Abancourt (Oise)
Abancourt | |||||
La mairie-école. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Picardie verte | ||||
Maire Mandat |
Jean-Louis Dor 2020-2026 |
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Code postal | 60220 | ||||
Code commune | 60001 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Abancourtois | ||||
Population municipale |
863 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 99 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 41′ 52″ nord, 1° 45′ 57″ est | ||||
Altitude | Min. 170 m Max. 222 m |
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Superficie | 6,01 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Grandvilliers | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | abancourt.fr | ||||
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Abancourt (Écouter) est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]La commune d'Abancourt se situe à l'extrémité ouest du département de l'Oise, en bordure du département de la Seine-Maritime, à 38 km au nord-ouest de Beauvais, 45 km au sud-ouest d'Amiens, à 49 km du Tréport et du littoral de la Manche et à 55 km au nord-est de Rouen.
Le territoire communal, de forme irrégulièrement quadrangulaire, fait partie du vaste plateau qui s'étend des environs de Campeaux jusqu'au département de la Somme[1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Lannoy-Cuillère | Quincampoix-Fleuzy | Gourchelles | ||
N | Romescamps | |||
O Abancourt E | ||||
S | ||||
Criquiers | Blargies | Moliens |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Bresle[2],[Carte 1].
La Bresle prend sa source à Abancourt et s'écoule vers le nord-ouest à travers le plateau de Formerie pour se jeter dans la Manche au Tréport. Ce fleuve côtier est long de 68 à 72 kilomètres selon les sources[3] et traverse les départements de l'Oise, de la Somme et de la Seine-Maritime.
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 748 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Bresle. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement, de gestion et de valorisation du bassin de la Bresle[4].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 874 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Abancourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,4 %), prairies (28,9 %), zones agricoles hétérogènes (15,8 %), zones urbanisées (9,4 %), forêts (5,5 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Écarts et lieux-dits
[modifier | modifier le code]La commune compte plusieurs hameaux : Hennicourt, où se trouve la gare d'Abancourt, la Montagne et Ménival.
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 318, alors qu'il était de 289 en 2013 et de 295 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 88,4 % étaient des résidences principales, 4 % des résidences secondaires et 7,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,7 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Abancourt en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 72,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (69,4 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Abancourt[I 2] | Oise[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 88,4 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 4 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 7,6 | 7,1 | 8,2 |
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]La commune d'Abancourt est desservie par les départementales D 8 venant de Criquiers (Seine-Maritime) ; D 316 venant de Aumale (Seine-Maritime) et allant à Formerie ; D 919 venant de Poix-de-Picardie (Somme) ; D 7 venant de Moliens.
La gare d'Abancourt est desservie par des trains TER Normandie (ligne Amiens - Rouen) et TER Hauts-de-France (lignes Lille - Amiens - Rouen et Beauvais - Le Tréport-Mers).
La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6103, 6113 et 6124 du réseau interurbain de l'Oise[15].
Abancourt est située est située à 35 km de l'aéroport de Beauvais-Tillé.
18 odonymes recensés à Abancourt
au 1er février 2023 | |||||||
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Cité | Avenue | Boulevard | Chemin | Cours | Impasse | Montée | Promenade |
0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Place | Espalanade | Carrefour | Route | Rue | Ruelle | Square | Totale |
0 | 0 | 0 | 0 | 18 | 0 | 0 | 18 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Mentions d'Abencort en 1146[16] ; Abencurtis en 1148 ; Hebencurt en 1148 ; Abencurt en 1150 et 1152, Habencourt en 1180, Abencourt en 1337, 1454 et au XVIe siècle.
Durant la Révolution, la commune porte le nom d'Abancourt-la-Montagne[17].
Voir Abancourt (Nord).
Histoire
[modifier | modifier le code]Origines
[modifier | modifier le code]Louis Graves indiquait en 1850 : « La situation d'Abancourt sur une chaussée semble indiquer l'origine romaine de ce village, et en effet on a trouvé en différents points, des tuiles à rebord et d'autres restes incontestables de cette époque. La tradition locale prétend d'ailleurs que les Pempliers y eurent un établissement , sorte de croyance qui dans la Picardie rapporte fresque toujours à des vestiges de constructions romaines.
Des traditions plus certaines attribuent la fondation du chef-lieu aux religieux de l'abbaye de Beaubec , qui possédaient dans ce canton, à une époque reculée, des:terres considérables. Il n'y eut d'abord qu'une chapelle ,avec une seule maison destinée au logement du moine chargé de veiller sur les intérêts de la-communauté ; c'était alors-un prieuré simple.
L'abbaye ayant accensé dans la suite la plus grande partie de son domaine, la population s'accrut assez pour justifier l'érection du prieuré en cure.
L'abbaye avait haute, moyenne et' basse justice ».
À partir du XIVe siècle, Abancourt était le siège d'une seigneurie.
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Le village est rebaptisé Abancourt-la-Montagne à la Révolution française[17]. Entre 1791 à 1823, la commune est rattachée à Romescamps. En 1823, Abancourt est détaché de Blargies, mais Hennicourt lui est rattaché[17].
En 1867, le bourg est desservi par le chemin de fer, avec la création de la gare d'Abancourt sur la ligne Amiens - Rouen, puis est reliée au Tréport et à Paris en 1873-1875.
Pendant la Première Guerre mondiale, une compagnie de prisonniers de guerre allemands stationne à Abancourt en août 1917. Des messages signalent parfois des évasions de prisonniers[18].
Le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [19].
Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Abancourt fait partie de la communauté de communes de la Picardie Verte, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Son territoire correspond à l'ensemble des communes des cantons de Formerie, Grandvilliers et Marseille en Beauvaisis, ainsi que certaines communes du canton de Songeons.
La commune fait également partie du Grand Beauvaisis, l'un des seize pays à constituer le Pays de Picardie[réf. nécessaire].
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Lors des élections européennes de 2019, le Rassemblement National réalise un score de 51,35 % des voix, contre 23,34 % au niveau national. La République en Marche y réalise un score de 13,06 % des voix contre 22,41 % au niveau national. Le parti Debout la France réalise un score avec 8,11 % contre 3,51 % au niveau national. Les autres partis y réalisent des scores inférieurs à 7 %, en dessous de leurs scores nationaux[20].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Blargies au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal[26].
Culture
[modifier | modifier le code]La commune s'est dotée en octobre 2019 d'une médiathèque municipale, aménagée dans l'ancienne salle du conseil municipal, et qui fonctionne en réseau avec la médiathèque départementale de l'Oise (MDO)[27],[28].
Postes et télécommunications
[modifier | modifier le code]Le bureau de poste de la commune a fermé en juin 2004, la poste estimant sa rentabilité insuffisante et ce malgré les efforts de la commune qui avait acheté le bâtiment et assurait les charges de chauffage, du ménage[29]…
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1831. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].
En 2021, la commune comptait 863 habitants[Note 2], en évolution de −8,19 % par rapport à 2015 (Oise : 0,89 %, France hors Mayotte : 1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 312 hommes pour 323 femmes, soit un taux de 50,87 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]En 2008, la commune compte un bar-tabac, une boulangerie et une épicerie qui se trouvent sur la rue principale.
À la gare, un hôtel-restaurant faisant également bar-tabac se tient à la disposition de la clientèle.
Une salle des fêtes est aussi disponible à la location.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Chapelle d'Hennicourt, construite par la famille Galopin-Mabille en 1856, restaurée en 2008[37].
-
Monument aux morts.
-
Cadre sculpté de porte de maison.
-
Abribus et transformateur électrique.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Druon d'Abancourt est qualifié de chevalier dans un acte du vingt novembre 1455, concernant la vente à son fils Guillaume de la terre de Courcelle-les-Campeaux[1].
- Un Jean et un Adrien d'Abancourt sont, l'un après l'autre, seigneurs d'Abancourt au début du XVe siècle[38].
- Les d'Abancourt ont été jugés nobles par arrêt du conseil du vingt-et-un mai 1667[1].
- Gabriel de Saehy, contrôleur général des fortifications en Picardie, possédait en 1690 le domaine d'Abancourt, ou plus probablement une terre dans l'étendue de la paroisse[1].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune d'Abancourt (60001) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Abancourt »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Abancourt » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Abancourt » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Abancourt » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Abancourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Abancourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Formerie, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 126 p. (lire en ligne), p. 33-35, sur Google Books.
- « Fiche communale d'Abancourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- 68 km sur le site du SANDRE, 71 km selon l'EPTB d'Aumale.
- « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Abancourt et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Carte interactive », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 1a.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Commandement d'étapes de Gravelines. Journal des marches et opérations. Période de janvier à septembre 1917, p. 90.. :https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/.
- Journal officiel du8 avril 1922, p. 3817.
- « Abancourt : Découvrez les résultats des élections Européennes 2019 », sur LCI (consulté le ).
- « Les maires de Abancourt », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Liste des élus ayant présentés les candidats à l'élection du Président de la République », sur conseil-constitutionnel.fr, (consulté le ).
- « Jean-Louis Dor élu président de la CCPV », sur leparisien.fr (consulté le ).
- Pierre-Emmanuel Reger, « Municipales 2020 : à Abancourt, Jean Louis Dor présente une liste plus jeune : Maire d'Abancourt (Oise) depuis 2001, Jean-Louis Dor brigue un nouveau mandat. aux élections municipales. Il présente une liste avec sept nouvelles personnes », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
- Pierre-Emmanuel Reger, « Jean-Louis Dor a été réélu maire d'Abancourt : Jean-Louis Dor est maire d'Abancourt depuis 2008. Il a été réélu mardi 26 mai 2020 par le nouveau conseil municipal », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Pauline Defoix, « À Abancourt, les élèves se préparent à fêter le Nouvel an chinois : Les élèves du RPI Abancourt-Blargies ont été invités par la bibliothèque d'Abancourt à participer à l'activité manuelle décoration de poupées pour le Nouvel an chinois », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
- Pierre-Emmanuel Reger, « La bibliothèque municipale a été inaugurée à Abancourt : La commune d'Abancourt (Oise) possède désormais une bibliothèque dans une salle de la mairie. Elle a été inaugurée mercredi 16 octobre 2019 », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
- Pauline Defoix, « Il y a un an, la médiathèque d'Abancourt ouvrait ses portes : Le 16 octobre 2019, la médiathèque d'Abancourt vivait ses premières heures. Depuis, la structure rencontre depuis un franc succès. Rencontre », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
- Corinne Fourcin, « La Poste s'installe au café », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Abancourt (60001) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Dominique Vermand, « Abancourt, église Notre-Dame : Diocèse : Amiens », sur Eglises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
- Pierre-Emmanuel Reger, « Le toit de l'église d'Abancourt est sauvé : L'église Notre-Dame d'Abancourt n'avait pas connu des travaux de restauration depuis de nombreuses années, voilà chose faite », Le Réveil de Neufchâtel, 8/8/2017 mis à jour le 9/8/2017 (lire en ligne, consulté le ).
- « Abancourt (Hennicourt) : Fin des travaux - La chapelle débute une nouvelle vie », Le Réveil - édition Bresle - Oise - Somme, (ISSN 1779-3769).
- Source