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Anvin

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Anvin
Anvin
L'église Saint-Léger.
Blason de Anvin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC de communes du Ternois
Maire
Mandat
André Olivier
2020-2026
Code postal 62134
Code commune 62036
Démographie
Gentilé Anvinois
Population
municipale
726 hab. (2021 en évolution de −5,84 % par rapport à 2015)
Densité 93 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 26′ 50″ nord, 2° 15′ 22″ est
Altitude Min. 51 m
Max. 150 m
Superficie 7,83 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives 6e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Anvin
Géolocalisation sur la carte : France
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Anvin
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Anvin
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Anvin
Liens
Site web anvin-62134.org

Anvin est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Anvinois.

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 469 habitants en 2021.

Géographie

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Localisation

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Map

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Communes limitrophes d’Anvin
Bergueneuse Heuchin
Teneur Anvin Eps
Fleury Monchy-Cayeux

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 7,83 km2 ; son altitude varie de 51 à 150 mètres[1].

Hydrographie

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Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par la Ternoise, un cours d'eau naturel non navigable de 41 km, qui prend sa source dans la commune d'Ostreville et conflue dans la Canche dans la commune d'Huby-Saint-Leu[3].

C'est dans la commune que deux autres cours d'eau, de 5 km, se jette dans la Ternoise :

  • le Faux, qui prend sa source dans la commune de Heuchin[4].
  • la rivière d'Eps, qui prend sa source dans la commune de Boyaval[5].
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Anvin[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 885 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[12].

Ces paysages, qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et 160 m.

Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[13].

Milieux naturels et biodiversité

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Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : le vallon de Bergueneuse à Fiefs, d’une superficie de 934 hectares et d'une altitude variant de 60 à 185 mètres. Cette ZNIEFF, qui s’étend au nord/nord-ouest de la commune d’Anvin, est une des plus importantes vallées sèches drainant les collines de l'Artois[14].

et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse. Cette ZNIEFF, située au nord d'une ligne allant de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, d’une superficie de 9 502 hectares et d'une altitude variant de 22 à 90 mètres, présente des fonds de vallées, des coteaux crayeux et des zones prairiales[15].

Au , Anvin est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[17]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (92,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,6 %), prairies (31,5 %), zones urbanisées (8,9 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La gare.

La commune est située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples. La gare d'Anvin est une halte voyageurs de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des trains TER Hauts-de-France.

Plusieurs origines sont possibles :

Amvin (1120), Anving (XIIe siècle), Anuin (1152-74), Anwin (1397)[21].

ou Anvin, anvaing, anving, aving qui viendrait de agnio, au, an, qui signifie eau vive, rivière[22]

Anvin possédait une forteresse au Moyen Âge[23].

Anvin était une seigneurie dans la France d'avant la Révolution française. Les seigneurs d'Anvin du XIIe siècle seront à l'origine d'une grande famille du Boulonnais et de la Picardie : la Famille d'Anvin de Hardenthun.

À la fin de la Première Guerre mondiale, en 1918, alors que le front approche, l'évacuation de la population du bassin houiller se fait via 3 zones (Anvin, Fruges et Hesdin[24], selon le plan du Commandant Netter, attaché au cabinet civil du président du Conseil, ministre de la guerre)[24].
C'est par Anvin qu'on évacue le plus grand nombre de personnes (43 000 réfugiés selon l'archiviste départemental[24]), après les avoir abritées dans de grandes tentes fournies par le Ministère de la Guerre, chacune pouvant abriter 2 000 personnes.

Le centre d'Hesdin ne disposait que de 50 tentes prévues pour 1500 personnes et celui de Fruges n'en disposait d'aucune[24].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités

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La commune faisait partie de la petite communauté de communes du pays d'Heuchin créée fin 1993.

Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [25] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[26]. À l'initiative des intercommunalités concernées[27], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[28] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [29],[30].

La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [31].

Circonscriptions administratives

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La commune faisait partie depuis 1793 du canton d'Heuchin [1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

Circonscriptions électorales

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Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1953 Joseph Briet    
1953 1965 Georges Feutrel    
1965 1974 Gaëtan Marichez    
1974 1980 Jules Samier    
1980 1989 Alain Seilliez    
1989 mars 2008 Michel Lecigne    
mars 2008 En cours
(au 29 mars 2021)
André Olivier   Cadre administratif et commercial d'entreprise
Réélu pour le mandat 2014-2020[32],[33]
Réélu pour le mandat 2020-2026[34]

Équipements et services publics

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Justice, sécurité, secours et défense

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La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[35].

Population et société

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Démographie

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Ses habitants sont appelés les Anvinois[36].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].

En 2021, la commune comptait 726 habitants[Note 6], en évolution de −5,84 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : 1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
428367352401442443446457442
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
442450431465485548532562596
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
550558650650620604590608586
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
604615587639666741833834789
2015 2020 2021 - - - - - -
771736726------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 383 hommes pour 377 femmes, soit un taux de 50,39 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou
1,6 
7,5 
75-89 ans
11,5 
18,3 
60-74 ans
20,3 
20,5 
45-59 ans
21,4 
15,4 
30-44 ans
16,2 
16,7 
15-29 ans
13,7 
21,6 
0-14 ans
15,3 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Revenus de la population et fiscalité

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En 2019, dans la commune, il y a 327 ménages fiscaux qui comprennent 760 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 7] de 17 990 euros, soit inférieur au revenu médian de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros[42],[43].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Armes d'Anvin

Les armes d'Anvin se blasonnent ainsi :
De sable à la bande d’or chargée d’une violette du champ, accompagnée de six billettes aussi d’or ordonnées en orle, trois en chef et trois en pointe[46].

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Ouvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[47] :

  • J. Ratel, Monographie de la commune d'Anvin, 2002.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Définition de l'unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d’unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette échelle d’équivalence (dite de l’OCE) tient compte des économies d’échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.
  8. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ternoise (E5400650 ) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Faux (E5400700 ) » (consulté le )
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - rivière d'Eps (E5400670 ) » (consulté le )
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Anvin et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 310013281 - Vallon de Bergueneuse à Fiefs », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 310007268 - La Vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Les Noms de personne sur le territoire de l'ancienne Gaule Tome 3 - Marie Thérs̀e Morlet
  22. Commission Départementale des Monuments Historiques, Dictionnaire historique et archéologique du département du Pas-de-Calais, vol. Arrondissement de Saint-Pol, Tome II, Sueur-Charruey, .
  23. René marquis de Belleval, Nobiliaire du Ponthieu et du Vimeu- 2ème édition, Paris, (lire en ligne), p. 43.
  24. a b c et d Rapport de l'archiviste (départemental) (Archives départementales, communales et hospitalières). Arras, (consulté 2009 12 30), p. 721 et suivantes sur 1157
  25. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
  26. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  27. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  28. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  29. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  30. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  31. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
  32. « Anvin - Réélu maire, André Olivier limite à deux le nombre d’adjoints », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
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