Blanche et Villetard.

Buxerie, est cité dans un cartulaire de l'abbaye Saint-Loup de Troyes, en 1164.

Voies de communication et transports

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Depuis janvier 2011, la commune dispose d'une ligne de bus qui la traverse. Elle appartient au réseau de la TCAT, avec une amplitude d'environ trente minutes.

Hydrographie

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La commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Seine, l'Hozain, un bras de la Seine, le canal 01 du Château de Villebertin, le cours d'eau 01 de la Planche, le Roset et divers autres petits cours d'eau[1],[Carte 1].

La Seine, un fleuve long de 775 km[2], coule dans le Bassin parisien et notamment dans le département de l’Aube en le traversant du sud-est au nord-ouest. Elle longe la commune sur son flanc est.

L'Hozain, d'une longueur de 25 km, prend sa source dans la commune de Lantages et se jette dans la Seine à Bréviandes, après avoir traversé douze communes[3].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Buchères[Note 1].

Sept plans d'eau complètent le réseau hydrographique : le plan d'eau 1 de la commune de Buchères (2,5 ha), le plan d'eau 2 de la commune de Buchères (10,8 ha), le plan d'eau 3 de la commune de Buchères (1,3 ha), le plan d'eau 4 de la commune de Buchères (0,6 ha), le plan d'eau 5 de la commune de Buchères, d'une superficie totale de 1 ha (0,8 ha sur la commune), le plan d'eau 6 de la commune de Buchères, d'une superficie totale de 1,7 ha (0,5 ha sur la commune) et les Charmants (3 ha)[Carte 1],[4].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Pouange », sur la commune de Saint-Pouange à 5 km à vol d'oiseau[7], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 707,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,2 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −21 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Au , Buchères est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Troyes, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Troyes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 4],[I 5].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (71,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,8 %), zones urbanisées (21,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (21,2 %), forêts (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), prairies (4,6 %), eaux continentales[Note 4] (2,7 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

La commune a connu des populations depuis le Néolithique avec en particulier une fosse d'inhumation d'une trentaine d'individus au Parc logistique de l'Aube[13]. Sur la route romaine de Troyes à Vertault, a été mise au jour une tombelle celtique. Buchères était au comte de Champagne qui en 1275 levait une mine d'avoine sur ceux qui n'étaient pas son homme et un quarteron d'avoine sur ceux qui l'étaient[14]. Le dernier seigneur connu est Louis-Marie Noel, capitaine au régiment des gardes de Lorraine.

En 1789, le village était de l'intendance et de la généralité de Châlons, de l'élection et du bailliage de Troyes, mais pour sa justice il relevait d'Aumont.

L'ancien château qui se situait près de l'église a été détruit lors de la Révolution française. Il y avait aussi celui qui est actuellement une ferme et qui donne encore une idée de la maison forte qui fut vendue en 1829 par la famille des Réaulx à M. Costel.

Plan du château et de ses alentours.

Hameau qui fut une seigneurie dépendant de Saint-Phal et de Villebertin. La partie de Saint-Phal s'étendait sur le finage de Moussey si la seigneurie de Villetard semble unie en 1249 sous André de Saint-Phal écuyer et vassal du comte de Champagne, par la suite elle semble divisée. La chapelle de Villetard se trouve décrite plus bas.

En 1814, lors de la Campagne de France au lieu-dit Maisons-Blanches eut lieu une bataille entre les troupes de Napoléon et l'Armée de Bohême. Le territoire était occupé par les campements des soldats en marche pour affronter l’armée ennemie. Napoléon aurait lui-même tendu un piège à Maisons Blanches faisant se ruer 20 000 cavaliers ennemis sur le hameau[15]

L' avant-garde autrichienne des divisions Bianchi et Lichteinstein, déboucha sur la route de Bar-sur-Seine, et força le poste des Maisons-Blanches : Napoléon y envoya la division Michel[16]. (Le 3 février 1814, aux Maisons-Blanches, Claude Étienne Michel chasse l'avant-garde commandée par le prince de Lichtenstein. Le lendemain, soutenu par les dragons du général Briche, il surprend les alliés à Saint-Thibault et malgré les forces supérieures dont ils disposent, les repousse jusqu'à Saint-Parres-lès-Vaudes)

Seconde Guerre mondiale

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Colonie scolaire à Courgerennes au début du XXe siècle.

Le , à la suite de la destruction la veille d'un side-car allemand par des FFI qui avaient installé un barrage pour couper la retraite des troupes allemandes, des hommes de 51e brigade SS de Panzergrenadiers du lieutenant Gelling rispostent en nombre, détruisent le village puis massacrent 68 personnes dont 10 enfants de moins de 10 ans, 5 personnes de plus de 70 ans, 35 femmes et des bébés de 18, 11, et 6 mois en représailles[17],[18]. Un mémorial est érigé sur la commune près de la route de Troyes, au lieu-dit Maisons Blanches. Il se présente sous la forme d’une lanterne des morts.

Le commandant de la 708è division d'infanterie, le général de division Edgar Arndt, eut le malheur d'être fait prisonnier par un détachement FFI du colonel « Montcalm » (Émile Alagiraude)[19] Il est capturé le 24 août 1944 ainsi que deux de ses camarades, Hauptmann Wilhelm Schöps et Oberleutnant Arthur Jordan[20] Ils sont exécutés le au château de Crogny. Cette exécution survient en représailles du massacre de Buchères perpétré par la 51e brigade de Panzergrenadiers SS.

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1995 ? Roland Thépenier DVD  
mars 2001 2018 Daniel Lebeau PS puis PRG Retraité
Conseiller général du canton de Bouilly (2004-2011)
démissionnaire
avril 2018 En cours Philippe Gundall[21]    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

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La commune fait partie de la communauté d'agglomération Troyes Champagne Métropole.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 1 895 habitants[Note 5], en évolution de 19,86 % par rapport à 2015 (Aube : 0,74 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
277408421446556570618634653
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
580552555508497490475426434
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
429458422435485533514483531
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
6027271 0721 3141 3281 3451 3941 3941 395
2015 2020 2021 - - - - - -
1 5811 8891 895------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2021, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,0 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,8 % la même année, alors qu'il est de 28,2 % au niveau départemental.

En 2021, la commune comptait 905 hommes pour 990 femmes, soit un taux de 52,24 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,30 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2021 en pourcentage[I 6]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou
1,2 
7,7 
75-89 ans
7,9 
17,9 
60-74 ans
19,8 
21,2 
45-59 ans
20,6 
18,2 
30-44 ans
18,3 
14,4 
15-29 ans
13,1 
19,7 
0-14 ans
19,1 
Pyramide des âges du département de l'Aube en 2021 en pourcentage[I 7]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou
2,1 
7,4 
75-89 ans
10,2 
17,4 
60-74 ans
18,4 
19,4 
45-59 ans
19 
17,8 
30-44 ans
17,3 
18,3 
15-29 ans
15,9 
19 
0-14 ans
17,1 

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église paroissiale se situe à Villetard sous le vocable de Notre-Dame a été bâtie de 1850 à 53. Elle remplace une ancienne chapelle connue dès le XIIIe siècle était à la collation du chapitre Saint-Pierre de Troyes et était une dépendance de Verrières. Elle possède[26] du mobilier qui est du XVIe siècle.
  • Le mémorial des Martyrs du 24 août 1944 s'élève au lieu-dit Maisons Blanches. Il se présente sous la forme d'une lanterne des morts[27] une statue de Marie à l'Enfant[28] en calcaire recouvert de badigeon et dorures, un retable figurant l'Adoration des Mages et la Fuite en Égypte[29] ; une plaque de fondation du donateur Julien de Sauvés de 1683[30] qui provient de la chapelle de Courgerenne.

Courgerennes

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C'était un fief qui formait une communauté d'habitants, du bailliage ducal d'Aumont qui fut érigé en commune de 1790 à l'an III. Le seigneur du lieu, Jean de Vaucemain déclarait une maison forte à Courgerennes entourée de fossés et un moulin[31]. Les premiers seigneurs attestés furent les Courgerennes et les Putemonois au XIIe siècle ; les derniers furent Louis-Marie, marquis de Mesgrigny, pour partie et Auguste Simon de Noel, dit de Courgerennes. La chapelle se trouvant à Courgerennes et sous le vocable de la Nativité-de-la Sainte-Vierge et à la présentation du seigneur et comme succursale de Saint-Léger-près-Troyes. Elle est du XIIe siècle et fut remaniée au XVIe siècle, elle possède des fonts baptismaux du Moyen Âge[32] ; les carreaux de pavement qui composaient le sol de la sacristie[33].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Buchères Blason
D'azur au mémorial du lieu d'or, senestré d'azur à la bande d'argent côtoyée de deux doubles cotices potencées contre-potencées d'or, le tout sur une champagne de gueules chargée au centre de quatre vergettes cousues de sinople et à la croix de guerre d'or brochant sur les deux du milieu.
Détails
Adopté par la municipalité.

Bibliographie

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Buchères » sur Géoportail (consulté le 18 mai 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  • Références au site de l'Insee :
  1. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Troyes », sur insee.fr (consulté le ).
  3. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Troyes », sur insee.fr (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Commune de Buchères (10067) », (consulté le ).
  7. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Aube (10) », (consulté le ).
  • Autres références :
  1. « Fiche communale de Buchères », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Seine (----0010) » (consulté le ).
  3. Sandre, « l'Hozain »
  4. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Buchères et Saint-Pouange », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Pouange », sur la commune de Saint-Pouange - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Saint-Pouange », sur la commune de Saint-Pouange - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. 31e colloque Internéo 2013, p53.
  14. Auguste Longnon, Documents, II, 51.
  15. [1]
  16. Frédéric François Guillaume baron de Vaudoncourt, Histoire des campagnes de 1814 et 1815, en France, Volume 1, Chez A. de Gastel, 1826, p.280
  17. Bruge, Roger (1994) 1944 Le temps des massacres. Les crimes de la Gestapo et de la 51e Brigade SS, Albin Michel, (ISBN 2-226-06966-6)
  18. Notice détaillée sur le site Maitron-fusilles-40-44.univ-paris1.fr.
  19. ((fr))Antony Beevor, D-DAY et la bataille de Normandie, Calmann Levy, 2009 (ISBN 978-2-253-13330-8)
  20. Gilbert Baumgartner, « Le destin du général Arndt »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Gâtinais Histoire, (consulté le ).
  21. https://reader.cafeyn.co/fr/1927222/21598566
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Charles Fichot, Statistique monumentale de l'Aube, t. 1, Troyes, 1884, pp. 380-383.
  27. Mémorial de Buchères, Office du tourisme de Troyes
  28. « statue », notice no PM10000381, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  29. « retable », notice no PM10003072, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  30. « plaque commémorative », notice no IM10007108, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  31. Archives départementales de la Côte-d'Or, B 10436.
  32. « fonts baptismaux », notice no IM10007262, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  33. « carreaux de pavement », notice no IM10007261, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  34. Photographie de 1894 par Paul Robert
  35. Dessin C. Fichot
  36. ÉGO 1939-1945 - Centre de Recherche d'Histoire Quantitative (CRHQ)/ par Françoise Passera

Articles connexes

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Liens externes

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